Manuel Valls
a créé un sacré phénomène médiatique avec ses
déclarations sur le Front National, contre lequel la France pourrait se
fracasser. Un effarant retour dans le passé, où le parti lepéniste était
déjà le meilleur allié de François Mitterrand pour déstabiliser le camp
adverse…
Mitterrand
2.0 ?
Déjà, dans
les années 1980, le Parti Socialiste avait largement utilisé le FN pour
affaiblir l’opposition d’alors, en lui donnant un plus large accès aux
médias, en introduisant la proportionnelle, et en jouant avec l’idée du droit
de vote des étrangers… L’émergence
du parti lepéniste a probablement joué un rôle dans la victoire de 1988.
Une leçon sans doute retenue par François Hollande, conseiller à l’Elysée avant
1988, après l’échec de Lionel Jospin en 2002. On constate depuis quelques mois
que la
majorité joue ouvertement le jeu du FN en cherchant à réduire le débat
politique à une alternative entre eux et le parti lepéniste, poussant
Nicolas Sarkozy à parler, pour une fois pas totalement à tort, de FN-PS.
Car la
saillie de Manuel Valls n’est qu’un élément dans une stratégie globale,
comme le montre la
sortie du président de la République disant qu’il souhaite arracher les
électeurs au FN. L’autre élément de la stratégie de François Hollande pour
2017, c’est la droitisation de son discours économique, illustrée
par l’utilisation du 49-3 sur la loi Macron. L’idée des apprentis-sorciers
de l’Elysée est d’asphyxier
une UMP déjà peu fringante avec son
président qui préfère courir les conférences que la diriger. Trop modérée,
l’UMP se distingue trop peu du gouvernement. Trop dure, elle créé un pont vers
le FN pour ses électeurs. L’espace
politique de l’UMP n’est-il pas singulièrement réduit dans le contexte
actuel ?
Jouer
avec le feu…
Depuis deux
ans, le parti de la famille Le Pen bat record sur record, certes, dans un
contexte très favorable, mais qui
fait se demander à quel niveau il montera avec cette stratégie… Mais cela fait
sans doute partie de la stratégie, car les
innombrables limites du FN font que le PS pense sans doute qu’il le battra
forcément au second tour, le seul enjeu étant d’éliminer l’UMP au premier tour…
Mais le gouvernement devrait veiller à ne pas s’aliéner inutilement des
intellectuels pour des procès en sorcellerie, comme Manuel Valls avec Michel
Onfray, qui
a répliqué vivement sur Europe 1.
Ce nouveau dérapage
du Premier Ministre démontre aussi une crispation et une légèreté qui
n’augurent rien de bon.
Cette
focalisation cynique du débat sur la question du FN sert un double objectif.
D’abord, elle permet de relativement occulter le débat sur la politique menée
depuis près de 3 ans. Ensuite, elle
vise à placer les Français devant une alternative entre eux et Le Pen. Un
triste jeu.
Bien sûr Valls-Hollande ainsi que tout le PS sont les meilleurs agents électoraux du FN cependant les "innombrables limites du FN" ne sont pas celles, ni aussi nombreuses que vous le croyez parce qu'élections en élections quelques soient leur nature et les réserves qu'on peut émettre à chaque fois il n'empêche qu'il progresse. Cependant pour l'élection majeure du pays qu'est la Présidentielle de 2017 puis les législatives il n'est pas sûr du tout que cela suffise à assurer l'élection de Marine Le Pen.
RépondreSupprimerCe n'est que du petit detail politicien, rien de bien grave, le probleme est plutot que ni l UMP ni le PS n'a de programme autre que ce qui peut etre accepte dans le cadre de l'euro/Bruxelles/Berlin.
RépondreSupprimerIls refusent la possibilte de sortir de l'euro et sont donc coinces, pieds et poings lies (de leur propre chef, 2005, 2011) a faire des ecrans de fumees ( cf Sarko).Il n'y a plus de Gaulliste a l UMP, ce parti peu disparaitre ou faire fusion avec le centre/PS.Aucune importance a la fin.
les jeunes votent FN, les vieux UMPS, l'histoire est ecrite.
L'enjeu de ces élections n'est pas très important.
RépondreSupprimerLes fans du FN devraient jeter un coup d’œil en Autriche, la gestion populiste de la Carinthie par Haider se révèle avoir été catastrophique.
