Hier, la
table ronde du ministre de l’agriculture au sujet de la crise de la filière
porcine, s’est tenue sans les deux premiers groupes de la fillière, qui jugent
la hausse du prix du porc demandée trop élevée. Malgré tout, la
cotation du Marché du porc breton devrait reprendre aujourd’hui.
Une
réouverture totalement illusoire
Cela fait plus
de deux mois que les
éleveurs manifestent contre la baisse des cours sous le prix de revient, que
certains estiment autour de 1,50 euro le kilo, alors que les prix étaient
tombés à 1,23 euro. D’abord, le gouvernement a pris les manifestants à la
légère, Stéphane Le Foll ayant le culot de répondre à un éleveur « c’est
moi le ministre, mais moi je ne peux pas tout régler hein, un ministre n’est
pas là pour décider tout ce qui se fait dans le monde », le
gouvernement se contentant d’aides totalement dérisoires. Avec le maintien de
la pression, le
montant des aides a été revu à la hausse, le gouvernement a fixé un prix
objectif de 1,40 euro, sans coercition, ce
que les deux premiers acheteurs ont refusé.
Pour donner
le change et entretenir l’illusion que la majorité agit, Stéphane
Le Foll est venu à l’Elysée avant de tenir une table ronde avec les
principaux acteurs de la filière pour essayer de rouvrir le marché breton du
porc qui avait fermé du fait du refus des deux
principaux acteurs, Bigard et Cooperl, de se plier au prix non contraignant
fixé par le gouvernement. Toutefois, le
président du marché a annoncé sa réouverture demain malgré l’absence des
deux principaux acheteurs, qui
pèsent environ 40% de l’abattage de porc en France, et demandent « un
retour à un prix de marché libre ». Ainsi, il n’est pas assuré que
les prix se situent à 1,40 euro aujourd’hui, puisqu’il n’y a aucune mesure
contraignante. ..
S’agiter
pour faire semblant d’agir
En demandant
aux acteurs de la filière en France de consentir librement à acheter le porc
plus cher que sur les autres marchés européens, le
gouvernement montre qu’il a renoncé à vraiment agir et qu’il ne propose pas de
solution durable pour les éleveurs. Avec la pression des immenses
exploitations de nos voisins, qui ont aussi l’avantage de salaires bien plus
faibles, la
concurrence est totalement déloyale pour nos éleveurs. Devant des
politiques qui refusent d’agir, les
éleveurs sont poussés à des actions choc pour trouver de l’aide et essayer de
sensibiliser l’opinion, ce
qui a poussé certains distributeurs à répliquer à la décision de Bigard et
Cooperl par un boycott de leurs produits pour soutenir les éleveurs.
La
crise des éleveurs est profondément symptomatique des excès des marchés non
régulés. Ces derniers peuvent ruiner d’honnêtes travailleurs. Chaque acteur
défend ses propres intérêts, à sa manière, dans
un cadre collectif qui a renoncé à agir et ne fait plus que tristement laisser
faire.
c'est vraiment une négociation du porc épique
RépondreSupprimerStan
La solution la plus adaptée (et probablement la seule) est la dévaluation de la monnaie française. Ah, j'oubliais, on peut toujours pas quitter l'euro...
RépondreSupprimer@ Stan
RépondreSupprimerVous avez mille fois raison l’histoire du porc est une épopée digne de celle de la Grèce : mais une tragédie qui trouve sont origine dans ce que vous dénoncer , par ailleur, l’incapacité des partis politiques à tenir compte de l’évolution.
En particulier une évolution de la monnaie qui n’est plus le papier remplaçant l’argent ou l’or mais une valeur qui n’a plus, au XXI° siècle, une seule fonction mais deux fonctions distinctes depuis que la solidarité familiale est devenue solidarité citoyenne et nous consommons de plus en plus mutuellement ou collectivement :
1° celle d’être, pour un bien ou service, une valeur d’ECHANGE quand se fait du commerce extérieur 2° Celle d’être, pour ce même bien ou service, une valeur de partage quand il se fait du commerce intérieur.
