Il y a
quelque chose de pathétique dans le comportement de François Hollande. Il
ne cesse d’en appeler à l’Allemagne, pour qu’elle soutienne davantage la
croissance ou appuie une politique monétaire moins dure. Et à chaque fois,
Berlin l’envoie dans les roses, ce qui ne l’empêche pas de recommencer.
Une
nouvelle rebuffade
Lundi, dans
le Monde, François Hollande avait
demandé : « un
soutien plus ferme à la croissance » de
l’Allemagne, « ses excédents commerciaux et sa situation financière
lui permettent d’investir davantage. C’est le meilleur service que l’Allemagne
peut rendre à la France et à l’Europe ». Avec cette immixion
effarante dans les affaires allemandes, il s’est attiré une réplique cinglante
du porte-parole d’Angela Merkel, qui a dit « les
déclarations très générales en provenance de Paris ne fournissent aucune raison
pour de quelconques corrections dans la politique économique (…) l’Allemagne
est déjà une locomotive importante, la plus importante même pour la conjoncture
de la zone euro ».
Ce n’est pas
la première fois que François Hollande et Angela Merkel s’opposent. Déjà, à
peine après son élection, le nouveau président de la République s’opposait à la
camisole budgétaire, souhaitait des euro obligations et demandait de faire plus
pour la croissance. Déjà, il
avait capitulé sur toute la ligne, Angela
Merkel lui permettant de sauver les formes avec un plan de croissance dérisoire,
qualifié par Paul Krugman de « pistolet
à eau contre un rhinocéros qui charge », acceptant à la fois le refus
ferme de l’Allemagne sur les euro obligations et signant le TSCG conçu par son
prédécesseur. Depuis, il
faut quand même noter un léger assouplissement des objectifs de réduction des
déficits budgétaires, mais cela doit sans doute plus au réalisme de
l’Allemagne qu’à l’influence de François Hollande.
Ce que
cela dit de Hollande et de l’Europe
Cet épisode
a néanmoins l’intérêt de révéler plus encore tous les défauts structurels de
cette construction européenne. Cela démontre l’impuissance de la France, qui,
en ayant accepté d’abandonner sa politique monétaire puis soumis sa politique
budgétaire aux omens bruxellois, après six longues années de marasme économique
et un chômage record, se retrouve contrainte de mendier une relance à
l’Allemagne, que
Berlin lui refuse logiquement puisque ce n’est pas vraiment son intérêt.
Mais le pire est qu’après d’aussi longues années d’échec patent, personne dans
la majorité ne semble remettre en cause cette construction qui ne marche pas et
impose des politiques totalement antisociales.
Même si on
pense que l’Allemagne aurait intérêt à mener une politique de relance, une
partie des problèmes vient de la monnaie unique. Si chacun avait gardé sa
monnaie, le mark s’apprécierait fortement par rapport aux autres pays
européens, ce qui agirait comme une forme de relance.
Et qui va porter pour vous l'idée d'une Europe des Nations maintenant que vous ne voulez plus entendre parler de NDA ? Chevènement ou Lepen ?
RépondreSupprimer"il est stupéfiant de demander à un pays de mener une politique qui sert d’abord l’intérêt de ses voisins."
RépondreSupprimerServir l'intérêt de ses voisins avant les siens, c'est ce que fait la France depuis 30 ans... Hollande n'a pas encore compris que l'Allemagne a une approche différente de l'Europe...
Ce que Hollande ne veut pas faire pour la France, il espère que c'est l'Allemagne qui le fera. En plus il semble croire que l'Allemagne pourrait faire repartir la croissance chez nous sans que nous abolissions les normes d'urbanisme malthusiennes.
RépondreSupprimerNi l'Allemagne ni aucun autre pays au monde n'ont ce pouvoir. Si vous enfermez un enfant dans un corset en béton il ne grandira jamais, le reste de la famille peut se goinfrer en son nom, cela ne changera rien.
Ivan
Pourquoi les normes d'urbanisme sont-elles "malthusiennes" en France?!
