Jeudi, la
BCE a annoncé une nouvelle version de son assouplissement quantitatif. Les
mesures annoncées réussissent l’exploit de ne satisfaire personne : les
marchés ont réagi très négativement, et, pire encore que le jugement de
marchés exubérants et irrationnels, cela
nourrit la spéculation.
Une annonce
très tardive et très limitée
Depuis le
début, la
Banque Centrale Européenne a tout faux. Il y a plus de dix ans, elle a tardé à
relever ces taux, laissant s’emballer une bulle financière, notamment en
Irlande ou en Espagne (que Madrid a tenté de contenir par des normes
bancaires contra-cycliques), ne s’inquiétant pas de l’envolée des actifs
bancaires et d’une progression extravagantes de la masse monétaire (à près de
10% par an), totalement déconnectée de l’évolution de l’économie réelle. Puis,
quand le marché a commencé à se retourner, elle
a tardé à réagir, au contraire de la Fed, propulsant l’euro à 1,61 dollar, et
plongeant les pays européens dans une récession plus tôt que les Etats-Unis
(chose oubliée depuis). Puis, de
manière délirante, elle a brièvement monté ses taux en 2011, a contrario de
presque toutes les autres banques centrales.
Mais la
stagnation des pays européens a fini par avoir raison des réticences de la BCE
qui a baissé ses taux et relancé un programme de rachats d’actifs. Bien
sûr, depuis, l’euro a bien baissé et les taux auxquels les Etats empruntent se
sont effondrés, à des niveaux historiquement bas. Mais ceci doit plus au
retournement de la politique de la Fed et au contexte global, qui
permet le gonflement de nouvelles bulles, qu’à la vigueur de la politique
de la BCE, qui reste très timide par rapport à ce qu’ont fait les autres pays,
d’autant plus que les annonces de jeudi semblent assez dérisoires par
rapport aux promesses d’octobre. Certes, son bilan a progressé de 400
milliards en un an, mais il est inférieur au niveau de 2012, et surtout, cela
ne pèse que 4% du PIB de la zone euro, bien
moins que ce que fait le Japon.
Aider la
finance plutôt que les citoyens
Bien sûr, on
peut penser que ce n’est pas nécessaire, étant donné le niveau des taux à 10
ans dans la zone euro. Sauf
que les dettes rachetées par la banque centrale nationale ne coûtent plus rien
à l’Etat (qui paie alors des intérêts à lui-même), et surtout, qui échappe
à la pression des marchés, comme
on le voit à Tokyo malgré une dette publique à plus de 200% du PIB. En
outre, le niveau des taux doit aussi à des facteurs qui ne sont pas du ressort
de la BCE (quasi déflation, des entreprises en position d’épargne). Mais le
problème est que cet environnement de taux faibles et de
forte rentabilité des entreprises favorise
le développement de nouvelles bulles financières, d’autant plus que la
régulation n’a pas vraiment progressé depuis 2008. En cela, la
politique de la BCE nourrit la prochaine crise financière.
La seule
bonne nouvelle de cet environnement financier extraordinaire, ce sont les
économies réalisées par les Etats, ce
qui deserre l’étau austéritaire en Europe et permet une légère accélération de
la croissance. Et cela pourrait aussi affaiblir les défenseurs des
retraites par capitalisation. Même
si notre très libéral ministre de l’économie veut les pousser, leur
équation ne tient pas aujourd’hui.
Tant que l'on favorisera la thésaurisation plutôt que la vitesse de circulation de la monnaie et que celle-ci "travaillera" a notre place, nous ne sortirons pas de ce cercle vicieux !
RépondreSupprimer" La seule bonne nouvelle de cet environnement financier extraordinaire, ce sont les économies réalisées par les Etats...........
RépondreSupprimeret non, Mr Herblay, ce n'est pas une bonne nouvelle, parce que de nombreuses démonstrations ont été faites que la pensée unique ambiante fixe bizarrement, sur le budget de l'état, son regard sur la colonne des "dépenses "en ignorant superbement et volontairement la colonne recettes"
ça tombe bien, j'avais mis ça de côté, un texte compréhensible qui trouve appui sur ces nombreuses démonstrations, évidemment jamais relayées.
