Samedi, nous
nous sommes réunis à la Bellevilloise à Paris pour lancer notre campagne en vue
des élections européennes qui se tiendront l’an prochain. L’occasion de
montrer le dynamisme des mouvements qui veulent tourner la page de cette Union
Européenne.
Petits
partis devenus grands
Outre le
très bon discours de Nicolas Dupont-Aignan, qui a tracé le chemin pour l’année
à venir, ce qu’il y avait sans doute de plus réjouissant lors de ce
rassemblement était clairement d’entendre les témoignages de Nigel Farage, Paul
Nuttall et de Timo Soini. En effet, leurs deux mouvements ont commencé leur
action politique dans les années 1990, et, à force de persévérance, et après
plusieurs années de vaches électorales maigres, ils ont fini par gagner la
confiance de leurs compatriotes, au point de devenir un des principaux partis
de leur pays, si ce n’est le premier.
Les racines
de UKIP remontent à 1992 comme un cercle de réflexion. Le parti a commencé à
émerger en 1999 en faisant élire 3 députés au Parlement Européen. Mais c’est en
2009 que Nigel Farage a fait trembler la vieille garde politique en devançant
le parti travailliste lors des élections européennes. Si UKIP n’a obtenu que 3%
des suffrages aux législatives de 2010, il
vient de prendre une nouvelle dimension en obtenant la seconde position lors
d’une législative partielle. Mieux,
les sondages lui donnent aujourd’hui 30% et la première place pour les
élections européennes de l’an prochain !
Au début,
les résultats électoraux du
parti de Timo Soini ont été limités, grignotant élu par élu et prenant 4%
des votes en 2007. Il a véritablement explosé en 2011, en devenant le 3ème
parti du pays, avec 19% des voix et 39 sièges de députés au parlement. Il est
aujourd’hui une force qui compte et qui oriente le débat politique. Loin des
caricatures des médias, il est apparu comme un homme politique voulant protéger
la démocratie et ses concitoyens contre l’UE, mais également désireux de
construire une autre Europe, des peuples et des projets, à mille lieues de la
construction actuelle.
Un chemin
tracé pour Debout la République
La seule
différence avec DLR à date est un décalage dans le temps. Nous sommes partis
plus tard qu’eux. Il ne faut jamais oublier que nous avons fait notre première
campagne nationale seulement en 2009, avec une couverture médiatique trop
limitée. Nous ne sommes pas petits mais jeunes et nous avons fait beaucoup en
très peu de temps. La
campagne présidentielle de 2012 nous a permis de changer de dimension.
Emportés par notre enthousiasme, nos attentes étaient trop élevées par rapport
à notre notoriété. Les Français ont besoin de temps pour accorder leur
confiance.
Mais ce sera
une autre histoire en 2014 et en 2017 car les Français nous connaissent et les
circonstances démontrent la justesse de nos analyses. Nul ne sait jusqu’où nous
pourrons monter et rien ne permet de dire que notre destin ne sera pas celui de
UKIP, des Vrais Finlandais, de Syriza ou de Beppe Grillo… Il est encore bien
trop tôt pour juger notre potentiel électoral aux 2% faits en 2009 et en 2012 à
des élections totalement différentes. Les élections de 2014 seront une occasion
de montrer que nous continuons à aller de l’avant. En revanche, on
peut plus facilement contester la capacité d’un parti installé comme le FN à
dépasser le cap des 20% jamais franchi en plus de 40 ans d’existence…
Très bon rassemblement. Dommage que Nigel Farage n'ai pas pu se déplacer en personne. Il doit être impressionnant à voir ! Une prochaine fois j'espère ...
RépondreSupprimerMais j'ai quand même été particulièrement touché par le discours de Slavi Binev. Au delà du personnage dynamique (et qui parle incroyablement bien le Français), c'est quand même hallucinant d'entendre ce qui se passe dans son pays, un pays qui fait parti de l'Union Européenne !
