On ne peut
pas dire que nous n’avions pas été prévenu, puisqu’en septembre, le
rapport Combrexelles avait déjà fait l’effet d’une bombe avec ses propositions
qui n’allaient que dans le sens du patronat le plus libéral. Cinq mois
après, la
loi El Khomri propose de transformer radicalement le modèle social français.
La loi
Harz à la française ?
En prenant
un peu de recul, il
est tout de même stupéfiant de penser qu’après 10 ans de majorités dites de
droite, ce soit une majorité de gauche qui propose une évolution aussi radicale
du travail, faisant presque passer l’ancienne UMP pour un garant du modèle
social français ! Du coup, comme le soulignait
Natacha Polony vendredi, les médias les plus libéraux se retrouvent
contraints d’accorder un satisfecit au projet, qui irrite en revanche certains
au PS, comme
Gérard Filoche. Mais le gouvernement a préparé une réponse de haute volée,
portée dans les matinales : ce
ne sont que des grincheux passéistes ! Malheureusement, les
interviewers ne se sont pas attardés sur les paradoxes de cette proposition de
libéralisation par la gauche après dix ans de pouvoir de droite, sensée être
plus libérale.
En avançant
à fronts renversés, François
Hollande poursuit son travail de triangulation politique, digne de Tony Blair.
Et nous arrivons au
paradoxe d’un PS qui déborde l’ex-UMP par sa droite pour déréguler notre
économie, le tout, quelques années après une
crise provoquée par la dérégulation !
ayant déjà fait la démonstration ici et ailleurs de la bêtise crasse de la dite "libéralisation " du travail sous la forme qu'on veut, dont hollande dit que "c'est au nom de la "sécurité du salarié" je ne vais pas revenir là dessus en détail, juste pour repréciser
RépondreSupprimer1° qu'au moment où le volume global horaire est contraint par l'atonie de la demande, c'est d'un ridicule que d'offrir la possibilité de faire plus d'heures à périmètre de personnel égal..
2° que la France ayant une des meilleure performance productive du monde, si vous faites plus d'heures avec le même nombre de salariés, il va falloir trouver des débouchés pour vendre le surplus.. Or il y a déjà des capacités productives excédentaires partout dans le monde et des échanges qui se tarissent
bref, belles mesures à fabriquer du chômage central comme disait coluche...
pour voir inverser la courbe du chômage, il va falloir que l'équipe abrutis au pouvoir ne truande plus les stats du chômage mais pense à présenter la courbe du salariat qui ne va pas manquer de descendre en pente vertigineuse
mais bon, si ça aide à calmer le stress important de tous nos grands risquophiles d'entrepreneurs du medef..
beaucoup pensent qu'on a à faire à des durs.....oui mais à réveiller le matin.
heureusement que le patron de PME est là pour maintenir le niveau sans carnet d'adresse, sans politiques pour les passe droit et sans aide financière des banquiers qui ne veulent plus prendre de risque avec une vulgaire entreprise de base....
faut quand même avoir l'habitude d'avaler des couleuvres de gros diamètres pour gober que c'est la peur d'avoir à sortir un embauché quand on sait que 80 % des contrats sont des CDD de plus en plus court, que la rupture conventionnelle est devenue un succès et que le licenciement économique est organisé sur des critères de baisses de bénéfices après consolidation....
j'espère vivre assez longtemps pour que des historiens nous retracent cette période qui voit gesticuler, sans aucun pouvoir,une bande de petites frappes depuis des années, aux commandes de la 7 ou 8 eme puissance mondiale
STan
il faut savoir goûter le sel de la farce grandiose telle qu'elle nous est servie "souplesse pour les entreprise" et "sécurité pour les salariés" par notre président devenu défenseur de patronat medefiesque opprimé
RépondreSupprimeret surtout la grande "peur patronal d'embaucher"
comment ne pas comprendre l'insécurité du PDG de groupe, farci d'actions à bas prix à l'entrée, primé à la réussite comme à l'échec, recasé par piston en permanence et retraité chapeau pour des siècles, qui se met à trembler devant le salarié retors, feignant, instable, procédurier qui ne veut que le mal de l'entreprise pour laquelle il travaille sans envie...
pouah...
on résume :
- le salarié est un feignant qui coûte
- le chômeur est un feignant qui coûte
le politique et le medef ne souhaite que la sécurité de l'employé. Pour se faire, tout est mis en place pour le meilleur dialogue social dans un contexte de subordination contractuelle.
Puisque le licenciement pourrait être vidé de ses contraintes de justification, d'assouplissement de ses circonstances, on voit mal comment des juges de prud'homme pourraient trouver à redire à
postériori à ce qui sera vidé de substance à priori..
Stan
Comme en 1995 avec le plan Juppé, il est plus que souhaitable que les Français en plus grand nombre possible descendent dans la rue pour protester contre ce projet horrible et réclament la démission de Valls.
RépondreSupprimerEB.