Soyons clair, que la corruption, l'incompétence, ou la sidération des politiciens et des médias amis associés mettent un couvercle pudique sur ce sujet est tout à fait dans l'air du temps de la démission de la responsabilité et du transfert du risque total de la situation sur la seule et unique population ; mais ça n'empêche en rien d'asséner et de répéter inlassablement que les dépenses publiques sont stables depuis 15 ans à 20ans, et que la baisse de recettes publiques a été enfantée par le seul corps des politiques dont la médiocrité et la porosité au fric et aux copineries corporatives n'est plus à faire...
http://www.bastamag.net/Pourquoi-la-dette-publique-francaise-explose-alors-que-les-depenses-de-l-Etat-n
il en découle au moins quelques conséquences dont :
1° les dévaluations internes dans la grande compétition entre états pour aider la compétitivité du territoire créent de la déflation et de la baisse inexorable de la demande. Or on assiste en même temps à des déversements massifs de fric du public vers le privé pour générer un emploi qui ne vient jamais. On est dans la confusion mentale massive de nos élites
2° les bas taux d’intérêts favorisent les effets de levier pour les groupes privés qui continuent à recourir à l’endettement pour payer les dividendes, racheter leurs titres et opérer des LBO ou des fusions absolument stériles, le tout au détriment des investissements productifs devenus trop risqués (ce qui est le comble de l’époque.)
3° les seules baisses de dépenses publiques envisagées concernent les dépenses sociales et celles liées à l’emploi indirectement. Le démontrer prendrait de la place, je suis chez vous...
Mais en résumé, la dépression sur les salaires et les prestations sociales de redistribution, provoquent deux effets :
- une baisse continuelle de demande observée depuis 2008 et des à coup à la reprise grâce à un nouvel endettement privé ou individuel, ce qui n’arrange pas les politiques de désendettement public
- des stratégies nourries de délocalisations ou de dévaluations internes de compétitions pour obtenir des prix de plus en plus bas afin de donner aux familles la sensation d'un maintien du pouvoir d'achat (ce seul item est à lier d’ailleurs avec votre billet « La nouvelle économie, ces coucous qui inventent les péages modernes »), mais qui détruisent encore à petit feu notre tissu productif national.
En réalité, les politiques publiques prennent pour supports et variables d’ajustement, les populations nationales et même supranationales avec bruxelles siège social abouti des groupes et financiers internationaux.
Ces techniques simplettes des tueurs de coûts qui n’ont plus besoin de penser, juste de ressortir de temps en temps les modèles de résolutions de problèmes des bigs brothers, conseils en entreprises, modéles éculés qui ont fait partout la preuve de leurs sottises crasses qui nous ont emmené là où nous sommes…
Allez tiens, un dernier pour la route.
http://rue89.nouvelobs.com/blog/chez-les-economistes-atterres/2014/05/07/calculee-comme-la-depense-publique-la-depense-privee-depasserait-200-du-pib-232861
Stan
Accuser la BCE alors que ce sont les gouvernements des pays de l'Euro qui gèrent comme des cloches, l'Espagne incapable de gérer sa flambée immobilière, l'Allemagne incapable de réaliser les investissements publics nécessaire, la France incapable de gérer la crise immobilière...
RépondreSupprimerHerblay raconte pas mal d'âneries.
Vous croyez en l'euro parce qu'il existe, ou il existe parce que vous y croyez?
SupprimerOn voit justement ou a mené l'euro. Souvenons-nous de ces "tigres" que l'on nous présentait et qui avait pour nom "Espagne,", "Irlande", etc... L'euro n'est qu'une monnaie d'occupation.
SupprimerL'Espagne a mis son budget en excédent et mis en place des normes bancaires contra-cycliques. Ils faisaient pas mal, mais avaient perdu le levier classique pour casser la spéculation : la hausse des taux...
Supprimer"Vous croyez en l'euro parce qu'il existe"
RépondreSupprimerVous croyez bien en de Gaulle, alors qu'il est mort depuis un bail...
L'homme est mort, mais sa doctrine reste. Nuance.
RépondreSupprimer@Stan
RépondreSupprimerL’Art de croire savoir est le sport le plus pratiqué en France
Cela permet de faire couler beaucoup d’encre ou de salive, inutilement.
Pour Basta et la dette qui augmente :
Pour en finir sur nos interrogations sur la dette qui grandit, grandit, grandit…. Répété 40 fois, il suffit de savoir que depuis quarante ans nos gouvernances votent un budget en déficit qui oblige la nation à emprunter.
Un emprunt devient une dette et si ces gouvernances ne prévoit pas dans leurs budget un centime d’Euro pour rembourser l’emprunt comment voulez vous que la dette, chaque année de ces quarante ans, n’augmente pas 40 fois pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui ?