SupprimerCe sont les normes (surface inconstructible, site classé, vue imprenable, hauteur limite de construction, coefficient d’occupation des sols, etc) qui ont pour objet d’imposer autoritairement une limite quantitative à la production de logements.
SupprimerElles sont incompatibles avec les objectifs poursuivis par les natalistes ; cela ne sert à rien d’encourager les naissances en amont si on ne peut pas construire en aval les logements nécessaires.
Ce sont donc des outils de contrôle de la croissance de la population, et la philosophie malthusienne de la politique de "maitrise" de l’urbanisme est désormais clairement affichée dans le code de l’urbanisme.
“Le schéma directeur de la région d’Ile-de-France a pour objectif de maîtriser la croissance urbaine et démographique et l’utilisation de l’espace tout en garantissant le rayonnement international de cette région” (article L141-1 du code de l’urbanisme)
http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074075&idArticle=LEGIARTI000022494054&dateTexte=20110824
Il y a encore quelques décennies, les planificateurs écrivaient toujours “maîtrise de l’urbanisme” et pas “maîtrise de la démographie”, sauf lapsus bien entendu.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas…
Ivan
Merkel défend-elle "les intérêts de l'Allemagne" ? Ce n'est qu'une partie de la vérité : certes les excédents commerciaux permettent aux patrons allemands de comprimer les salaires en conservant leurs débouchés, mais cet avantage est fragile. Un pays qui exporte la moitié de son PIB est excessivement exposé aux aléas internationaux - sans compter que cette politique suppose le rationnement perpétuel des salariés allemands. Quant à l'Europe, sa récession permanente risque d'en faire un boulet pour l'Allemagne. Les intérêts à moyen terme de cette dernière sont dans un recentrage vers le marché intérieur, donc la sortie de l'euro, même si ses élites n'en sont pas encore convaincues.
RépondreSupprimerOn peut toujours contester le bien-fondé d'une analyse portée par tel ou tel dirigeant d'un grand pays sur ce qu'est l'intérêt général du peuple dont il a la charge. Une telle contestation se développe par exemple au sujet de Poutine, lequel par sa diplomatie brutale ruinerait à terme son pays... Pourquoi pas au sujet de Merkel en effet, qui finirait par dresser contre le sien l'opinion de tous les peuples associés à l'Allemagne dans le cadre de l'UE.
SupprimerJe suis pour ma part assez réservé sur ce type de jugement : les nationaux sont souvent plus aptes que leurs voisins à décider de ce qui leur convient, dans le présent comme dans l'avenir, et à évaluer ce qui rentre dans le cadre de "leurs intérêts", même si les conséquences de ces décisions ne sont pas conformes aux nôtres. Et Merkel, par comparaison avec ses homologues des pays européens, et tout spécialement le nôtre, dirige sa barque avec un sens de l'intérêt général (celui de l'Allemagne) très sûr !
L'analyse de Marie-France Garaud à ce sujet me paraît très pertinente : les dirigeants allemands sont à la tête d'un Etat récent (même si la nation est, elle, plus ancienne) donc n'ont aucun scrupule à travailler prioritairement dans le sens de l'intérêt national, mais sans le crier par-dessus les toits. A la tête de la France, vieille nation construite par son Etat, nous avons droit à des nullités qui s'imaginent que décider dans le sens des intérêts des autres, et de plus en plus contre l'intérêt national, c'est faire une politique moderne et insérer au mieux le pays dans la mondialisation. Pratique peu avouée d'un souverainisme quasi-absolu dans un cas, haine de soi militante et dissolution de l'entité collective dans l'autre.