Quant-il s’agit de faire commerce international la valeur d’un bien ou d’un service n’est plus une valeur de partage mais une valeur d’échange consistant d’échanger des –richesse réelle- entre nation en utilisant la -richesse imaginaire- matérialisée par la monnaie.
Au passage ces valeurs permettent de quantifier si une nation produit pour les autres nations autant que les autres nations produisent pour elle. C’est la définition de la balance commerciale qui met en évidence a) l’équilibre des monnaies qui circulent entre nation mais aussi b) l’équité de production des nations entre elles.
Quant-il s’agit de commerce intérieur la composition du prix d’un bien ou d’un service est la somme d’une multitude de composante sans que nos élus nous disent que chacune de ces composante, individuellement, qu’a qu’une fonction celle de servir à un partage qui ne peut être qu’un partage au profit
a) A l’usage des actifs pour ses temps d’activité
b) A l’usage des inactifs pour leurs temps d’inactivité
c) A l’usage des consommations mutuelles des actifs et inactifs
d) A l’usage des consommations collectives des actifs et des inactifs.
C’est ainsi que notre éducation nationale et nos élus qui n’ont pas le sens de la simplification remplace quatre usage par des multitude de composante d’un prix donnant une valeur à un bien ou un service pour dénaturer la fonction de cette valeur et ne plus être une valeur de partage mais un équivalent d’argent ou d’or.
Tout au long de l’élaboration d’un bien ou d’un service les actifs (qu’ils soient physiques, intellectuels ou financiers) apportent une valeur ajoutée à ce biens ou ce services et la valeur de PRODUCTION de ce biens et alors celle de la somme des valeurs ajoutées de la production. Une production qui peut très bien partir à l’exportation que rester et devenir une CONSOMATION nationale.
Dans un cas : la valeur d’échange avec une autre nation est la somme des valeurs ajoutée qui ont déterminées la valeur du bien ou du service.
Puis la valeur de cette PRODUCTION ou de nos IMPORTATIONS quant elles deviennent nos CONSOMMATIONS prennent pour valeur : la valeur qui permet le partage de toutes nos consommations à raison de 40% pour les actifs (temps d’activité) et 60% pour les inactifs (temps d’inactivité).
Nous connaissons la valeur qui revient aux actifs (valeur d’échange) la sommes des valeurs ajoutées distribuées, le plus équitablement entre actifs il va de soi, et permet de réserver 40% des consommations en leurs faveur et cette valeur d’échange de production, majorée de 150%, permet alors d’avoir la valeur de partage des consommations réservant alors : 60% des consommations aux inactifs qui se les partagent équitables entre les différentes catégorie d’inactifs et dans chacune des catégorie inactifs entre leurs ayants droits, et dans l’un ou l’autre des partage toujours avec le maximum d’équité.
Où est le parti politique qui nous dit ces réalités ?
Unci TOÏ-YEN
Unci TOÏ-YEN
Supprimervous me mettez dans l'embarras....parce que ce matin, à la fraîche, j'ai fait mon gamin farceur en balançant un jeu de mot de maternelle supérieur sans aucune autre pensée...
oui je sais au troisième âge, il arrive de se détendre avec des riens
Stan
un oubli: mon commentaire qui précéde serait, selon Herblay, un dogme néo libéral !
RépondreSupprimerA vous de juger!
UnciTOÏ-YEN
Interdisons la consommation du porc, le problème sera réglé.
RépondreSupprimerPourquoi supprimer le porc ?
SupprimerSupprimons l'homme et le Pb du porc et biens d'autres seront résolus.
Ou alors demandons aux juif et musulmans de France d'abandonner une coutume qui a une origine sanitaire circonstancielle propre aux peuple nomades pour éviter de propager des épidémie porcine.
Une pratique que ne suit pas la chrétienté qui s'est propagé dans l'empire romain sédentaire.