Pour Rue 69 et ses triturations du PIB :
Vous n’avez pas encore tiré la leçon de l’avertissement de Karl Marx : « La monnaie masque la réalité de nos rapports à la production et à la vitesse de sa circulation. »
Le pib est la monnaie qui vous masque la vérité.
La seule vérité qui existe c’est que la monnaie n’est que l’instrument de partage de ces ‘’choses agréables et utiles à la vie’’ nous dit Adam SMITT exactement : « Le Travail annuel d’une nation est le fond primitif qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ; et ces choses sont toujours ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées aux autres nations avec ce produit »
En Finalité nous nous partageons nos consommations qui sont nos productions, moins nos importations, plus nos exportations.
Nos consommations nationales se partage à raison de 40% pour les temps d’activité des actifs et 60% pour des temps d’activités d’inactifs.
Nos consommations nationales sont aussi partager par les actifs et les inactif suivant trois usages 55% familialement, 13% mutuellement et 32% collectivement.
Et quelque soit notre PIB 100 dollars 30 000E ou dix milliards de trucmuch.
Nous continuerons qu’a nous partager nos consommations nationales suivant des taux définit qui sont en 2012 ceux annoncés. Après toutes triturations des chiffres ne peux se traduire que par des changements des pourcentages ci-dessus.
Alors cesser de parler de PIB pour veiller à ce que chacun ait, dans le partage des consommations nationales, les consommations qui corresponde à leurs besoins.
Des besoins de l’un qui ne peuvent exister par la production des autres, ce qui oblige chacun de nous à produire dans vie pour les autres autant que les autres auront produit pour lui.
Ce qui oblige chaque nation à produire pour les autres nations autant que les autres produisent pour elles et dans ce cas l’emprunt de l’Etat n’est pas nécessaire. Et si par idiotie l’Etat emprunte, son emprunt n’est utile qu’a l’achat d’importations en sus de nos exportation, faisant ne notre nation une nation qui consomme plus qu’elle ne produit en demandant à d’autres nations de produire plus qu’elles ne consomment.
Ou est l’esclave et l’esclavagiste ?
Voila la vérité de la réalité de notre vie sociétale.
Ce qui met fin aux discutions stériles sur l’origine de la dette et le PIB
Unci TOÏ-YEN
veuillez corriger: l'inversion exportation et importation
SupprimerEn Finalité nous nous partageons que nos consommations nationales qui sont nos productions, moins nos exportations, plus nos importations.
Unci TOÏ-YEN
@ Stan
RépondreSupprimerMerci pour ces liens
@ Un citoyen
Et comment fait le Japon, qui monétise l’équivalent de plus de 10% de PIB de dette publique tous les ans ?
@ Herblay
RépondreSupprimerVous n’avez pas été sensible à la remarque de Karl Marx. « La monnaie masque la réalité des rapports de production et la vitesse de circulation. »
Vous vous interroger sur la dette et la planche à billet elles vous cachent la réalité que vous ne pouvez plus voir en face.
La seule réalité qui intéresse les citoyens d’une nation c’est les besoins en ces choses agréables et utiles pour la vie, qu’ils vont pouvoir consommer.
C’est-à-dire : En Finalité nous nous partageons que nos consommations qui sont nos productions, moins nos exportations, plus nos importations.
Ou traduit dans le langage de la monnaie que vous affectionnez :
La valeur de nos consommations est égale à la valeur de nos productions moins la valeur des importations plus la valeur des exportations. Donc, à balance commerciale équilibrée, la valeur de nos productions permet de pas plus et pas moins acquérir nos consommations nationales.
Le besoin d’emprunt d’une nation n’existe pas.
S’il est fait des emprunts ou mis en marche la planche à billet. Ce n’est que pour alimenter le déficit de la balance commerciale donc la dette.
Faire marcher la planche à billet pour rembourser la dette ne permet que d’augmenter la masse monétaire et automatiquement il y a correction et pour 1 dollar de dette il fallait 77 Yens en 2012 et 125 en 2015.
Si les frontières sont fermé et la planche à billet injecte à l’intérieur de la nation il y a d’avantage de masse monétaire disponible, donc plus de demande, pour une même offre et automatiquement il y a inflation qui fait la correction.