Vous avez une redoutable rivale en la personne de Marine Le Pen malgré la faute politique de sa déclaration de la mort de Dominique Venner, c'est un évènement concernant un homme dont seul le suicide scandaleux dans Notre Dame de Paris a permis de sortir très temporairement de l'anonymat. L'an prochain, tout cela sera largement oublié et comme l'a pronostiqué Jacques Sapir sur son blog MLP et le FN risque bien de faire le premier des scores aux européennes (30%) ce qui est fort probable parce que "cela ne mange pas de pain" un tel score à de telles éléctions. Les municipales seront bien plus importantes.
RépondreSupprimerCela mange du pain car c'est bien la que s’élabore les lois qui sont misent en œuvre dans nos pays , au moins pour la France ou tous ce qui vient de l'ue décidé par des commissaires non élu et approuvé par les députés de l'ue passent de façon quasi automatique chez nous avec la complicité de l'umps et de ces barons mano a mano . Je rappelle que les députés européens ne peuvent proposer de projet mais ils peuvent les bloquer enfin ceux qui ne sont pas en magouille avec les lobbies
SupprimerLes élus du Parlement européen et surtout la Commission ne prennent toutes leurs décisions parce que les élus nationaux le veulent bien! Il suffit que ces derniers veuillent rompre avec ce désordre établi et tout sera différent. Jamais depuis que les élections européennes sont au suffrage universel aucun résultat n'a vraiment bousculé le système politique français.
Supprimer@Laurent Pinsolle,
RépondreSupprimersi sur le terrain de l'UE je suis bien obligé d'être d'accord avec UKIP et son leader Nigel Farage, sur le terrain économique, il est mon ennemi juré: c'est un ultra-libéral, or je suis anti-libéral!
Attention à ce que le message gaulliste social de DLR ne soit pas brouillé par le thatchérisme du parti britannique UKIP. En tant que guerre, au XXè siècle, De Gaulle savait qu'il pouvait compter sur les Britanniques, mais en temps de paix, c'était plutôt la méfiance cordiale...
CVT
Très d'accord avec CVT sur ce point Farage n'a rien a voir avec DLR je l'espère ; même si ce sont des alliances de circonstance NDA devrait éviter de brouiller le message avec celui ci
SupprimerOui avec Nigel Farage dénonçons la malfaisance de lƯE.
RépondreSupprimerNon notre filiation gaulliste ne peut partager ses thèses ultra-libérales.
Nicolas Dupont-Aignan et Debout La République ne regarde pas en premier la politique intérieure des partis des autres pays européens mais leur vision de l'Europe car c'est justement cela que nous ne voulons plus, que l'Union Européenne et les autres pays s'occupent de notre politique intérieure. UKIP comme les autres partis qui sont venus au Lancement de la campagne pour les européennes concordent parfaitement avec le projet de DLR sur la politique européenne.
RépondreSupprimerAttention aux comparaisons des petits partis devenus grands ?
RépondreSupprimerBruno Pottier a entièrement raison, nous ne voulons pas que les autres "partis" s'occupent de notre politique intérieure ?
Exactement ce que nous le voulons pas de l'europe actuelle !
la FRANCE doit être gouvernée différemment de ce qu'il en est aujourd'hui.
EN FINIR avec l'olligarchie, le corporatisme, les privilèges, les niches fiscales.....
C'est celà l'égalité et la justice pour TOUS LES FRANCAIS....
Le fait est que MLP sait de mieux en mieux adapter son discours en reprenant les arguments économiques ou autres d'un Sapir, Todd ou Berruyer.
RépondreSupprimerLa situation économique se dégradant, alors elle aura toutes les cartes pour déboulonner son plafond de verre...
N'en déplaise à LP tout plafond de verre est voué à craquer comme celui établi par la IVè République contre les gaullistes du RPF.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
Supprimerhttp://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130520trib000765438/target2-la-roulette-russe-de-la-zone-euro.html
SupprimerLa sortie de l'Euro risque de ne pas être une promenade de santé :
SupprimerLa désintégration de la zone euro ne déclencherait
probablement pas de bombe atomique,
même virtuelle, contrairement à ce que craint le Bundder Steuerzahler.