@ cliquet
RépondreSupprimerEn oubliant que nous n’avons pas une monnaie française mais l’euro vous trouver une solution au problème du porc.
Si vous arriviez à oublier votre formatage par l’éducation nationale vous pouvait alors trouver la solution sans sortir de l’Euro.
Si vous n’aviez pas été formaté par l’éducation nationale comme le sont aussi ceux qui pondent nos lois : vous sauriez alors que le papier monnaie n’est plus une déclinaison d’or ou d’argent, ni même d’euro ou de francs mais uniquement des VALEURS déclinées dans une unité monétaire.
Vous sauriez alors que depuis que la solidarité s’est transférée de la famille à la société des citoyens et nous consommons de lus en plus mutuellement ou collectivement : cette valeur n’a plus une fonction unique mais deux fonctions :
1° celle d’être, pour un bien ou service, une valeur d’ECHANGE quand se fait du commerce extérieur 2° Celle d’être, pour ce même bien ou service, une valeur de partage quand il se fait du commerce intérieur.
Où la valeur d’échange est : la somme des valeurs ajoutées distribuées aux actifs qu’il soit physiques, intellectuels ou financier.
Où la valeur de partage ( entre actif et inactif) est la valeur d’échange qui revient aux actif majoré par un coefficient de 150% pour réserver dans la totalité des consommations nationales 40% pour les actifs (temps d’activité) et 60% pour les inactifs (temps d’inactivité) puis actifs et inactifs mettent en commun 13% de leurs consommations pour leurs usages mutuels de santé et 32% pour leurs usages collectifs. (partage national en 2010).
Si nous avions été formatés à ce principe de vie sociétale réaliste et rationnel, nous ne serions pas dans cette mouise.
Unci TOÏ-YEN
C'est n’importe quoi.
RépondreSupprimerDes limitations de vitesse facultatives sur les routes auraient plus de chances d’être respectées qu'un prix plancher facultatif sur le marché du porc. Quand un automobiliste dépasse la vitesse autorisée il n'oblige pas les autres à faire de même, tandis qu'un grossiste qui achète en-dessous du prix plancher place ses concurrents dans une situation où ils sont obligés de suivre.
Cazeneuve devrait apprendre son métier de ministre à Le Foll.
Ivan
@ Un citoyen
RépondreSupprimerMerci d’illustrer si parfaitement ce que l’on vous reproche : des ratiocinations déconnectées des faits, dont certaines sont justes, d’autres pas, et ici, sans le moindre rapport avec mon papier, puisque vous ne faites même pas l’effort de faire le moindre lien entre votre rhétorique pré-mâchée et ce dont je traite.
Le papier monnaie, déclinaison d’or et d’argent ? Cela fait plus de 40 ans que ce n’est plus le cas. Il faudrait vous réveiller. Et sur le fond, lier la monnaie à des métaux s’est historiquement révélé une erreur, bien logique car comment avoir une corrélation entre le besoin de monnaie et la production de ces métaux, outre le fait de faire dépendre la monnaie de métaux dont le prix est fixé par des marchés, exubérants et irrationnels.
@ Anonyme
Le problème, comme souvent, c’est de se reposer sur le marché pour fixer le prix du porc. Et cela est d’autant plus absurde que quand on y mettait des limites (la PAC, pendant des décennies), cela ne marchait pas si mal…
@ Ivan
C’est ce que l’on faisait avec la PAC il y a quelques années…
bon allez, je suis resté sage hier mais je suis en mesure de donner les solutions au problème du porc. J'en ai deux. En matière de résolution de problème, il faut savoir regarder la situation économique droit dans les yeux si je puis dire...
RépondreSupprimerAvec ces solutions, dans l'extravagance du moment, n'ayons pas peur d'y joindre la vulgarités en déclarant que les allemands et les espagnols l'auraient dans le cul illico
Suite à ça, si ce blog ne passe pas dans les trois premiers du hit parade !!!!