En économie, la monnaie, n’est que le fait de la monétisation du travail : et on ne doit retenir que l’essentiel :
« Le Travail annuel d’une nation est le fond primitif qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ; et ces choses sont toujours ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées aux autres nations avec ce produit » Adam SMIT 1775
En 2016 l’Economie se résumera
A l’économie active
A l’économie patrimoniale
A l’épargne interface entre économie patrimoniale et économie active
et les principes consensuels suivant.
Nous vivons en nations où chaque citoyen veut satisfaire des besoins.
Nos besoins sont produits par d’autres et nous produisons les besoins des autres.
Nos consommations nationales sont : nos productions nationales moins nos exportations plus les importations ou, en valeur : la valeur de nos productions moins la valeur de nos importations plus la valeur de nos exportations. A balance commerciale équilibré : la valeur de nos consommations est égale à la valeur de nos productions.
La consommation nationale est partagée pour partie aux actifs, pour leurs temps d’activité et pour partie aux inactifs pour leurs temps d’inactivité.
Pour faire ce partage : chaque consommation à une valeur matérialisé par de la monnaie. C’est ce partage, de la monnaie, entre actifs et inactifs qui permet aux actifs et inactifs de consommer nos 100% de consommation nationale qu’ils partagent en usage soit familial, soit mutuel, soit collectifs.
Vous avez là :
Le strict nécessaire, mais suffisant, pour tout comprendre en économie.
Unci TOÏ-YEN
je me demande si adam Smith aurait la même pensée aujourd'hui qu'en 1775, époque où il faut le reconnaitre, il fallait 2 à 3 mois pour aller faire un coup de bourse à new York ou tokyo, ou simplement exporter une fringue......Ca compliquait un peu.....
RépondreSupprimerfaut dire, en revanche, que les nouvelles se transmettaient à coup de signaux de fumée, ça prenait du temps, et ça laissait le temps de réfléchir ...
ce qui est tout à fait drôle à notre époque, c'est que les libéraux financiers internationalistes (bon appelons ça comme on veut, quand on est dans le surnaturel, faut laisser le fantasme s'accomplir) citent des théories d'économistes qui vont de Aristote à ......(si possible de plus de 300 ans)..et ne supportent pas de voir une organisation ou un principe économique vieux de plus de quelques mois, pour justifier la énième "réforme"...
ils veulent tout réformer mais utilisent encore des modèles de résolution de problèmes systémiques datant des années 80. minimum
A partir de là, tout est bon comme dans le cochon :
- le protectionnisme, c'est mal...sauf quand ça chie c'est "achetez français"
- une frontière c'est mal...sauf si ça devient bien parce que ça n'arrange plus
- une dette c'est bien, pendant longtemps, sauf à partir de 2008 où tout le monde découvre la dette publique dont on n'avait jamais parler avant..
- une évaporation de bénéfice, c'est bien, pour le ruissellement" ....et ça ruisselle effectivement pour 1% de la population....
au nom du ruissellement, plus on évapore , plus on assèche la colonne "recettes" des états et plus on peut parler des "dépenses" publiques
- la finance c'est toujours bien, même quand ça fait plouf....ce sont alors les citoyens qui arrosent (toujours le ruissellement), mais contrairement à la nature, en finance ou en libéralisme "moderne", la pluie tombe de bas en haut...
- la spéculation c'est bien, mais ça va pas assez vite. Du coup l'humain confie la capacité de faire du fric à des bécanes qui font des millions d'opérations, mine de rien, le temps d'allumer une cigarette ou de pisser un coup.....si ça déconne faut tirer vite sur les câbles pour débrancher et ensuite passer des jours à comprendre ce qui s'est produit parce qu'une bécane, ça cause pas..
nous vivons une époque où l'information n'a jamais été aussi fournie ni instantanée, mais force est de constater que les anormalités s'accumulent, les excès sont peu à peu la règle de normalité , et si peu que vous dénoncez ça, vous êtes montré comme celui qu'il faut enfermer, vêtu d'un gilet sans manche, dans une salle carrelée dotée d'une porte à triple serrure...
je me demande pourquoi tout le monde est anxieux, on n'a jamais vu un rassemblement aussi importants de comiques pour nous inspirer notre époque psychotique..
Stan
@ Stan
RépondreSupprimerVous dites : « je me demande si Adam Smith aurait la même pensée aujourd'hui qu'en 1775»
Ne partez pas sur le principe que ce qui était dit, il y a 250 ans, n’est plus d’actualité.
Quand Adam Smith dit : « Le Travail annuel d’une nation est le fond primitif qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ; et ces choses sont toujours ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées aux autres nations avec ce produit »
Comme dans le cochon tout est bon à prendre.