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/e5167f94-c73d-11e4-959d-74804f4bcbe7/Autriche_la_facture_des_ann%C3%A9es_Haider_salourdit
Curieux raisonnement. D'abord comparaison n'est pas raison. Mais au final on sait bien que les gaullo-souverainistes préféreront par hostilité à l'égard du FN , faire perdre leurs idées en choisissant au second tour de la présidentielle le candidat anti FN quel qu'il soit.
SupprimerPour savoir qui est l'ami de qui, il faut se souvenir du référendum de 2005 et qui sont ceux qui l'ont trahi ensemble.
RépondreSupprimerPour savoir qui est l'ami de qui, il faut se souvenir du référendum de 2005 et qui sont ceux qui l'ont trahi ensemble.
RépondreSupprimerLe Fn est le parti des patriotes dont les yeux sont ouverts.
RépondreSupprimer@laurent Herblay
Ce commentaire est hors sujet veuillez m’en excuserJe vous apprécie pour votre effort d’y répondre ce qui me laisse penser que vous comprenez que ce ne sont pas les individus, y compris ceux dont l’orthographes et la syntaxe est approximative, qui sont importants mais les idées qu’ils véhiculent.
Toute fois je vous reproche de faire plus confiance à vos connaissances qu’à vos réflexions. Vous êtes un pur produit de notre éducation nationale qui pousse davantage vers le savoir que le comprendre. Votre préférence s’exprime quand vous dites :
« cette histoire de troc est un mythe néolibéral jamais démontré. Merci de me donner des sources sérieuses indiquant des pays où cela se serait passé comme cela. Moi, je vous oppose la lecture de plusieurs livres d’intellectuels de pensées différentes »
Vous faites une fixation, à propos du troc et de la monétisation, sur des passages de vos lectures qui deviennent votre catéchisme.
A propos du troc vous ne retenez que ce que vous voyez dans des trocantes où des enfants échangent les jouets du noël précédant.
Le troc tribal ce n’est cet un échange d’objet c’est avant tout l’échange ‘’d’un effort et d’une compétence’’ entre deux individus. L’essentiel n’est pas l’objet mais cet ‘’effort et cette compétence’’ qui donne naissance à ces objets ou ces services et plus tard : la jouissance par leurs consommations ou leurs usages.
Dès lors que vous considérez la réalité de ce troc, ‘’d’effort et de compétence’, vous n’avez plus besoin de connaissance pour arriver à l’existence de ce troc aujourd’hui qui ne se fait plus sur un lieu et dans un temps unique mais sur des lieux et des temps distants. Vous n’avez plus besoin de livre pour comprendre la monétisation. Il vous suffit d’observer les évolutions de ce troc, en parallèle de l’évolution de la monétisation qui accompagne les biens et les services, puis l’évolution de notre troc ‘’d’effort et de compétence’’ dont les biens et services sont issus.
Après l’aire du troc tribal est venu l’aire des marchands où apparait la monétisation ‘’des efforts et compétences’’ du producteur par le marchand qui échange un objet contre une autre : l’or ou l’argent qui devient monnaie d’échange et le producteur pourra alors changer cette monnaie or et argent contre un biens ou un services d’un autre marchand qui le possède parce qu’il l’a lui-même échangé contre de l’or ou de l’argent bien avant et loin de là.
Vous comprenez, sans besoin de livre, que l’or ne circule pas en tant qu’or mais en temps que monétisation ‘’des efforts et compétences’’ des créateurs des biens ou services auquel il s’ajoute ‘’l’effort et la compétence du marchand’’. Nous avons donc, dés cette aire des marchands, passé d’un troc sur un lieu et un temps unique à un troc sur des lieux et des temps distants.
Nous avons ici la démonstration que le troc n’est pas ce que vous prétendez : « un mythe néolibéral jamais démontré »
Vous comprenez aussi :
1° que l’origine de la monétisation n’est pas la dette issus d’un emprunt, mais la monétisation d’un ‘’effort et d’une compétence’’.
2° que vous avez une circulation de biens et de services et une circulation de monnaie en parallèle et cela s’appelle ‘’l’économie réelle’’.
3° qu’au fur et à mesure de l’expansion du commerce le volume d’or et d’argent circulant augmentant : il a été préféré de stoker l’or et l’argent et ne faire circuler que des récépissés d’once d’or.
3) En prenant conscience que ce n’était pas l’or qui circulait mais des monétisations d’efforts et de compétences des actifs qui produisent et font circuler nos biens et nos services, cette monétisation n’avait plus obligation de se rattacher à l’or mais à des unités constitutionnelles, par nation ou groupe de nations et en cas d’unité monétaire entre nations différentes mettre en place une unité de change.