1ere solution d'une opération qu'on peut appeler "porc salut"
1° créer des usines dortoirs et organiser un ramassage de bulgares, roumains, polonais, hongrois. Ce sont les moins chers dans la zone
pour rester "social comme l'UE" intégrer resto et laverie automatique payants (prix à définir). Bien sur, ces usines dortoirs seraient érigées à proximité des porcheries usines elles même afin d'éviter les problèmes de pollution..
2° Faire bosser ces gens à 45h sur 4 jours, afin que ceux qui le désire puisse avoir des WE dans leurs familles si besoin était (toujours le social)..Prévoir une rotation suffisante pour éviter que les ouvriers finissent par se croire chez eux..
3° balourder massivement du CICE et du pacte spécial "compétitivité porc" pour le personnel français d'encadrement et de surveillance disséminés ici et là dans les fermes et dans les ateliers
et prévoir un toubib pour deux ou trois usines..
Inconvénient :
- la barrière de la langue, toutefois quelques phrases de base pourraient être apprises aux cadres exclusivement français ; "bosse feignant" " plus vite" "si tu veux manger c'est x euros" "pas de congés de prévu
Avantages
- pas d'étrangers, que des européens
- paiements de prestations chômage aux français virés, le temps qu'ils réfléchissent et acceptent des baisses de salaires plus rapides s'ils veulent reprendre leur place..
Je fais court volontairement, mais je réponds à toute sollicitations d'éventuels patrons de la filière ou ministres moyennant rémunération de conseil.
Stan
2eme solution
RépondreSupprimerRegarder la filière porc comme une filière industrielle à "ricarder", telle le textile ou la métallurgie de base, c'est à dire à délocaliser vers des cieux plus accueillants libéralement, j'entends.
1° l'état français crée une multinationale du porc basé au Luxembourg qui posséderait des filiales dans les pays de la première solution. (les meilleurs en coûts salariaux et en fiscalité IS)
2° le porc est élevé, abattu dans ces filiales européennes et transporté entier vers la France qui le découpe selon des techniques qui ne supporte pas d'y laisser des transferts de technologie comme des vulgaires Mistral...
Cette dernière opération suppose un badigeonnage quelconque de la barbaque pour la conserver quelques jours...mais ça, tout le monde sait faire, on ne va pas attendre la TAFTA..
3° On laisse quand même quelques élevages en France pour le "haut gamme" avec subventions pour la recherche développement, pour un label "pur France" et des traditions de découpe aux petits oignons (ce n'est pas une recette mais une expression courante).
Il faut quand même penser aux classes moyennes qui veulent du bio ou prendre leurs porcs chez fauchon..
Inconvénient :
- prévoir des investissements d'agrandissement sur l'A4 et un contournement parisien pour le surplus de circulation des camions de transports des productions à découper
- engager des actions de formation et de reclassement des perdants de la filière ce qui a un coût
avantages
- le lisier et les algues vertes sont exportées à l'est, les plages sont propres pour nos vacanciers,
- recherche par nécessité de nouveaux débouchés pour valoriser les restes du cochon (quoiqu'on dise souvent que dans le cochon tout est bon.). Mais bon, faut prévoir un peu de comm dans le business et la compétitivité pour le rendre moins froid et inhumain.
et là encore, les allemands sont dans l'os, et en plus on fait rentrer un peu de pognon dans les caisses de l'état français, uniquement sur les produits découpés en France (j'ai quelques idées pour évaporer ça en consolidant...
même chose que précédemment, pour un conseil rémunéré, vous savez que vous pouvez joindre Mr Herblay qui me passera la demande (en compensation d'une petite commission pour arrondir ses fins de mois à lui aussi.
le libéralisme débridé c'est simple, il suffit de se décomplexer totalement....Pour les détails des opérations d'optimisation, quelques bons financiers, un bon juncker dans la poche, un grand réservoir de main d'œuvre et hop....
Stan
Stan
Moi, quand j'entends parler de "la filière du porc en danger", je suis à chaque fois tétanisé parce que je fais inconsciemment le rapprochement avec certains politiciens qui nous gouvernent et qui ressemblent étrangement à cet animal beaucoup plus sympathique au demeurant.