.
Si l’on prend en considération que la solidarité familiale a été remplacée par la solidarité des citoyens entre eux et que nous avons d’avantage d’usages mutuels ou collectifs. Depuis la perse antique à aujourd’hui encore : Il y a des constantes
Nous vivons en nations où chaque citoyen veut satisfaire des besoins.
Nos besoins sont produits par d’autres et nous produisons les besoins des autres.
Nos consommations nationales sont : nos productions nationales moins nos exportations plus les importations ou, en valeur : la valeur de nos productions moins la valeur de nos importations plus la valeur de nos exportations. A balance commerciale équilibré : la valeur de nos consommations est égale à la valeur de nos productions.
La consommation nationale est partagée pour partie aux actifs, pour leurs temps d’activité et pour partie aux inactifs pour leurs temps d’inactivité.
Pour faire ce partage : chaque consommation à une valeur matérialisé par de la monnaie. C’est ce partage, de la monnaie, entre actifs et inactifs qui permet aux actifs et inactifs de consommer nos 100% de consommation nationale qu’ils ( actifs ou inactifs) partagent en usage soit familial, soit mutuel, soit collectifs.
De cela nous déduisons des règles d’équité :
Tous citoyens dans sa vie doit produire pour les autres autant que les autres ont produits pour lui.
Toutes nation doit produire pour les autres nations autant que les autres nations ont produit pour elles.
Quel que soit le sujet dont vous aller vous plaindre ce n’est que les conséquences d’un non respect de ces règles d’équités, qui proviennent, en particulier, du fait de tout ignorer de l’usage pour lequel la monnaie a été crée, avec sa fonction circulation (des productions) qui prend la fonction partage quand la production devient consommation.
Puis tous dépends des comportements de chacun, à tout moment de leur vie, puisque notre vie sociétale est la somme des comportements de tous ceux qui la composent.
Sachant cela : vous comprendrez alors que la crise en France, en 2008, n’est pas celle de la dette mais elle est Psychique.
Partant du principe que l’Economie Active est la circulation des productions en parallèle de la circulation de la monnaie, en sens inverses : Quand les Français tombent dans la psychose des ‘’subprimes’’ ils se protègent de lendemain brumeux, en bloquant la monnaie dans l’épargne et bloquent la circulation de la monnaie et cela à pour conséquence de bloquer la circulation de production, c’est l’arrêt de la production et le chômage irréversible et en cascade.
Il est car même idiot que l’ignorance de ce principe de l’économie active de notre Education Nationale ne nous ait pas mis en garde contre les psychoses de ce genre dont les effets se perpétuent encore aujourd’hui parce que notre Education nationale n’enseigne toujours pas les fonctions circulation ou fonction partage de la monnaie.
Il faut cesser de passer son temps à exprimer des sentiments et des ressentiments, et s’attaquer à faire respecter nos règles d’équité :
Tous citoyens dans sa vie doit produire pour les autres autant que les autres ont produits pour lui. (en fonction de ses moyens)
Toutes nation doit produire pour les autres nations autant que les autres nations ont produit pour elles.
Puis les solidarités rétablissent les iniquités constatées
Unci TOÏ-YEN
" Ne partez pas sur le principe que ce qui était dit, il y a 250 ans, n’est plus d’actualité...........
RépondreSupprimerelle est bonne celle là, c'est ce que tout ce qui est censé penser fourre dans le crâne du citoyen moyen depuis des décennies
il paraît qu'il faut réformer pour rester djeune...
alors mes excuses mais je me suis mis à steve keen qui démonte nombre de concepts avec son excellent bouquin que je vous conseille " l'imposture économique"
par contre j'aime bien votre crise "psychique" on dirait du minco-attali
Stan
pour comprendre le libéralisme financier internationaliste , il faut ouvrir son 1er et le 3eme chakra simultanément et dans l'ordre, tout en conservant la spirale de l'énergie positive du 6eme en état ...
RépondreSupprimerje n'ai pas fait les études pour. Franchement désolé
Stan
@ Anonyme
RépondreSupprimerJe veux bien débattre, mais de manière polie
@ Stan
Merci de vous charger de répondre aux digressions extraordinairement longues d’Un Citoyen, qui utilise ce moyen pour éviter le débat (j’ai autre chose à faire que lui consacrer l’énergie d’un billet à chaque commentaire, qui est souvent une répétition d’interventions passées).