Bien sûr, il
n’est pas le seul, et il y en a d’autres dont on pourrait dire la même chose,
notamment celui qui a précédé François Hollande, ce conférencier
de luxe, en
affaires avec Bernard Tapie. Mais Pierre Moscovici est a minima un
prétendant sérieux au titre du pire homme politique.
Faites ce
que je dis, pas ce que je fais
Il ne
fallait sans doute pas s’attendre à autre chose d’un
« übersexuel » qui trouvait
le moyen de dénoncer la peoplisation de la vie politique tout en parlant de sa
vie privée dans Gala. Déjà, il
était assez stupéfiant, pour ne pas dire davantage que celui qui, comme
ministre de l’économie, a
soutenu pendant un an que la France atteindrait 3% du PIB de déficit en 2013,
puis annoncé que cela serait atteint en 2015, avant que cela ne soit à
nouveau repoussé de deux ans, soit
nommé au poste du commissaire européen justement en charge du contrôle des
engagements budgétaires des pays ! Un exemple du caractère arbitraire
et sans scrupule de cette construction, dont les règles s’appliquent à
géométrie variable.
Quelques
mois après sa nomination, voici un des pires contrevenants des règles
budgétaires européennes qui se retrouve en position d’abitre des ministres des
finances européens. Pas illogiquement par rapport aux règles de Bruxelles,
voici celui qui était encore ministre à Bercy il y a un an, dire que « l’effort
de la France n’est pas suffisant ». Soit il n’a aucun amour
propre, ce
que l’interview à Gala infirme
totalement, soit il est d’un cynisme tout mitterrandien, capable de dire
une chose et de faire le contraire. Pour Marianne,
« certains
jours, il est bien difficile de distringuer les pastiches signés du ‘Gorafi’ et
les vraies informations ». Moscovici, c’est un peu le cancre de la
classe qui prend la place du professeur.
Le
prototype de la gangrène UMP-PS
Il y a
quelques années, leur comportement était sans doute moins indécent. Ils
semblaient avoir un certain respect pour l’Etat et les fonctions qu’ils
occupaient. Aujourd’hui, ces êtres concentrés sur leur nombril, qui semblent se
croire dans une vulgaire émission de téléréalité, ne semblent plus avoir le
moindre surmoi pour les retenir quand ils dépassent les limites. D’où
l’interview schyzophrène et indécente dans Gala,
digne du confessionnal de TF1. D’où sans doute également cette
lettre en anglais envoyée à Michel Sapin au sujet du budget de la France, alors
que le français est tout de même une langue officielle de l’UE, qui lui avait
valu le prix, bien justifié, de « la carpette anglaise » en décembre
dernier.
Pierre Moscovici
est sans doute un des pires pantins de cette classe politique, aussi
superficiel, ridicule et inconséquent que le pire candidat de téléréalité,
capable de dire et faire tout et son contraire sans la moindre gêne. La seule
différence, c’est que leur situation semble plus stable finalement.
Vous aviez encore des illusions sur Pierre Moscovici et toute cette classe dirigeante interchangeable! Vous êtes pathétique, Laurent! La constance dans vos illusions. Cette UMPS qui fait le même politique en tout point. Celle qui prend ses ordres à Bruxelles, Berlin et Washington. Celle aussi qui vient de prendre une nouvelle claque en politique étrangère puisque John Kerry vient de reconnaître, enfin, comme nos 4 députés qui sont allés voir l'affreux tyran sanguinaire Bachar El Assad, par réalisme politique et non par droits de l'hommisme et autre philosophie politique néoconservatrice. En ce domaine comme en tout autre François Hollande met ses pas dans ceux de Nicolas Sarkozy et de sa désastreuse guerre libyenne, lui qui voulait bombarder la Syrie et son affreux dictateur, nous aurions eu un même résultat si, déjà, les US sous pression russe n'y avaient renoncé, ce fût le premier camouflet de politique étrangère de Fabius et Hollande. Nous aurions la Libye en pire, avec Daech à Damas.
RépondreSupprimerNe vous plaignez pas, Laurent, vous préférez le maintien au pouvoir de cette caste oligarchique plutôt que le risque FN version MLP. Vous allez contribuer en 2017 à la réélection de François Hollande.