SupprimerDemOs
c'était mon quart d'heure créatif à l'usage des libéraux internationalisateurs de tous poils, c'est d'un facile déconcertant...
RépondreSupprimerStan
@ Herblay
RépondreSupprimerVous ne paraissait pas savoir que toute vérité énoncée reste une vérité jusqu’à ce qu’il soit démontrer une fois, seulement, qu’elle elle fausse : mais faut-il que vous ayez des arguments et là vous en manquer.
Faute d’arguments : alors pour essayer de justifier l’authenticité de vos affirmations il vous faut alors ligne pour prétendre que je suis déconnectés des faits quand je vous fais une liste de faits indiscutables que vous ne nier pas.
Puis vous prétendez que le fait que la monnaie n’est plus de l’argent ni de l’or mais la matérialisation de valeurs qui n’a pas une fonction unique mais deux fonctions celle d’être :
1° une valeur d’échange de PRODUCTION pour le commerce extérieur
2° une valeur de partage des CONSOMMATIONS (produite dans la nation ou importation) pour le commerce dans la nation.
Alors que l’une ou l’autre des valeurs est déterminée par des décisions des élus de la nation. Cela implique que si les prix de nos productions et de nos consommation dans notre nation (décidés par nos élus) ne sont pas compétitif (c’est le cas du PORC) en sont responsable ceux qui décide des prix : nos élus.
et là que vous êtes ‘’forminable’’ il vous faut quatre ligne pour dire une fausseté : dire que je suis hors sujet : sans argument il va de soi.
Mais en plus vous êtes de mauvaise fois en voulant me faire passer pour un idiot qui croit encore que la monnaie est or ou argent : alors que je cite les passages de mon commentaire.
a) « une évolution de la monnaie qui n’est plus le papier remplaçant l’argent ou l’or mais une valeur qui n’a plus, au XXI° siècle, une seule fonction mais deux fonctions distinctes depuis que la solidarité familiale est devenue solidarité citoyenne et nous consommons de plus en plus mutuellement ou collectivement »
b) « le papier monnaie n’est plus une déclinaison d’or ou d’argent, ni même d’euro ou de francs mais uniquement des VALEURS déclinées dans une unité monétaire. »
Mais il faut, là aussi, cinq lignes pour dire le contraire que ce qui est dit.
Vos raisonnements manquent de subtilités et surtout d’arguments pour démontrer que les faits que j’expose sont faux.
Toute fois vous avez raison d’insister que la monnaie n’est plus liée à l’or ou l’argent car il y en a qui le croient encore ou voudrait vient que ce le soit.
Une précision : Ce n’est pas depuis 40 ans que c’est le cas : la monnaie à toujours été une valeur d’échange ( quant on la changeait contre un métal précieux ou contre un objet troqué) mais est devenu aussi une valeur de partage-répartition, dans une nation, depuis que la solidarité familiale a été remplacer par solidarité citoyenne des actifs envers les inactifs et que nous consommons de plus en plus mutuellement ou collectivement : ce sont ici que des faits qui attendent une démonstration argumentée de votre part si vous ne pensez pas que ce sont des faits indiscutable.
Unci TOÏ-YEN
@ Stan
RépondreSupprimerLe jour de sagesse passé, votre créativité retrouvée, vous avez repris votre bâton de pèlerin pour nous faire tourner autour du porc, espérant que vos trompettes fassent tomber le problème.
Vous pédalez dans la choucroute où le problème n’est pas le jarret du porc mais les shous.
Autrement dit le prix. Mais vous paraissez ignorez que la monnaie n’est que la matérialisation de ce prix plus exactement une valeur. Et cette valeur dépend se sa fonction :
1° être une valeur d’échange pour importations et exportations.