@ Stan
RépondreSupprimerVotre pessimisme vous dicte
• 1° qu'au moment où le volume global horaire est contraint par l'atonie de la demande, c'est d'un ridicule que d'offrir la possibilité de faire plus d'heures à périmètre de personnel égal.
• 2° que la France ayant une des meilleure performance productive du monde, si vous faites plus d'heures avec le même nombre de salariés, il va falloir trouver des débouchés pour vendre le surplus.. Or il y a déjà des capacités productives excédentaires partout dans le monde et des échanges qui se tarissent
Le présent est bien celui que vous retracer avec vos deux affirmations. Mais faut-il pour autant avoir pour croyance qu’il ne peut évoluer ?
Notre vie sociétale n’est-elle pas que chacun de nous a pour objectifs de satisfaire ses besoins que les autres produisent pour nous. Alors cela implique, par équité, à chacun de nous de produire pour les autres autant que les autres produisent pour nous.
Dans ces conditions tant que vous ne satisfaites pas tout vos besoins : la demande existe ne reste qu’a les produire avec un peu d’intelligence de ne pas produire plus de besoins déjà satisfait.
Peut être que, s’il n’y a pas entière satisfactions des citoyens, c’est que vous même n’avaient pas suffisamment produit pour les autres puisque si nous ne satisfaisons pas suffisamment nos besoins c’est que les autres (et vous faites partie des autres) n’en produisent pas assez.
Analyser les choses ce n’est pas prévoir l’avenir et permettre que chacun de nous satisfasse ses besoins, pour parvenir à cet objectif il faut créer des emplois :
1° en produisant des biens et des services utiles à exporter d’avantage ou moins importer.
2° en produisant des biens et des services correspondant à des besoins non satisfaits à ce jour par l’ensemble des Français.
Mais une fois cela dit comment faire pour créer ces emplois ?
Il nous faut trouver des entreprenant qui se fasse rencontrer des producteurs (spécifiques) et des consommateurs qui s’entendent sur les biens ou services (que veulent ces derniers) et sur leur prix.
Mais comment faire quand nous avons des prix qui manquent de compétitivité ?
Comment faire quand les entreprenants sont freinés dans la volonté de créer des emplois ?
Il nous faut alors libéraliser la création d’emplois en dissociant l’aspect social de l’emploi qui relève de la démocratie et des citoyens entre eux, des conditions de travail qui relève de la sécurité et du bien être des personnes dans l’entreprise.
Pour les prix compétitifs uniquement savoir faire la différence entre valeur des choses dans la chaine de production (fonction circulation) et la valeur quand les choses utiles et agréables à la vie deviennent consommation (fonction partage).
1° selon qu’il s’agit de circulation des productions dans la nation et entre nations où le prix n’est pas impacté par le modèle sociétal dune nation souveraine de son modèle sociétal, c’est-à-dire retenir uniquement les valeurs ajoutées correspondantes aux efforts faits par les actifs physiques, intellectuels ou financiers. (l’équivalent du prix hors taxe aujourd’hui mais limités aux valeurs ajoutées des actifs)
2° Selon qu’il s’agit de partage des productions nationales (non exportées et des importations), dans la nation uniquement, lorsque elles deviennent consommations, où là le prix tient compte du modèle sociétal de la nation, par application sur le prix de circulation d’un coefficient de solidarité des actifs envers les inactifs. (équivalent du prix TTC aujourd’hui mais où le taux est le marqueur de la solidarité nationale des actifs envers les inactifs dans chaque nation souveraines)
Cette Simple différenciation entre prix de circulation et prix de partage permet de supprimer les causes : de recherche d’optimisation fiscale, de délocalisation, de nos prix non compétitifs ; trois effets qui induisent du chômage. Cette vision de la réalité permet d’éradiquer les origines de nos maux transmis par la vision officialisée par l’éducation nationale.
Unci TOÏ-YEN
Unci TOÏ-YEN
RépondreSupprimerallez expliquer aux mecs qui se font jeter ou vont l'être, au nom du nécessaire apaisement de l'esprit du PDG de groupe et surtout, au nom du dialogue social nécessairement amélioré
Et comme vous le dites si joliment :
" Le présent est bien celui que vous retracer avec vos deux affirmations. Mais faut-il pour autant avoir pour croyance qu’il ne peut évoluer ?............."
je suis bien d'accord avec vous, quand on commence une masturbation, on a bien une idée sur la manière dont elle se termine , mais on ne sait pas vraiment quand...
Stan
allez expliquer aux mecs qui se font jeter ou vont l'être, au nom du nécessaire apaisement de l'esprit du PDG de groupe et surtout, au nom du dialogue social nécessairement amélioré, qu'il font l'objet de l'incertitude durable des essais de politiques de l'offre, du ruissellement et de tant d'autres basés sur les transferts massifs de fric public qui ont fait autant d'effet que du talc sur la fesse irritée d'un poisson chat
RépondreSupprimerC'est d'ailleurs tellement le cas, qu'après 40 milliard de déversement de fric public pour un emploi évalué à plus de 100 000 balles pièce (un balle = 1 euro) , les politiques s'intéressent maintenant à l'effet du stress du patron repu de fric qui ne peut embaucher à cause du fait d'employer du personnel difficilement virable au démarrage
c'était donc ça qu'on a rien vu du CICE et du pacte...