Mais il n’est pas impossible qu’elle sème la désolation.
Le pire n’est pas sûr, mais il ne peut pas être exclu.
Target2 est bien une roulette russe dans les mains
des peuples et des décideurs de la zone euro.
De toute façon, il faut bien avoir à l’esprit une chose, c’est que certains pays de la zone euro feront défaut sur leur dette qu’ils sortent ou qu’ils ne sortent pas de la zone euro. S’agissant de l’Espagne par exemple, c’est aussi l’avis Pedro Montes, ancien économiste en chef de la Banque d'Espagne, qui était hostile à une entrée de son pays dans la zone euro, qui considère qu’aujourd’hui sa sortie de la zone euro serait un moindre mal que d’y rester, mais que la voie de la sortie sera tout de même douloureuse.
Supprimerhttp://www.lne.es/oviedo/2013/03/12/montes-salir-euro-barbaridad-continuar-catastrofe/1380975.html
http://asambleademajaras.com/articulos/detalle_articulo.php?id_articulo=1015
Il dit notamment au sujet de la dette espagnole :
«La deuda no se va a poder pagar ni dentro ni fuera del euro.-O sea, está convencido de que España, tarde o temprano, se declarará en suspensión de pagos.- Evidente. » Traduction : « on sera pas être en mesure de payer la dette que ce soit à l'intérieur ou à l'extérieur de l'euro » - «Alors, vous êtes convaincu que l'Espagne, tôt ou tard, se déclarera en cessation de paiement » - « Évidemment. »
C’est un ancien chef économiste à la banque d’Espagne qui le dit. On peut supposer qu’il sait de quoi il parle. Ce qui est vrai pour l’Espagne l’est aussi pour l’Italie qui devrait aussi se déclarer en cessation de paiement tôt ou tard, qu’elle sorte ou qu’elle ne veuille pas sortir de l’euro car l’évolution actuelle de sa situation économique et sociale est vraiment désastreuse. Voyez par exemple « The Quiet Collapse of the Italian Economy »:
http://blogs.lse.ac.uk/eurocrisispress/2013/04/23/the-quiet-collapse-of-the-italian-economy/La
La France est sur le même chemin, je le crains. Donc il faudra se préparer à gérer des défauts de paiement d’Etats, en série, dans la zone euro, car ils sont devenus inévitables.
Saul
Si la sortie de la zone euro ne sera pas un parcours de santé en revanche le maintien sous forme d'acharnement thérapeutique de ladite zone occasionne bien plus de dégât sans perspective sérieuse d'améliorer la situation de tous les pays concernés.
SupprimerC'est une bonne chose que Farage soit libéral, cela va affaiblir l'argumentaire l'UMP. Je ne suis cependant pas sûr que l'explosion aura lieu en 2014. Les Britanniques sont différentialistes et ont gagné leur guerre contre l'Allemagne. Sortir d'une Europe qui échoue est beaucoup plus facile pour eux. Les Italiens se sont à peine battus contre les Allemands et ont subi quelques années d'austérité. En 2014, la pauvreté aura assez peu augmenté en France et il faudra partager l'électorat anti-fédéral avec Le Pen. De plus, les gens de l'ump insatisfaits de leur parti passent au fn plutôt qu'à DLR. Pas certain du tout d'un bon score de DLR.
RépondreSupprimerjard
Certains du FDG vont au FN :
RépondreSupprimerhttp://www.lepoint.fr/politique/marseille-elle-passe-du-front-de-gauche-au-front-national-24-05-2013-1672071_20.php
Très beau rassemblement que celui de samedi à la Bellevilloise.
RépondreSupprimerTrès touché aussi par l'intervention de Slavi Benev, en effet, je pensais naïvement, sans doute, que la démocratie fut une condition sine qua non de l'entrée d'un État dans l'UE...