2° être une valeur de partage ou de répartition des consommations dans la nation par le partage de la monnaie pouvant devenir :
a) A l’usage des actifs pour ses temps d’activité
b) A l’usage des inactifs pour leurs temps d’inactivité
c) A l’usage des consommations mutuelles des actifs et inactifs
d) A l’usage des consommations collectives des actifs et des inactifs.
Ces valeurs se sont nos élus qui en décident surtout s’ils en décident mal, par exemple
1° Mettent dans la valeur d’échange, pour l’exportation des éléments utiles seulement au partage entre les quatre usages cités ci avant.
2° Oublis que nos importations deviennent des consommations comme le sont nos productions nationales qui ne sont pas exportées et que ces importation devenue consommations doivent avoir pour valeur : la valeur de partage :
Nous avons là les deux erreurs structurelles qui font que nos prix en -valeur d’échange- et en –valeur de partage- ne sont plus représentatif d’une réalité correspondant à des faits indiscutables.
Alors cesser de tourner autour du porc et devenez créatif dans le domaine des mathématiques pour ne plus faire payer aux étrangers nos temps d’inactivité ou nos usages mutualisés et penser que même si nos consommations sont des importations elles doivent être en valeur de partage pour sa totalité et non uniquement pour les plus values faites nationalement : chaque nation étant libre de décider de ses partages entre les quatre usages cité ci avant.
Si vous n’êtes pas d’accord sur le fait que les prix de nos productions et de consommations sont des décisions des élus de la nation : quels sont vos arguments ?
Unci TOÏ-YEN
Unci TOÏ-YEN
Supprimervous réfléchissez trop, ce que vous décrivez est déjà trop compliqué, vous êtes déjà à la limite des mathématiques
d'un côté : l'organisation de l'UE, les méthodes financières de consolidation, l'installation réseaux de filiales tenus par des financiers, des lois accommodantes de fiscalisations concurrentielles par pays, un leader "junckeristique", pro de l'optimisation étatique à destination du privé et hop ça fait une zone libérale financière dont la variable est la population locale
de l'autre des populations qui coûtent moins, en pénurie de travail et de moyens, prêtes à prendre n'importe quel boulot à des conditions imposées.....
ajoutez à ça un poil de culpabilité, une once de comm, une poignée de journaux aux mains des trusts..
et ça fait une zone sociale de paix et d'échange pour le plus grand bien de tous...
Stan
Il y a aussi des éleveurs de porc qui s'en sortent bien et que l'on n'entend pas. Ce sont ceux qui ont fait le choix d'une production de qualité, en plein air, qui transforment et vendent eux-mêmes leurs produits. Ils ont compris que la seule façon de gagner sa vie en France était de monter en gamme et de réintégrer au maximum la valeur ajoutée dans leur exploitation. Et ce n'est pas forcément de la petite exploitation.
RépondreSupprimerExemple: www.lesbonshommes.fr/
Regardez bien le nombre de personnes et de métiers qui y travaillent.
Quand un jeune agriculteur sort de son BTS il a le choix de sa production et de son modèle économique. Malheureusement beaucoup trop encore, cornaqués par la FNSEA et le Crédit Agricole, s'imaginent que faire de l'industriel bas de gamme à moindre coût est encore possible en France. Cela ne l'est plus depuis que l'Allemagne peut avoir recours à une main d'oeuvre exploitée venue des pays de l'est.
Il ne sert donc à rien de continuer à demander et fournir des aides pour un modèle de production à l'agonie et polluant, notamment le porc et la volaille en Bretagne.
Les exploitants doivent réfléchir à se repositionner sur des produits plus hauts en gamme, réintégrer la valeur ajoutée de la transformation et faire jouer l'effet terroir dont aucun autre pays ne peut se prévaloir.
Mais y-a-t-il seulement un politique qui soit capable de le comprendre et de leur dire?
@Stan
RépondreSupprimerVous vous sous estimer et je sens chez vous venir du pessimisme.
Vos appréciations sont les votre ; mais ne craignait rien, de mon coté, je n’ai pas le sentiment de réfléchir trop, voir des choses compliqués et voir dans les mathématique une barrière à ne pas franchir.