Je ne suis pas trop d'accord non plus avec le volet économique de votre commentaire car il me semble que le patronat allemand a déjà anticipé que les débouchés commerciaux européens de l'industrie allemande vont bientôt se tarir, du fait même des politiques d'austérité qu'ils promeuvent afin de mieux faire avaler chez eux la pilule de la déflation salariale. Simplement depuis quelques années la part européenne du bénéfice commercial que réalise ce pays baisse de manière très nette au profit de la part que représente la commerce allemand avec les pays hors zone euro. Une fois que le citron européen aura été complètement pressé, l'Allemagne réalisera tous ses excédents avec les pays émergents puisqu'elle a déjà commencé à le faire. Elle pourra alors abandonner la zone euro qui ne lui servira plus à grand-chose, tout en continuant à "rationner ses salariés" et à s'imaginer que le sort économique d'un pays dépend d'abord de sa capacité à exporter.
C'est absolument désastreux pour nous, mais probablement conforme à une vision étroite des intérêts allemands, c'est à dire indifférente voire méprisante pour les intérêts de ses voisins immédiats. Mais c'est la vision de Merkel, probablement en accord tacite avec l'opinion publique allemande puisque la chancelière est populaire, son pouvoir confirmé par les urnes depuis 2005.
Francis Commarrieu.
"les nationaux sont souvent plus aptes que leurs voisins à décider de ce qui leur convient". Quels nationaux ? Je vous rappelle qu'en France l'UMPS concentre toujours les 2/3 des suffrages, ont-ils raison pour autant ?
SupprimerQuant à votre idée que le mercantilisme allemand pourra indéfiniment se prolonger, j'en doute fort car il suppose que les pays déficitaires acceptent et financent leurs déficits ad infinitum, et d'autre part que la compétitivité allemande se maintienne... hypothèses que je tiens pour très improbables à moyen terme.
Plus généralement, nous ne sommes pas confrontés à un conflit d'intérêt entre la France et l'Allemagne, mais entre les rentiers et les producteurs, conflit qui traverse tous les pays, même s'il s'y manifeste différemment.
J. Halphern,
Supprimer- quand je dis que les nationaux sont plus aptes que les autres à définir leurs intérêts, je me place sur le terrain de la politique, de la souveraineté, des habitudes et du débat démocratiques au sein de chaque pays. Par exemple je n'ai nulle envie d'entendre un Allemand me dire ce qu'est ou doit être l'intérêt de la France, même si son avis peut-être écouté comme n'importe quel autre. Rappelez-vous comment P. Séguin avait tenté d'éconduire le chancelier Kohl lors du débat télévisé qui l'opposait au président Mitterrand lors du référendum sur le traité de Maastricht en septembre 1992.
- Je partage bien sûr votre avis sur le fait que l'UMPS ne défend ni ne définit correctement l'intérêt national malgré le pourcentage de voix obtenues lors des élections.
- L'Allemagne mercantiliste peut et pourra très bien se passer de nous une fois que nous serons "faillis" ou obligés de restructurer la dette en retrouvant la souveraineté monétaire, probablement dans les pires conditions en raison de l'aveuglement des cadres UMPS. Je dis que les patrons allemands s'y préparent déjà, en transférant leurs affaires vers les émergents, et que le système allemand pourra donc se maintenir plus longtemps que vous ne l'envisagez.
- Enfin il ne faut pas nier l'affrontement économique entre nations, surtout dans un cadre où les capitaux et les produits circulent sans entrave ! Votre dernier argument ressemble au camouflage des données géostratégiques par la lutte des classes. Je ne nierai sûrement pas la lutte entre rentiers et producteurs, mais le libre-échange à l'échelle de l'UE oppose de fait des producteurs entre eux, par exemple dans l'agriculture, notamment dans la production de lait et produits laitiers.
Nous ne pourrons éternellement faire l'impasse sur le nouveau conflit franco-allemand, qui se développe dans le domaine économique. Et dans ce cas, il vaut mieux avoir la connaissance la plus objective possible de l'adversaire.
FC.
Nous sommes au-delà de l'incompétence. On va s'amuser si la situation devient vraiment grave.
RépondreSupprimerjard
Scène de théâtre pathétique des "acteurs" européens .. Nous sommes dans une impasse, celle du model productiviste traditionnel. L'avenir ? l'économie circulaire, basée sur la croissance des services et non des "biens" de consommation. Le dé-tricotage de cette Europe absurde n'est qu'un premier pas.