Pour conclure cette première partie ; tout ce qui vient d’être dit jusqu’à présent et ce qui suit ne sont pas des théories mais des réalités incontournable sauf à affirmer, de mauvaises foies, sans argumenter.
Suite ci après
Ces réalités sur l’évolution du marché des biens et des services et l’évolution de la monétisation des ‘’efforts et compétences’’ lors de la production et la distribution, des biens et des services n’ont pas de défauts structurels à corriger. Si défaut structurel à corriger il y a c’est que part la suite la monétisation ne s’est pas limité à cette monétisation des ‘’temps d’activités’’ où s’est exercés ‘’les efforts et les compétences’’ des actifs mais ont apparut d’autres monétisation pour tenir compte de l’évolution de notre vie sociétale qui a remplacé la solidarité entre membre de la famille par la solidarité des citoyens entre eux.
RépondreSupprimerCette solidarité à trois facettes :
--La solidarité des actifs vers des inactifs. Par le principe d’actifs qui partagent leurs productions, élaborés durant leurs ‘’temps d’activité’’, avec les inactifs pour leurs ‘’ temps d’inactivité’’.
--La solidarité entre familles du fait des inégalités de productions, dans notre société de troc moderne qui son la conséquence des circonstances conjoncturelles à chacune des familles.
--La solidarité dans des usages de biens et services soit par usages mutualisés, soit des usages collectivisés.
En 1936 la naissance des congés payés, autrement dit la rémunération de ‘’temps d’inactivité’’ a nécessité son financement, c’est alors qu’il n’a plus été considérer que la monétisation était celle des efforts et compétence des producteurs mais la monétisation des biens et des services qui comprendrait la monétisation des ‘’temps d’activités’’ plus une monétisation pour des ‘’temps d’inactivités’’, d’abords pour des vacanciers, puis des retraités, des malades, etc.
Mais, bien avant cela, puis encore après, nos gouvernements, par la taxe ou l’impôt avaient et ont mis en place d’autres monétisations des biens et des services pour assurer des dépenses d’usages mutuels ou collectifs.
Au point où, aujourd’hui, la monétisation n’est plus, hélas, celle des efforts et compétences des producteurs mais la valeur d’un bien ou d’un service se composant de
Monétisation des ‘’temps d’activités’’ ‘’d’efforts et compétences’’ des producteurs.
Monétisation des ‘’temps d’inactivités’’ de citoyens
Monétisation des dépenses pour usages mutuels et collectifs, des biens et services
Ces amalgames sont des erreurs structurelles dont nous n’en descellons pas l’existence pour des raisons de sémantique, par refus d’appeler un chat un chat. Si un chat est un chat :
Notre vie sociétale est régis par ‘’l’économie réelle’’ (la circulation des biens et services du début de leurs productions jusqu’à l’usage ou la consommation par les citoyens) qui prévoit un partage des biens et des services entre citoyens concomitamment par :
1° partage citoyen en fonction ‘’des temps d’activité’’ des citoyens producteurs de ces biens et de ces services et des ‘’temps d’inactivité’’ des citoyens.
2° partage sociétal pour mutualisation et collectivisation de certains usages et consommations des tous les citoyens.
Et de ces partages seuls les % de biens et de services affectés entre ces usages sont à retenir.
Tout est dit sur la réalité de notre vie sociétale présente. Et vous conviendrez que ce n’est pas une théorie.
Le reste, fiscalité, entreprises payeuses, cotisation, prélèvement, Etat providence, taxes… : ne sont que des théories fumeuses que vous trouvez dans les livres bien qu’elles ne soient que des imaginations et non des réalités. Mais hélas ces imaginations que vous prenez comme réalité, deviennent les causes de toutes les erreurs structurelles présentes.
Ce n’est que le retour à la réalité qui permet de supprimer ces erreurs.
Unci TOÏ-YEN
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RépondreSupprimerLa meilleure façon d'empêcher ce scénario est que la droite (non affairiste et non atlantiste) se rapproche du FN. Il n'y a pas d'autre solution sinon c'est le système UMPS qui perdurera plus que le FNPS qui sonne faux. Laurent il faudra choisir votre camp. Je crains que par hostilité systématique au FN vous fassiez le jeu de l'euro-mondialisme que vous dénoncez régulièrement dans vos articles. Je crains que vous choisissiez plutôt le "système", plutôt que d'avoir le courage d'engager un dialogue certes non complaisant mais un dialogue quand même avec le FN. Malheureusement et c'est toute la faiblesse de Debout la France c'est qu'au final ce mouvement dont vous avez été membre préférera faire le jeu du PS ou d'un UMP tourné vers le centre plutôt que d'élargir avec le FN, le camp patriote. Dommage et c'est bien triste.