Ce n'est visiblement plus le cas, d'autant plus que l'entrée forcée, pourtant non souhaité par les peuples, de la Turquie par les mal-pensants de cette UE, peut être et doit être considéré comme un véritable "Coup d’État" antidémocratique.
J'ai beaucoup apprécié aussi les interventions de Timo Soini et de Paul Nuttal.
Nicolas Dupont-Aignan a, en fin de discours, exhorté les français (nous aussi militants/adhérents)à se réveiller, pour faire de l’élection européenne de 2014 un franc succès à l'alternative européenne.
Nicolas Dupont-Aignan est le candidat le plus républicain, tolérant, ouvert, mais responsable et surtout détenteur d'une réflexion frappée "au coin du bon sens".
Il serait bon pour la démocratie dans notre pays que DLR s'affirme pour 2014 comme la seule réponse alternative crédible non extrémiste.
Être le "poil à gratter" de la politique ne suffit plus !
JFP
@ Nicolas
RépondreSupprimerBon discours du bulgare également. Tout ceci amène à se poser la question de la manière dont les médias couvrent la vie politique des autres pays (comment Timo Soini peut-il être classé à l’extrême droite).
@ Anonyme
On verra bien ce que donneront les élections européennes. Tout concourt à casser le plafond de verre, donc le score du FN sera intéressant.
Bien d’accord : l’ordre européen ne tient que parce que PS et UMP l’acceptent (c’est le moyen pour eux de s’exonérer des problèmes).
@ Patrice
Les députés peuvent eux aussi porter les amendements des lobbys…
@ CVT
Dans le cadre des européennes, nous sommes d’accord sur une chose essentielle : que nos peuples respectifs retrouvent la capacité de choisir eux-mêmes de leur propre destin. C’est l’essentiel, même si nous ne sommes pas du tout d’accord sur l’économie. Et je crois qu’il est important de montrer que nous pouvons discuter avec d’autres partis d’autres pays.
@ Bruno et anonyme 10:56
Bien d’accord
@ Olaf
Théoriquement oui, mais c’était le cas en 2012 et il n’a pas du tout cédé. Rendez-vous en 2014.
Il faut que je fasse un papier sur Target 2 : a priori, ce ne serait pas trop grave car les banques centrales peuvent équilibrer par des politiques non conventionnelles.
@ Jard
On verra. J’y crois.
@ JFP
Bien d’accord.
Le dernier papier de Lordon est intéressant et montre qu'il n'est pas contre une coopération européenne selon d'autres modalités, monnaie commune, révision des objectifs de la BC de cette monnaie commune comme le taux de chômage quitte à ce que ça se fasse avec un nombre plus restreint de pays, une union latine par exemple...si l'Allemagne reste sur ses positions anti-inflationistes.
RépondreSupprimerIl n'aborde pas le problème que représente Target 2.
@Laurent
RépondreSupprimerJe suis toujours admiratif devant la foi nécessaire à l'action d'un parti politique. Je reste malheureusement septique quant à la poussée éventuelle de DLR. Mais je te souhaite vraiment d'avoir raison. Les évènements s'accélèrent et semblent quand même plutôt aller vers le FN. Avec tous les risques que cela incombe. J'imagine déjà au lendemain d'un très gros score du FN la mise en place d'un gouvernement PS-UMP qui interdirait les partis dissidents. Y compris le vôtre. Au stade où on en est, la dérive totalitaire ne cherche peut-être plus qu'une excuse pour agir à découvert. Le Fn jouant le rôle d'excuse pour l'abandon de la démocratie. On a vu ça dans certains pays en Amérique du Sud ou dans d'autres pays en voie de développement.