RépondreSupprimerMatteo Renzi, cette nouvelle "coqueluche" des européistes, a aussi échoué à faire évoluer la politique de Madame Merkel! Même nombre d'économistes qui souhaitent voir l'Allemagne, moteur de l'UE, faire une relance salariale pour relancer la croissance en Europe. Celle qui s'achemine inexorablement vers la déflation; ça sera seulement quand l'Allemagne sera vraiment en panne comme les autres que Madame Merkel changera de politique.
RépondreSupprimerAnalyse stupide, digne d'un Barroso, Merkel détruit l'économie européenne et l'économie allemande qui commence à sérieusement s'essoufler. Pinsolle est pret à raconter les pires aneries pour défendre ses oeilleres souverainistes de grand papa.
RépondreSupprimer@ gilco
RépondreSupprimerAprès la faillitte ?
La mise sous tutelle par le FMI et la BCE
Des patrouilles de l'OTAN dans les rues pour protéger les banques et les apple stores et aussi les touristes quatariotes et chinois
Des chomistes en bande pillant pour survivre
l'Argentine, en somme
oui, merci les socialos !!!!
Supprimermerci les socialos ????
SupprimerGilbert Perrin
RépondreSupprimer26 min ·
ET VLAN ..... dans les DENTS !!!
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AFP , 13/08/2014 10:02:17
Le président de la banque centrale allemande Bundesbank, Jens Weidmann, le 11 juillet 2014 à Francfort
Le président de la banque centrale allemande Bundesbank, Jens Weidmann, a appelé la France à être "un exemple en matière budgétaire" et à cesser d'en appeler notamment à l'Allemagne pour soutenir sa croissance.
"Paris devrait exercer son leadership en donnant le bon exemple, notamment en matière budgétaire", a déclaré le patron de la Bundesbank dans une interview au quotidien Le Monde.
"Je suis sceptique quant à l'idée que l'on puisse réclamer plus de croissance durable depuis l'extérieur", a-t-il ajouté, "ce n'est ni aux gouvernements voisins, ni à la Banque centrale européenne (BCE), mais à chaque gouvernement de créer chez lui un environnement favorable à l'innovation des entreprises et à l'emploi".
Paris s'était récemment allié à Rome pour réclamer un "soutien plus ferme" de l'Allemagne en faveur de la croissance européenne.
"Ses excédents commerciaux et sa situation financière lui permettent d'investir davantage. C'est le meilleur service que l'Allemagne peut rendre à la France et à l'Europe", avait plaidé le président François Hollande dans la presse la semaine dernière.
Mais le gouvernement d'Angela Merkel avait rapidement opposé une fin de non-recevoir à son homologue français.
M. Weidmann, qui siège aussi au conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), a insisté sur les "défis structurels à relever" pour la France. A savoir, "redresser sa compétitivité" et "réduire le niveau très élevé de ses dépenses publiques".
Il a par ailleurs salué la mise en oeuvre du pacte de responsabilité et de solidarité par Paris. Selon lui, c'est en poursuivant dans cette voie que la France pourra "jouer son rôle au sein du moteur franco-allemand".
M. Weidmann est connu pour être un des membres les plus orthodoxes de la BCE. Il insiste souvent sur le rôle "d'exemple" de la France au sein de la zone euro, et était très sceptique à l'égard du délai consenti par Bruxelles à Paris pour ramener son déficit budgétaire sous 3% du Produit intérieur brut (PIB).
1/5
RépondreSupprimerLe gouvernement tétanisé par le scénario
noir de la rentrée
PAR MARTINE ORANGE
ARTICLE PUBLIÉ LE DIMANCHE 10 AOÛT 2014
La rentrée s’annonce sous de sombres auspices pour
le gouvernement. Selon les prévisions du Trésor, toute
l’Europe, y compris l’Allemagne, est prise dans une
spirale déflationniste. Tous les espoirs de retrouver
la croissance, d’endiguer le chômage, de redresser
les comptes publics risquent d’être réduits à néant.
Montebourg milite pour un changement de politique.