RépondreSupprimer@LH,
RépondreSupprimerDans un premier temps je ne comprends toujours pas la raison de tant de papiers contre ce parti alors qu'il est la formation me semblant avoir le plus de points de compatibilité avec DLR ou DLF. C'est pour moi un absolu mystère.
Vous relevez une stratégie du PS, fort bien. Mais je ne vois pas en quoi une t-elle stratégie visant à faire du FN un instrument de conquête politique peut permettre de tirer des conclusions au-delà du PS et de cette stratégie elle-même.
Le FN de MLP existe par lui-même et selon des propositions claires visant à un retour vers un système plus démocratique - jusqu'à une forme de démocratie référendaire - et plus républicain par la réaffirmation de principes et d'un droit rigoureusement attaché aux grandes libertés publiques célébrés par le courant républicaniste (disons les nationaux-républicains).
Si le PS se perd en calculs et tactiques, il n'en reste pas mois que le FN propose très concrètement une alternative constituée qu'il est prêt à mettre en oeuvre avec le soutien des français. Les dernières élections en ont fait le premier parti de France, et le premier depuis déjà longtemps chez les précaires, les jeunes, les ouvriers, les séniors, et désormais une bonne partie des classes moyennes.
Si c'est la seule conjoncture qui détermine l'électorat qui va vers ce parti, on est alors toujours dans ce postulat tout de même assez contestable qui fait des électeurs du FN des individus menés, eux et manifestement eux seuls, par leurs nerfs et sentiments.
C'est bien légitimement que cet électorat demande à être respecté, ce qui sous-entend de ne pas le considérer comme dénué de rationalité politique du fait d'un tel choix. Faut-il nécessairement considérer que la validation du système actuel, de fait des formations qui l'ont constitué, est le choix le plus rationnel sur le plan politique pour ceux qui veulent changer les choses et sortir de l'austérité ?
Je trouve en dernier lieu étonnant que l'on vienne alléguer, après avoir relever la formidable dynamique politique et électorale de ce parti, ces "innombrables limites" - qu'il conviendrait d'exposer très précisément - alors que depuis 2011 la progression et régulière et constante et s'est même accélérée depuis 24 mois.
Ne faut-il pas voir là l'évocation de ce fameux plafond de verre qui n'a cessé d'être passé et dont j'attends toujours pour ma part la formulation scientifique précise ?
Ne convient-il pas enfin de faire également le point sur les limites politiques des autres partis depuis ces quatre dernières années ?
Il apparaît avec évidence que seule une alliance avec le FN de MLP permettra au camp souverainiste de mettre un terme au statut quo UMPS ; s'y opposer c'est voter pour ce parti unique qui ne cesse de nous mener depuis 30 ans dans le mur. Au final les choses sont assez simples ; et il y a longtemps, De Gaulle à montré le chemin.
Bravo. tout est dit et d'ailleurs Debout la France qui se réclame du gaullisme ferait bien de prendre exemple sur le Général De Gaulle qui lorsqu'il s'est retrouvé à Londres a accepté le concours des personnes qui se présentaient à lui quel qu'ait été leur passé politique.
SupprimerMoi, je pense qu'Hollande et ses sbires vont finir comme "l'austère qui se marre" (nom donné à Jospin par le Canard enchaîné) a fini.
RépondreSupprimerHollande, Valls et les comiques associés continuent à dérouler leur com' avec éléments de langage préparés dans les arrière-cours en se racontant des histoires sur 2017. Pourtant, s'il est clair que des électeurs les soutiendront face au FN, il est aussi sûr que d'autres - nombreux - vont se venger et leur infliger un camouflet sévère. Nul n'est aujourd'hui capable de dire ce que seront les proportions, mais je prends le pari : le PS va "se prendre une grosse claque" et la première est proche. Rendez-vous le 29 mars au soir.
DemOs
Le PS va prendre une belle claque, c'est sûr. Il y a à peine un an il nous disait que le conseil général est une collectivité dépassée qu'il faut supprimer, et maintenant ils présentent des candidats. C'est gonflé.
RépondreSupprimerIls n'ont guère plus de crédibilité que les ceux qui s'étaient présentés aux législatives après avoir perdu la présidentielle alors que le PS avait inversé le calendrier sous prétexte que la cohabitation était une catastrophe qu'il fallait absolument éviter. D'ailleurs cette fois ci aussi le calendrier a été trafiqué.