Stan
faut vraiment avoir les lèvres gercées pour ne pas se fendre la gueule.
RépondreSupprimerje précise par ailleurs que bon pour la retraite, et n'ayant jamais fait les 35 heures dans ma chienne de vie professionnelle, je ne soutiens en aucune manière ce projet de loi complètement débile au moment où ce monde aurait bien besoin de vrais leaders....et au moment où il faudrait soutenir l'emploi en reprenant le destin de notre pays en main.
Stan
@ Stan
SupprimerOn se demande si, en fin de compte, votre préférence ne vous porte à vous complaire dans la croissance du chômage et surtout ne rien faire pour créer des emplois.
Je me trompe?
Répondez clairement ,puisque jusqu'à présent votre solution consiste à interdire le licenciement ou peut être de faire faire à deux personnes ce qu'un seul peu faire pour ne pas que ce produisent les besoins insatisfaits dans la nation.
Au fait savez vous que la totalité des besoins nationaux ne sont pas satisfaits?
Unci TOÏ-YEN
Unci TOÏ-YEN
Supprimerplus je vous lis et plus je me demande si vous êtes déjà sorti de chez vous ou si vous avez envisagé que la vraie vie était un poil différente que vos espèces de théories..
votre première phrase est à se bidonner de rire, mais oui finalement pourquoi faire petit bras et ne pas tout péter avec des contrats 0 pour les salariés qui doivent être au pied et refiler l'intégralité des recettes publiques aux groupes privés......
vos potes n'arrêtent pas de faire, on en voit le résultat sur la création l'emploi...ahahaha
il y a quand même de sacrés déconneurs sur les blogs..
Stan
Unci TOÏ-YEN,
SupprimerEffectivement la totalité des besoins nationaux ne sont pas satisfaits.
Moi-même, à la recherche d'un emploi depuis plus de quatre ans ne suis pas satisfait de la frustration engendrée par le fait que je n'arrive même pas à survivre avec les trop généreux 16,25 euros/jours que me verse PE (mais que vais-je bien pouvoir me payer avec les mirifiques 16,25 euros supplémentaires que je vais toucher cette année grâce à cette trop rare année bisextile ?). Et encore, faut-il que je renouvelle ma demande tous les six mois avec EXACTEMENT les mêmes documents à fournir à chaque fois !
Mais il et vrai que pour ce gouvernement, il est plus important de lutter contre ces fainéants de chômeurs que de lutter contre les terroristes et/ou ceux qui vont planquer leur pognon dans les paradis fiscaux !
Je déconne ? J'exagère ?
Alors, expliquez moi pourquoi, Sieur Sapin (qui, comme El Khomeri, comprend tout à l'emploi : http://www.actuchomage.org/2012082122032/Social-economie-et-politique/lle-cdi-a-duree-determineer-la-bourde-de-michel-sapin.html, ou : http://www.actuchomage.org/2013072925352/Mobilisations-luttes-et-solidarites/monsieur-sapin-au-travail-sur-la-question-des-droits-des-chomeurs.html), en octobre 2013, a pondu un décret autorisant TOUS les agents de PE d'aller farfouiller dans les comptes bancaires des chercheurs d'emploi SANS l'autorisation d'un juge (http://www.actuchomage.org/2013103025592/Social-economie-et-politique/pole-emploi-autorise-a-interroger-les-comptes-bancaires.html ; http://www.chomage.gouv.org/2013/10/pole-emploi-peut-desormais-consulter.html)alors qu'aujourd'hui, à cette heure là, la Police, la Gendarmerie, n'ont pas le droit de le faire sans l'autorisation d'un juge (de farfouiller discrètement sur les comptes des personnes dangereuses aussi bien pour notre sécurité physique que pour notre sécurité financière et économique ?http://www.despasperdus.com/index.php?post/2015/05/13/Le-ch%C3%B4mage-tue-plus-que-le-terrorisme).
Déjà dans les années 80 le père de la pleureuse en chef actuel du MEDEF, alors lui-même chef de son ancêtre CNPF, avait promis 1 million d'emploi dès lors que l'on supprimerait l'autorisation administrative de licenciement. Et Seguin l'avait alors écouté en supprimant cette autorisation. Résultat ?
En fait, avec ses promesses, la famille Gattaz nous doit DEUX millions d'emploi ! Mais, comme d'hab, le taux d'intérêt c'est toujours ceux d'en bas (pour reprendre la merveilleuse, sic, expression de Raffarin) qui le paient !
Maintenant, il n'est pas interdit de voir plus loin que le bout de son nez et, comme l'écrit Stan, de sortir de chez vous : la Suède et la Belgique expérimente la semaine de 30 heures sans réduction de salaire, pour la première, et envisage de tester la semaine de quatre jours pour la seconde. Et, AVEC l'appui de chefs d'entreprise !