Il en serait de même pour vous si au lieu de faire appel aux connaissances issus de votre formatage par l’éducation nationale, nos élus, nos économistes, vous vous contentiez de la définition de la richesse nationale, d’Adam SMITH, y ajoutiez un lexique de moins de30 élément, d’un à trois mots, qui s’apprennent en une heure, certes pas à la méthode de notre éducation nationale mais de celle des pays nordiques qui caracole dans le haut du classement PISA.
La manipulation logique de ces éléments du lexique nous permet alors d’expliquer l’inexplicable avec les connaissances idéologiques de l’éducation nationale pour laquelle il ne reste que, pour explicable : l’appel aux boucs émissaires.
Savez-vous que dans votre dernier commentaire qui vous vaut cette réponse vous n’employez aucun élément de ce lexique.
Vous savez aussi que le savoir est inférieur à la compréhension.
Pour mieux comprendre de vous-même et retenir : il vous suffit donc de rechercher, dans mes commentaires, ces 30 éléments de mon lexique pour être armés à définir un principe de vie sociétal qui colle parfaitement au notre et permet d’aborder un avenir où le citoyen devient le contre pouvoir de ceux qui le détiennent aujourd’hui : nos élus et le financiers.
Car peut être que votre formatage ne vous à pas encore fait comprendre que mes commentaires ne sont pas une théorie économique mais un exposé sur des principes de notre vie sociétale présente, sans fiscalité puisque cette vie sociétale est celle d’une solidarité des actifs envers les inactifs et une mise en commun de certains usages mutuels ou collectifs.
Dans ce texte vous avez déjà 7 éléments du lexique, à 25 je n’aurais plus rien à vous faire comprendre.
Unci TOÏ-YEN
Unci TOÏ-YEN
Supprimerje ne sais comment vous remercier..
Stan
En établissant ce lexique pour m'éviter de le faire.
SupprimerUnci TOÏ-YEN
@ Stan
RépondreSupprimerCe n’est pas bien de copier sur les Allemands ! ;-)
@ Un citoyen
Vous radotez. On en a déjà parlé. Je ne reprends pas ce débat. J’ai autre chose à faire que répondre à vos longs monologues.
@ Anonyme 11h53
C’est juste, mais tout le monde ne peut pas faire cela étant donnée l’état de la distribution de viandes en France
Unci TOÏ-YEN
RépondreSupprimeroh cher monsieur je préfère vous laisser cette réalisation qui vous conviendra bien au teint, vous usez à merveille de ces mots et concepts que j'ai de plus en plus de peine à comprendre. Il vous faut maintenant accepter le fait que je ne suis pas un public suffisamment doté pour vous suivre. Même en tirant fort, je risque de vous ralentir considérablement.
pour ma part, mon expérience de vie me colle résolument les pieds au sol, alors que visiblement vous êtes un aérien.
Stan
@ stan et unci
SupprimerCher unci, tu gagnerais peut-être à rechercher la définition des mots "clarté" et "synthèse" dans un bon dictionnaire. Ce serait déjà un bon début parce que, là, franchement, c'est imbuvable en tant que démonstration et analyse à moins que ton ambition est de faire de la poésie ... surréaliste.
DemOs
... que ton ambition SOIT de faire de la poésie.
SupprimerAinsi soit-il !
DemOs
@ Stan
RépondreSupprimerVous vous prétendez terrien !
Un terrien n’est-il pas une personne au bon sens paysan, capable des s’élever au dessus de tout pour avoir une vision d’ensemble holistique ?