Ils devraient savoir que les électeurs français sanctionnent toujours ce genre de truc. Tant pis pour eux.
Ivan
L'idée de souveraineté renaît essentiellement à cause des attitudes de Hollande et Sarkozy qui n'ont ni la volonté ni la capacité d'imposer à Bruxelles des mesures qui préserveraient à la fois nos industries ,notre agriculture et nos protections sociales ...cette soumission à une Allemagne intransigeante est la principale cause de l'abstentionnisme,favorable au FN, ,le vote étant devenu inutile ,les décisions étant prises "ailleurs"...Et reconnaissons tous qu'il faudra bien que les souverainistes de tous bords s'entendent pour nous sortir de ce qui est une véritable trahison de nos intérêts....Comment croyez-vous qu'est née la Résistance,,sinon d'une union de patriotes?????
SupprimerDeux questions peuvent tempérer notre enthousiasme :
Supprimer1. l'inertie des électeurs-citoyens est impressionnante,
2. il n'existe aucune alternative solide, puissante, même pas à l'état d'embryon.
Mais, après tout, nous sommes peut-être à la veille d'un grand bouleversement sans le savoir, ni percevoir de signes précurseurs.
DemOs
@ Anonyme 10:29
RépondreSupprimerMerci pour ce lien
@ Rinocero
Une victoire du FN ne serait pas une victoire de nos idées. Quelques points communs, mais pour des motivations différentes, et bien des différences
J’ai choisi mon camp dans le Doubs, ou à d’autres moments. Après, je ne me prononce plus sur ce que choisira (ou pas) Debout la France.
@ Anonyme
« Le patriotisme, c’est l’amour des siens, le nationalisme, c’est la haine des autres » a dit quelqu’un. Les gaullistes viennent du premier, le FN du second…
@ Un citoyen
Vous écrivez beaucoup, mais cela n’enlève rien au fait que vous évoquez un mythe (celui du troc) que des auteurs sérieux et d’origines différentes, ont démonté, et que je crois. La longueur de vos commentaires ne rend pas les mythes que vous évoquez plus vrais… Sur quoi repose ce que vous avancez ? Rien.
@ Anonyme 20:00
Une raison simple : je pense que le FN est pire que le PS et l’UMP
Sur les limites, j’ai consacré de nombreux papiers sur le sujet et je renvoie vers un d’entre eux. Les limites des autres partis, je les expose volontiers…
Le FN fait partie de l’équation qui bloque notre pays dans une impasse depuis plus de 30 ans…
@ Démos
Il est clair que le 29 mars, ce sera sans doute une déroute
@ Ivan
Bien vu
@LH,
RépondreSupprimer1."Une raison simple : je pense que le FN est pire que le PS et l’UMP".
Sur quels points précis sachant qu'UMP et PS sont de l'équation depuis 30 ans, ont gouverné chacun leur tour avec le résultat que l'on sait, alors que le FN non.
2. "Sur les limites, j’ai consacré de nombreux papiers sur le sujet et je renvoie vers un d’entre eux."
Je n'y ai pas vu ses fameuses limites, ce d'autant que le FN n'a cessé de progresser électoralement depuis 2011 et qu'il expose un programme clair et cohérent sur ces grands sujets régaliens au soutien de l'idée républicaine.
3. "Les limites des autres partis, je les expose volontiers…"
De quels autres partis s'agit-il ? D'autres partis souverainistes ? Lesquels ?
4. "Le FN fait partie de l’équation qui bloque notre pays dans une impasse depuis plus de 30 ans…"
Quand a t-il été de l'équation ? Il n'a jamais été au pouvoir. L'équation politique est tracée et mal résolue par les mêmes depuis 30 ans. N'est-il pas temps de changer cette équation politique, et ce au-delà des calculs politiciens ?
Seul un large rassemblement souverainiste, au sein duquel le FN est de fait la force principale et incontournable, permettra de changer les choses, de changer l'équation. A défaut, le parti unique sera indéfiniment qualifié pour reconduire indéfiniment la même politique.
L'UMP va finir comme le PASOK grec.
RépondreSupprimerNicolas Sarkozy et Coppé ont décomplexé leur électorat : ils les ont poussé dans les buissons. Le résultat logique est la disparition de l'UMP au profit du FN.
Valls n'y est pour rien. Sarkozy est entièrement responsable de la situation.