Si, si. Bon, il est vrai que, en Belgique, le ministre du travail qui propose cela est un dangereux extrémiste de gauche extrême (si on compare son positionnement politique sur celui de notre droite socialiste nationaliste), car classé au centre-droit.
https://resistanceinventerre.wordpress.com/2016/01/22/partage-du-temps-de-travail-le-debat-repart-en-belgique/
http://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/en-suede-on-teste-la-semaine-de-30-heures-au-travail_1159613.html
Effectivement la totalité des besoins nationaux ne sont pas satisfaits.
SupprimerJe ne demande qu'à permettre que les besoins nationaux soient satisfaits ! En bossant. En apportant mon expérience et mes compétences au bien être commun.
Vous noterez que se sont les mêmes qui critiquent vertement les syndicats qui protégeraient exclusivement ces gros privilégiers de salariés en CDI... qui proposent pire : créer le salariat à 60 heures/semaine pour laisser encore plus de chômeurs dans le caniveau.
Dire que le petit Macron, qui tutoie Gattaz soit dit en passant (pour souligner leur(s) connivence(s)) nous disait que "le travail le dimanche, c'est la liberté". Arbeit (am sonntag) marcht frei, n'est-ce pas ? http://www.actuchomage.org/2011121418322/La-revue-de-presse/lallemagne-et-la-mortalite-de-ses-pauvres.html
Même le petit frère Bush, après le tollé engendré par son expression "travailler comme un Français" (sous-entendant que les Français non seulement ne bossaient pas beaucoup mais qu'ils ne pensaient qu'à faire la fête et s'en reposer) a reconnu que les Français travaillaient plus que les Allemands et les Américains, tout ces gens qui bossent 38 heures/24...http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/12/1580577-les-americains-travaillent-moins-de-35h-chiffre-officiel.html ; http://fr.express.live/2015/2/11/aux-etats-unis-seulement-5-6-de-chomage-le-grand-mensonge-exp-211236/ ; http://yetiblog.org/index.php?post/1378
Ceci dit, le French-bashing est le produit de nos propres politocards (et leurs affidés de "grands" patrons). Car en nous qualifiant sans cesse de fainéants, de râleurs (voire de pleureuses), d'incapables à changer nos systèmes de pensée (car ils le changent, eux, le leur, depuis 40 ans qu'ils appliquent les mêmes règles, les mêmes soins, en les accentuant à chaque fois avec les merveilleux résultats que l'on observe), non seulement ils le font croire à nos concitoyens mais, crime anti-patriote, le font croire à tous nos concurrents étrangers (on comprend mieux qu'ils préfèrent la déchéance de nationalité au crime d'indignité nationale : ils encourent moins de risques ! Avec tous les sous-entendus : un fainéant, donc un Français décrit par nos "élites", forcément ne produit pas un bon boulot. Donc, il est risqué d'acheter cette production. Vous souvenez vous seulement du résultat désastreux de renvoi systématique vers le "modèle" allemand entamé par la Sieur Sarkozy ? La fameuse "Deutsche Qualität" est immédiatement apparue dans les publicités !
Je ne parle même pas des effets psychologiques délétères sur la population Française.
Si Molière vivait aujourd'hui, il remplacerait ses médecins qui ne savaient soigner que par des saignées (et qui s'étripaient non pas sur la pratique mais sur la manière de l'appliquer) par nos économistes dans ses pièces...
"Il y a quand même de sacrés déconneurs sur les blogs" vous dit Stan...
Effectivement...
CANLUCAT
SupprimerLà vous venez de lui faire faire un bon tour dehors sous une grosse averse à l'ami mollette, j'espère qu'il aura pris le temps d'enfiler un imper, lui qui enfile si bien les perles..
:-D
Stan
Il ne faut pas confondre une construction démocratique et une construction anti-démocratique.
RépondreSupprimerLe référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne se tiendra le jeudi 23 juin 2016, a annoncé samedi le Premier ministre David Cameron à l'issue d'un conseil des ministres, le qualifiant de « l'une des plus grandes décisions d'une génération. »
Et en France ?
Nous allons avoir un référendum sur l'appartenance de la France à l'Union européenne ?
Ou alors, en France, il n'y aura plus jamais de référendum sur la construction européenne ?
Et aux Pays-Bas ?
Ils vont avoir un référendum sur l'appartenance des Pays-Bas à l'Union Européenne ?
Ou alors, aux Pays-Bas, il n'y aura plus jamais de référendum sur la construction européenne ?
Le suspens est insoutenable.
Si la construction européenne était démocratique, il y aurait 28 référendums, dans les 28 pays membres de l'Union européenne, le jeudi 23 juin 2016.
Je dis bien : « Si la construction européenne était démocratique ... »
Malheureusement, dans le monde réel, la construction européenne est anti-sociale, anti-populaire, anti-démocratique.