Alors dites moi si une personne qui à de la difficulté à comprendre :
1° que le prix d’un bien et d’un service payé par le consommateur directement ou mutuellement ou collectivement : n’est pas réparti en quatre parts (proportionnelle à des besoins) :
a) Aux actifs (physiques, intellectuels ou financiers) pour qu’ils en fassent usage pour leurs consommations
b) Aux inactifs (temps d’inactivité) pour qu’ils en fassent usage pour leurs consommations
c) Aux caisses mutuelles pour que les actifs et les inactifs en fassent usages pour leurs consommations mutuelles
d) Aux caisses des collectivités pour que les actifs et les inactifs en fassent usages pour leurs consommations collectives
2° que la partition du prix des biens et services payés par les consommateurs directement ou mutuellement ou collectivement au profit des inactifs b) des caisses mutuelles c) des caisses des collectivités d) donc aussi le montant du solde qui reste aux actifs a) est bien une décision des élus toutes collectivités confondus.
3° donc que la valeur des choses n’est que l’ustensile de la partition des biens et service entre actif et inactif, puis en usages (familiaux, mutuels, collectifs) de leur besoins que seuls les actifs produisent pour partager avec les inactifs auquel cas la valeur de la chose est une valeur de partage ou répartition.
est une personne qui, en refusant cette réalité, manque de ce bon sens paysan ?
et quand cette personne, à pour croyance
A) que ce sont les entreprises qui décident des prix,
B) que les consommateurs ne payent pas les charges salariales payées par le salarié
C) ne paye pas les charges patronales payées par le patronat.
D) Trouve normal que les consommateurs d’une production payent les impôts locaux de l’entreprise du lieu de l’usine pour régler les dépenses collectivement des habitants de ce lieu :
Est-ce du bon sens paysan ou, sauf être un handicapé mental, cette personne est un formaté, comme, il y a à peine plus de trois cent cinquante ans, était formaté une majorité de personne à ce que le soleil tourne autour de la terre : une majorité qui n’avait pas raison.
Maintenant : vous êtes devant deux visions de notre vie sociétale : vous n’allez pas me dire « je ne suis pas un public suffisamment doté pour vous suivre. » se serait à désespérer de la condition humaine où à craindre que le formatage est encore plus puissant que je le pense.
La démocratie se meurt quand :
On l’empêche de s’exercer
En face chaque pouvoir il n’y a pas un contre pouvoir
Quand les citoyens s’en désintéressent (laisse faire)
Ce n’est pas parce qu’un geste ignoble est accepté par une majorité que ce geste cesse de l’être :
Il suffit que quelques uns décident, un petit nombre exécute, et la grande majorité laisse faire.
Notre vie sociétale est la résultante de la somme des comportements de chacun de nous petit grand jeune vieux là ou il se trouve.
Il ne faudrait pas que nous devenions une société du laisser faire et de la complaisance.
Entre ces deux visions de notre vie sociétale dont une est celle qui dicte notre vie sociétale au présent, dont il se dit que rien ne vas mais où l’absence de consensus fait que personne ne sache QUOI faire, après avoir tout essayer, de gauche à droite, pour changer, et celle qui me parait plus réelle et pleine d’avenir : n’êtes vous toujours pas capable de voir la différence ?
-Seules les idées contrariantes aux idées reçus sont susceptibles d’avenir- Einstein
à suivre
I
suite
RépondreSupprimerl faut choisir entre l’indignation qui n’est que résignation et l’action : déformater les formatés pour leur permettre de regarder la réalité en face et pour pouvoir agir consensuellement.
Cela commence par se déformater soi-même avant de s’engager, qui que nous soyons, à déformater ses proches pour leur faire retrouver la réalité du bons sens paysan : lequel ne travaille pas pour gagner sa vie mais produire pour les autres espérant que les autres en veulent et en paierons le prix pour que lui puisse jouir des productions des autres.
Le paysan qui produit toute sa vie active pour les actif et les retraités : vas t-il vivre à la retraite autant des produit des autres que lui à fait vivre les retraité avec ses production ?
Nous ne partageons pas des valeurs mais des biens ou des services : les valeurs ne sont que de partage ou d’échange de ces biens ou services.
J’arrête là mes bavardage et mes dogmes comme dit le ‘’bons sens paysan’’ d’Herblay ce 19 aout.
Unci TOÏ-YEN