Le président n’y va pas de main morte depuis fin février : sa déclaration du 26 février, refusant d’exclure l’envoi de troupes, n’était que l’introduction d’une longue séquence destinée à faire de l’Ukraine le premier sujet de la vie politique française, jusqu’à l’interview croisée de jeudi soir. De ce point de vue, c’est réussi, mais cette tentative n’est-elle pas trop grossière pour duper les Français ?
Trumpisme politiquement correct