Et en plus, ils favorisent les revendications communautaristes :
RépondreSupprimerhttp://www.atlantico.fr/decryptage/gouvernement-valls-plus-en-plus-complice-communautarisme-islamique-lydia-guirous-guylain-chevrier-2596134.html
Beaucoup de monde vous l'a dit : il y a trop de musulmans en France, gentils ou pas, et la combinaison avec le clientélisme socialiste est inquiétante.
Allez-vous finir par en convenir ?
@ Stan
RépondreSupprimerMerci pour toutes ces précisions, que je partage largement
Bernie Sanders a donné un bon chiffre : 20 personnes aux Etats-Unis sont aussi riches que les 150 millions les moins riches. Cette situation n’est pas juste ni durable car la richesse de ces 20 personnes n’est que le produit de leur appartenance à la société et ces écarts sont indécents
@ EB
Pas faux mais le contexte politique complique cela
signez la pétition contre la réforme du droit du travaile t faites la circuler
RépondreSupprimerhttps://www.change.org/p/loi-travail-non-merci-myriamelkhomri-loitravailnonmerci
A signé !
SupprimerIvan
Quel courage et quel dynamisme, Stan ! La grande forme, tant mieux.
RépondreSupprimerPour ce qui concerne les socialauds et leur politique délirante, celui qui saura traduire le mot "traître" en novlangue aura droit, au choix, à la visite d'une unité de fabrication Nestlé ou Lactalis, fabricants du Flanby ou un séjour rue de Solferino pour comprendre comment on peut prendre les citoyens que nous sommes pour des cons en gardant un air sérieux et solennel.
DemOs
DEMOS
Supprimerj'ai compris il y a quelques années que nous prêtons aux partis et aux leaders qui les animent des fantasmes qui n'appartiennent en réalité qu'à nous et qui correspondent à des images ou des artifices liés au fric et au pouvoir ...
un exemple schématique pour illustrer ce que je veux dire ; ENA = intelligence supérieure = indépendance d'esprit = force de caractère......etc..
or du point de vue de l'individu, rien ne prouve que parce que tu as l'intelligence "logico mathématiques" des voies royales de l'éducation nationale, tu sois forcément un individu indépendant ou fort de caractère. Il en est de même avec l'amoncellement de fric, ou la célébrité quelle qu'elle soit...
ce que je veux exprimer, c'est que hollande n'est pas forcément un traitre au sens où les convaincus l'entendent, mais simplement que son organisation psychique révèle la faiblesse de ceux qui ne prennent pas de décisions claires, se laissent convaincre par leur entourage sclérosé et vérolé par la pensée libérale financière ambiante et préfèrent "faire quelque chose, y compris une énorme connerie plutôt que de se faire reprocher de n'avoir rien fait"..
les CICE et autres fadaises procèdent à mon avis de ce principe.
Sinon il faut m'expliquer comment un type qui a fait HEC ne puisse pas penser une seconde que les milliards déversés à des groupes qui consolident, seraient perdus dans la masse pour améliorer les résultats et non créer de l'emploi.
en maternelle 1ere année d'économie tu apprends que l'objectif N1 d'une entreprise c'est de faire des bénéfices, pas du social...
sans compter que nombre d'entre eux pètent littéralement des câbles en arrivant sous les ors officiels de la république...on sous estime trop ces aspects des choses, nous ne voyons ces gens que devant une caméra finalement...
la solution existe, elle consisterait tout bêtement à aider le privé, pourquoi pas, mais en mettant des conditions telles que l'opération ne peut être que "gagnante - gagnante "pour la collectivité...sinon c'est du cinéma de série Z
et encore là je fais vite
Stan
DEMOS suite
Supprimerje lisais CANLUCAT et je me disais que voilà effectivement quelqu'un qui avoue sur un blog être au chômage, ce qui arrive très rarement parce que le chômage est une situation qui est provoquée par des évènements extérieurs (à 90%, hors le fait que tu puisses demander une rupture de ton propre fait) et que malgré tout, la personne finit par s'en culpabiliser.
extrait de la conclusion d'agora sur le chômage de décembre 2015 :
" total : + de 10,5 MILLIONS de chômeurs en France (fourchette basse), et autant de pauvres largement sous les seuils de pauvreté.
cette personne donc est une déclaration parmi le grand silence de cette partie de la France, partie cachée, mise sous le tapis.. truandée dans les statistiques...
qui me dira que c'est par courage de faire face à la situation à part le CITOYEN ?
combien de représentants de cette population sous les ors de la république, parlementaires compris ?
combien d'employés représentés ?
ces gens là ne se fichent pas de nos gueules, dès leur élections ils oublient l'origine de leur présence en ces lieux et il n'y a personne ensuite pour le leur rappeler..
et je ne te dis pas que lorsqu'ils se trouvent dans le marigot bruxellois rempli de parasites redevables à des puissances, de leurs salaires et de leurs postes par pistons et carnets d'adresses, comment veux tu qu'il en soit autrement..
ce serait long de faire l'état de ce qui fait l'oubli...