@ Laurent Pinsolle
RépondreSupprimerQuant on partage les idées des gens que l'on combat petit à petit on s'isole d'autant que l'on n'accepte pas des idées nouvelles sous prétexte " qu'une théorie ne se justifie que par l'exemple concret’’ auquel cas la théorie d'Einstein n'existerait pas, ni même celle de Galilée et le soleil tournerait toujours autour de la terre.
En économie il en est de même la théorie économique issue de la lutte de classe, avec le résultat qu’on lui connait, attend celle qui va la remplacer.
Quant on vous propose :
L’ECONOMIE est la coexistence de « L’économie PATRINONIALE » (tous biens meubles et immeubles, parts sociales, épargnes, reconnaissances de dette, valeurs boursières et tout actif non monétaire) et de « L’Economie REELLE » ; deux économies distinctes à ne pas mélanger.
Chacune de ces deux économies à ses propres flux ‘’ financiers’’ strictement réservé à elles et, entre ces deux types d’économie, se créent un flux qui est obligatoirement dans les deux sens et en valeur égale pour s’annuler.
Nous avons, en simultané ou léger différé, un débit de « l’économie réelle » qui devient crédit de « l’économie patrimoniale » quand intervient l’acquéreur d’un patrimoine et un débit de « l’économie patrimoniale » qui devient crédit de « l’économie réelle » quand intervient le vendeur du patrimoine.
La caractéristique du flux financier entre « Economie Réelle » et « Economie Patrimoniale » est de devoir être toujours équilibrée.
La caractéristique du flux financier interne de « l’Economie Réelle » est de se faire en simultané avec la circulation d’un bien ou d’un service, de ‘’main en main’’.
La caractéristique du flux financier interne à « L’Economie Patrimoniale » est de se faire en simultané avec la circulation d’un patrimoine de ‘’main en main’’.
La monétisation n’existe que dans ‘’l’économie réelle’’,
La monnaie qui circule dans « l’Economie Patrimoniale » n’est que le passage furtif de la monnaie provenant de « l’économie Réelle ». Il faut veillez à l’équilibre des flux entre ces deux économie comme il doit se veillez à l’équilibre de notre balance commerciale dans « l’Economie réelle ».
Chacun comprendras que tout flux financier qui n’est pas fait en simultané d’une circulation d’un bien, d’un service, d’un patrimoine est un flux à proscrire.
Quant est pris en considération que les flux financiers, dans « l’économie réelle », prennent naissance avec trois monétisations.
Monétisation des ‘’temps d’activités’’ ‘’d’efforts et compétences’’ des producteurs.
Monétisation des ‘’temps d’inactivités’’ de citoyens
Monétisation des dépenses pour usages mutuels et collectifs, des biens et services
Pour déterminer le prix d’un bien ou d’un service.
Il devient alors normal de considérer que tous flux qui accompagnent une circulation d’un bien ou d’un service, soit interdit si ces flux sont privés de
Monétisation des dépenses pour usages mutuels et collectifs, des biens et services
Deux monétisations qui matérialisent notre vie sociétale de solidarité citoyenne.
l’ECONOMIE n’est pas la complexité que l’on prétend et peut être rationnelle.
Dans ‘’ l’économie Réelle’’ :
Entre les nations : le prix d’échange des biens et services doit se faire avec l’unique
Monétisation des ‘’temps d’activités’’ où s’exercent ‘’efforts et compétences’’ des producteurs.
Dans la nation : pour satisfaire le niveau social décidé souverainement, la circulation
Des biens et des services doit se faire au prix cumulant les trois monétisations
Monétisation des ‘’temps d’activités’’ ‘’d’efforts et compétences’’ des producteurs.
Monétisation des ‘’temps d’inactivités’’ de citoyens
Monétisation des dépenses pour usages mutuels et collectifs, des biens et services
En récidivant votre pensé : « ce sont de longues litanies théoriques, sans le moindre exemple concret » vous continuer à vous isoler.
Unci TOÏ-YEN
@ Anonyme
RépondreSupprimerOù ai-je écrit que j’ai la moindre illusion. Dès les débuts du blog, j’ai montré que je n’en avais aucune et cela remonte à plus de 20 ans. En revanche, je persiste à penser que le FN est sans doute encore pire