Valls hésite et Hollande ne dit rien.
Déflation. François Hollande a lâché le mot. « Il
y a un vrai risque déflationniste en Europe. En
France, l’inflation n’a jamais été aussi basse »,
déclare-t-il le 3 août au Monde. En marge d’un
entretien sur les relations avec l’Allemagne au moment
du centenaire de la Première Guerre mondiale, le
président de la République n’a pu s’empêcher de
s’attarder longuement sur les risques encourus dans
la zone euro. Comme si, après avoir découvert les
sombres prévisions économiques lors du séminaire
gouvernemental du 1er août, il estimait urgent de
préparer l’opinion publique à une rentrée difficile.
Comme s’il lui fallait prendre tout de suite à témoin
les Français pour leur annoncer que le sol se dérobait
sous ses pieds.
Le premier ministre Manuel Valls avait eu, lui
aussi, un ton alarmiste devant la presse à la sortie
de ce séminaire gouvernemental. « La rentrée va être
difficile en matière de conjoncture économique »,
avait-il annoncé. « À la mi-août, nous aurons
quasiment les chiffres de croissance pour l’année
2014, ainsi que les chiffres de l’inflation. On peut
constater et je constate qu’au niveau européen, la
croissance et l’inflation sont en retrait par rapport à
ce que nous pouvions atteindre. L’écart par ailleurs
se creuse entre la zone euro et le reste du monde, le
risque de déflation est réel », avait-il averti.
© Reuters
Le séminaire gouvernemental du 1er août ne devait
être qu’un séminaire de plus pour faire le point avant
les vacances. Pourtant, à en croire les témoins qui
ont recueilli les confidences de certains participants,
cette réunion marque un tournant. C’est un scénario
noir qui se dessine pour le gouvernement. Toutes ses
prévisions, ses espoirs de reconquête, ses engagements
de redressement budgétaire, ses plans de retour de la
compétitivité et d'allégement des charges paraissent
être à terre face à une conjoncture économique en
Europe qui se dégrade à toute vitesse.
« François Hollande semble avoir découvert la
rupture profonde causée par la crise de 2008. Il vient
de comprendre que tous ses schémas économiques
appris il y a quarante ans n’étaient plus de mise »,
résume un témoin qui s’est fait raconter la scène. «
François Hollande sait très bien que tout a changé »,
réfute un autre proche du pouvoir. « Mais il a triché
avec la vérité. Maintenant, il est rattrapé par son
mensonge. Il ne peut plus esquiver, faire miroiter un
retour de la croissance, une reprise de l’emploi qui ne
viennent jamais. Il est au pied du mur », dit-il.
Ce que le gouvernement a découvert lors de ce
séminaire est tout sauf une surprise. De nombreux
économistes ont mis en garde de longue date les
responsables européens sur les dangers d’imposer
partout en même temps des politiques d’austérité
budgétaire et de restriction monétaire. Cela ne pouvait
qu’entraîner la zone euro dans la déflation, ont-ils
prévenu. Ces dernières semaines, plusieurs rapports
du FMI ou de l’OCDE ont tiré la sonnette d’alarme
sur la situation en Europe. Les prévisions du Trésor,
@ Anonyme
RépondreSupprimerOn verra bien, mais certainement pas Le Pen.
@ Ivan
Débat intéressant sur les normes. J’ai l’impression qu’il faut un peu assouplir, pour avoir travailler sur le dossier, notamment sur les délais, en partie sur le COS, mais en même temps, ne cédons pas non plus à un laisser faire potentiellement destructeur.
@ J Halpern
C’est juste
@ Gilco56
On ne va pas commencer ce débat tous les jours non ? Merci pour la citation de la Bundesbank en revanche.
LP ? pourquoi n'a t'on pas le droit de rappeler des vérités, face à la cacophonie des contre vérités ????
RépondreSupprimerOutre le fait que ce ne sont pas des vérités (j'ai mis une référence sur un autre papier), il est impossible d'avoir un débat sérieux si on le recommence tous les jours. On en reste à la surface
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