10.5 millions de chômeurs en France dans le silence
22 millions de non votants dans le silence
un refus français de traité européen en 2005, repassé par le congrès en 2008 dans le silence et qui nous maltraite aujourd'hui
des instruments de pouvoir nationaux donnés à l'UE
une finance renforcée par les états en 2008 sans condition
nous ne sommes pas trahis, nous sommes bradés, offerts à des psychotiques qui ont amassé suffisamment de puissance avec l'aide de ceux que nous élisons pour nous amoindrir encore...
en pendant ce temps là, toutes les intox médiatiques s'occupent de nous diviser de nous expliquer que nous sommes profiteurs de uns et des autres...et ça marche..
Stan
Bien d'accord avec toi sur le fait que, pour le dire ainsi, notre vision, notre approche des hommes politiques, comme du monde en général, sont une projection de notre moi.
SupprimerPour ce qui concerne HEC, ENA ou autre école de prestige, il faut savoir qu'elles ne valorisent et récompensent l'orthodoxie, la discipline , l'obéissance à la hiérarchie et non l'esprit d'initiative ou d'aventure. Je travaille dans le public depuis longtemps et ai pu en mesurer les effets. Ne parle-t-on pas d'ailleurs de manière amusante de grands serviteurs de l'Etat et la perméabilité entre la haute fonction publique, les postes politiques et les grands groupes avec les résultats que l'on connaît ne fait que confirmer que ce sont, sauf exception, les plus ambitieux parmi les serviles qui réussissent. Dans leur propre intérêt et celui de leur hiérarchique.
DemOs
à ce propos,je suis avec grand intérêt d'ailleurs l'expérience menée par Mr bertrand à propos de 100 0000 emplois vacants qu'il veut pourvoir directement dans sa région
RépondreSupprimerpour une fois qu'un gazier de cette envergure veut plonger dans la vraie vie, ne soyons pas mesquins et souhaitons bon courage..
si des nouvelles il y a, je ne manquerai pas de vous les transmettre (voir blog de Mr Gadrey qui en parle)
http://www.monde-diplomatique.fr/2015/02/CLOUET/52623
Stan
@ Stand, Demos, Herblay, CanuCat.
RépondreSupprimerIl me paraît que vos préoccupations envers les employés est sans limites au point de faire un déni de la réalité.
Cette réalité est que chacun de nous consomme les productions des autres pour satisfaire leurs besoins.
Si vous n'admettez pas cela : c'est que vous n'êtes plus sur terre, mais dans vos fantasmes.
Cette réalité est que par équité chacun doit produire dans sa vie autant que les autres produisent pour lui.
Si vous n'admettez pas cela : c'est que vous n'êtes plus sur terre, mais dans vos fantasmes.
Celui qui dans, notre nation est chômeur, doit profiter de la solidarité des autres pour pouvoir consommer leurs productions qui ne sont pas produites par le patronat mais par des citoyens.
Si vous n'admettez pas cela : c'est que vous n'êtes plus sur terre, mais dans vos fantasmes.
Pour ne pas être au chômage il faut que des postes de productions de besoins non satisfaits, ou pour exporter d'avantage ou encore moins importer soient créer pour que ces chômeurs retrouvent de l'emploi.
Si vous n'admettez pas cela : c'est que vous n'êtes plus sur terre, mais dans vos fantasmes.
Pour ne plus être au chômage il faut que les chômeurs soient disponibles et compétant à occuper des postes d'emplois correspondant aux choix des besoins des consommateurs. Ce n'est pas le chômeur qui décide de quoi ont besoins les autres.
Si vous n'admettez pas cela : c'est que vous n'êtes plus sur terre, mais dans vos fantasmes.
Les entreprises ont pour mission de produire les biens et les services que les consommateurs désirent avec des employés qui doivent intervenir dans des conditions d'hygiènes et de sécurités et dans des rapports humains optimums et pour cela veiller à la création d'emplois alors que le chômage relève de la solidarité de tous puisque seul les actifs produisent et réservent une partie des consommations pour eux qui n'est pas payé par les entreprises mais par les consommateurs des productions des entreprises.
Si vous n'admettez pas cela : c'est que vous n'êtes plus sur terre, mais dans vos fantasmes.
Je vous parle de création d'emplois spécifiques aux besoins des consommateurs, seule condition nécessaire et suffisante pour que le nombre de chômeurs diminue et qu'augmentent les besoins des consommateurs non satisfaits.Vous en faîtes un déni, pour ne parler que d'employés ou de chômeurs malheureux qui n'auraient comme seule possibilité : de partager avec les autres les consommations nationales sans satisfaire plus de besoins non satisfait à ce jour.
Si vous n'admettez pas cela : c'est que vous n'êtes plus sur terre, mais dans vos fantasmes.