Certes DLR peut et doit augmenter sa représentativité mais qu'on le veuille ou non nous sommes dans le même camp que le FN version MLP des Bonapartiste et des Royaliste de la NAR et j'en passe , c'est a dire pour enfoncer le clou pas identitaires européistes a partir de ce constat il faut mettre un mouchoir sur nos différences qui sont sommes toutes mineures et aller de l'avant si nous voulons VRAIMENT abattre le système des copains et des coquins actuel
RépondreSupprimerLaurent Pinsolé,
RépondreSupprimerMerci pour la réponse à Bruno POTIER et anonyme 10,56, (c'est moi)
Cette réponse me j'espère de plus en plus l'entendre dans les bouches des patriotes de DLR....
Merci
@ Olaf
RépondreSupprimerLe dernier Lordon est très intéressant en effet. Je vais en parler bientôt. Sur Target 2, la plupart des experts me disent que ce n’est pas grave (ce que dit également Olivier Berruyer).
@ Yann
Rien ne va vers le FN. MLP a fait moins que son père et BM en 2012, le résultat des législatives de 2012 équivaut à celui de 1997. L’adhésion aux idées est au niveau de 1991. Bref, le FN est à son plus haut, mais malgré un contexte extraordinairement favorable pour lui, le plafond de verre tient. Il semble en béton armé.
N’oublions pas qu’à l’automne 2011, MLP était donné à 22-24%, potentiellement 1ère au premier tour. Finalement, elle fait 17,9%. Pour les européennes, elle est donnée à 18%... Vu le contexte actuel (Hollande au fond du gouffre, UMP déchirée, récession, chômage…), elle devrait être au moins à 25% !
Dans quelques temps, les Français s’en détourneront car ce parti est incapable de changer quoique ce soit.
La démocratie ne sera pas totalement abandonnée. Même si elle est sous une tutelle européenne volontiers totalitaire, un nouveau président peut défaire les liens qui nous attachent du jour au lendemain. Et cela, ils ne pourront pas nous l’enlever.
Bon retour à la vie de blogueur !
@ Patrice
Non, nous ne sommes pas dans le même camp car cela signifierait alliance, soutien… etc. Ce qui n’a jamais été le cas. Nous sommes, comme eux – et le FG -, une des alternatives au système actuel. Ni plus. Ni moins. Nous rapprocher du FN, c’est permettre au duopole UMP-PS de perdurer 20 ans de plus.
@ Gilco56
Merci
Actuellement c'est le FG qui permet a l'umps de perdurer en jouant les rabatteurs et les idiots utiles
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerj'ai visionné le discours de NDA et ne peut pas dire que j'ai été enthousiasmé par le projet de nouvelle Europe; il faut dire déjà qu'une élection européenne cela ne passionne guerre de monde, le parlement européen ne servant que de sinécure à ce qui y sont élus!
J'ai lu dans les commentaires que cette instance était importante car elle serait à l'origine des lois qui nous sont transposées! C'est faux, cette instance n'ayant quasiment aucun pouvoir, au mieux consultatif, joue l'idiot utile de la démocratie européenne.
Les seules élections qui comptent pour changer la donne et qu'il faut préparer ce sont les élections législatives de 2017; et pour les préparer il faut surtout être présent aux élections municipale et territoriale.
Le Parlement a un pouvoir qu'il peut exercer voir par exemple l'affaire Santer même s'il n'a pas l'initiative une majorité non acquise aux dingueries et copinage de la commission y mettrait bon ordre . Pas enthousiaste non plus sur ce projet de nouvelle europe d'ailleurs ces gros machins sont en train de ce déliter voir les USA ceux qui tiennent sont des dictatures ou quasi
Supprimer@ Patrice,
RépondreSupprimerPas d’accord sur le FG. Son parcours est beaucoup trop récent pour pouvoir le juger dans ce sens, au contraire du FN.
@ Thierry
Je suis d’accord pour dire que le Parlement européen a un rôle limité. Néanmoins, c’est aussi une vigie intéressante pour informer les citoyens de ce qui se passe dans la tour de Babel européenne.
Je crois que les élections européennes sont les plus importantes pour nous, plus encore que les municipales ou les territoriales.