Avec
la préférence d’Alexis Tsipras pour les potions amères imposées par le maintien
dans l’euro au lieu de retrouver
une politique monétaire adaptée à son pays, le
débat sur la pertinence de la monnaie européenne se fait plus discret.
Pourtant, les preuves de ses méfaits s’accumulent, comme
en Finlande.
Sur la
mer Baltique, mieux vaut être hors de l’euro