Si dire : ''On se demande si, en définitive, votre préférence n'est pas de vous complaire dans la croissance du chômage sachant que la caisse de chômage est équilibré pour surtout ne rien faire pour créer des emplois.'' Vous fait bidonner : c'est bien que vos fantasmes ont pris le pas sur le besoin que salariés et chômeurs ne soient plus sous le joug d'absence de création d'emplois pour satisfaire la règle sociétale d'équité : produire pour les autres autant que les autres produisent pour vous.
Ci cette réalité sociétale n'est pas la vôtre c'est que vous êtes des esclavagistes qui demandaient aux autres de produire plus pour vous que vous ne produisez pour eux.
Alors bidonner vous en vous regardant dans la glace chaque matin. Ô citoyens exemplaires.
Unci TOÏ-YEN
le monsieur est utilitariste, le monde se résume a une addition (ou multiplication ) de peines et d'envies qui doivent être palliées par d'autres peines et envies, le lieu importe peu, la terre est petite, et internet existe
RépondreSupprimerpar conséquent si une envie se déclare à lille, elle doit vite trouver une solution à pékin, puisque l'envie de lille est sous contrainte de salaire en baisse, elle ne peut être satisfaite que par un petit salaire chinois..
quoique, les chinois gagnant trop, le lillois en fin de pension chômage devra trouver encore moins cher, reste donc l'inde et quelques territoires reculés qui ne savent pas encore que l'arrêt repas est autorisé le midi ou le soir après le travail et qui ignore, dieu merci, qu'un maladie se soigne ou qu'une vie professionnelle s'arrête..
il conçoit alors qu'il y a la solution de la libre circulation de l'homme, globalement moins cher, avec un contrat de pays lointain aux salaires et prestations raisonnables (c'est à dire proche de 0) qui vient bosser dans un pays où le train de vie est honteusement élevé comme la France (exemple pour illustrer mon propos)
l'utilitariste conçoit que l'envie et la peine de son prochain lui soit la plus profitable possible au sens marchand du terme, et à l'exception des siennes propres qui méritent un autre traitement sur le plan légal et financier, cela va sans dire..
l'utilitariste écrit sa loi, qu'il redéfinit au gré des évènements, tout en prenant bien soin de pouvoir trouver les moyens de contourner celle que d'autres importuns pourraient placer devant lui..
mais in fine, l'utilitariste, finit toujours par combler les peines et les envies des gens dignes d'intérêts, donc à des niveaux qui ont fait dire à Confucius "quand on aime, on ne compte pas.."
Stan
@ Stan
RépondreSupprimerbien heureux stan
Vous avez un don de voyance qui vous fait lire entre les lignes ce qui est loin et très loin de ma pensée, vous y voyez ''un monde de peines et d'envies qui doivent être palliées par d'autres peines et envies, le lieu importe peu, la terre est petite, et internet existe''
Dans votre lévitation vos fantasmes s’en donne à cœur joie. Alors vous ne voyez plus les réalités d’ici bas.
Vous ne vous êtes pas encore aperçu que vos consommations ne sont que les productions des autres lesquels ont pour espoir que lui rendiez ‘’la monnaie de la pièce’’, l’équivalent qui certes vous demande de la peine à la hauteur de l’autre.
Si vous voulez moins peiner vous êtes libre de moins demander aux autres mais surtout ne vous avisez pas à demander aux autre de prendre plus de peine que vous n’en prenez pour eux pour que je ne vous traite pas d’esclavagiste, ce qui serait une réalité en pareil cas.
La réalité est réalité je ne peux la changer, j’ai les pieds sur terre, il n’y a que vous qui dans vos élucubration pouvez fantasmer.
Quand aux petits chinois, ne les accuser pas pour masquer notre propre responsabilité qui est la votre quand vous ne produisez pas pour les autres autant que les autres produisent pour vous et une faute collective quand une nation ne produit pas pour les autres nations autant que les autres nations produisent pour notre nation.
Les choses sont facile à comprendre sauf à y mettre de la mauvaise volonté et dans votre hypnose ne pas savoir les réalités de notre économie qui imposent des équités entre citoyens et entre nations et : si cette iniquité n’est pas respectée le fautif ce n’est pas l’esclave qui produit mais l’esclavagiste qui ne lui produit pas l’équivalant que ce produit l’esclave pour lui.
Mais de votre hauteur dans vos fantasme anti capitaliste, vous ne pouvez pas comprendre que nous avons une ‘’richesse réelle’’, les biens et les services qui pour facilité leurs ‘’circulations’’ et leurs ‘’partage’’ entre tous pour devenir consommation, utilise un outil qui consiste à transposer notre ‘’ richesse réelle’’ dans une ‘’richesse imaginaire’’ la valeur que l’on donne à ces choses agréables et utile, qui matérialisée par de la monnaie permet leur a ‘’circulations’’ et le ‘’partages’’.
Ce qui ne vas pas : ce sont les modes de constructions des valeurs donnée aux choses qui ne dépend pas du capitalisme mais des règles éditées par les élus incapables de comprendre que la valeur des choses quand elles ‘’circulent’’ ( y compris entre nation) n’est pas égale à la valeur de ces même choses quant elles deviennent consommations qui se ‘’partagent’’ entre tout les consommateurs qui ne sont pourtant produit que par les actifs.
La valeur ‘’circulation’’ est égale au revenu des actifs et la valeur de ‘’partage’’ est égale aux revenus distribués aux actifs plus la valeur distribuée aux différentes catégories d’inactifs puis entre leurs ayant droit. Ainsi soit-il dans la réalité de notre vie sociétale.
Si nos élus ne savent pas différencier valeur ‘’circulation’’ et ‘’partages’’ : les capitaliste pour palier les erreurs des élus (cause) ne peuvent que réagir ce qui a pour effets : de chercher l’optimisation fiscale, la délocalisation et en ricoché son lots de chômage.
Pour des personnes qui ont les pieds sur terre, les causes restent causes et les effets les effets. Pour ceux qui ne touchent plus terre les effets deviennent causes et les causes sont des effets.
Ainsi c’est la croissance qui crée les emplois et non le contraire pour Stan et bien d’autre, y compris nos ministres: pauvre France. Avec des amis comme ça elle n’a pas besoin d’ennemis.
Unci TOÏ-YEN
Merci pour le partage
RépondreSupprimerComme d'autres pays en difficulté de la zone euro la France fait inéluctablement des pas obligatoires vers la dévaluation interne, faute de pouvoir faire autre chose dans le cadre institutionnel de l'euro dans lequel elle se trouve et qui l'a affaibli au fil du temps. Il faut réagir à cet affaiblissement persistant. La précarisation du travail, l’augmentation de sa durée pour en réduire le coût sont des éléments de la dévaluation interne que d'autres pays en difficulté de la zone euro ont déjà mis en oeuve. Comme nos partenaires de la zone euro font la même chose (l'Allemagne l'a fait dès le début de l'existence de la zone euro et en a profité car les autres pays ayant l'euro comme monnaie ne faisaient pas la même chose),il n'y a pas grand chose à en espérer en termes d'amélioration de la compétitivité prix de la France, à part que c'est une tentative désespérée pour tenter de limiter les dégâts d'une compétition à outrance qui est maintenant en train de détruire l'agriculture française par exemple. Chez nous le statut des fonctionnaires va également y passer pour réduire les coûts, ce n'est plus qu'une question de temps.
RépondreSupprimerDans une société de plus en plus précarisée on peut supposer que la natalité va diminuer au fil du temps, mais elle sera remplacé par l'immigration qui renforcera le caractère précarisation à outrance de la société française.
Saul
@Saul
RépondreSupprimerVotre analyse répond parfaitement à VOTRE vision de notre vie sociétale et elle nous EXPLIQUE l’impuissance de la déflation à satisfaire nos préoccupations communes : la précarité qui cause du mal être de ceux qui en sont victime.
Vous insister sur la dévaluation, en particulier des salaires, sans effet, mais, par ailleurs, pas dans cette intervention, dans d’autres, les bienfaits de l’augmentation des salaires donc de l’inflation.
Si vous aviez un tant soit peu de rigueur, votre raison devrait vous dire :
Que l’inflation rend nos exportations moins performantes d’où moins d’emplois et plus de précarité, ou alors rend les importations plus attractives pour les préférer à nos productions d’où moins d’emplois et plus de précarité. Quant au prix dans la nation l’inflation produit une augmentation que cette inflation permet que d’équilibrer : donc ni création ni suppressions d’emplois. Si vous arrivez à démontrez le contraire c’est que vous déraisonnez. Si A à la production = A à la consommation avec inflation : A + x à la production = A+X à la consommation.
Cesser donc de vous mentir.
Pour la déflation, dans une nation, elle produit une amélioration de nos exportations ce qui est un mieux (possibilité de produire plus pour l’exportation) et la baisse des prix de nos productions rend moins accessible les importations ce qui est un mieux (possibilité de produire plus pour moins exporter). Quant au prix dans la nation l’inflation produit une baisse des prix que cette inflation permet que d’équilibrer : donc ni création ni suppressions d’emplois. Si vous arrivez à démontrez le contraire c’est que vous déraisonnez. Si A à la production = A à la consommation avec la déflation : A - x à la production = A-X à la consommation.
Donc la déflation nationale est créatrice d’emplois donc de moins de précarité ce qui est contraire à vos affirmations.
Il faut cesser de vous mentir.
Cependant vous avez raison de dire que les autres font pareil auquel cas c’est le statuquo. Sauf que votre absence de logique vous fait croire que les autres font de la déflation ce qui est faut puisque c’est nous qui faisions de l’inflation depuis des décennies et aujourd’hui alors que les autres n’empruntent pas nous empruntons pour éviter l’inflation puisque l’inflation étant neutre sur la consommation l’emprunt permet de consommer plus que produit.
Ce qui signifie que nous demandons à d’autres nations de produire nos consommations sans en produire l’équivalent pour eux (balance commerciale déficitaire) c’est-a-dire depuis quarante ans nous sommes des esclavagistes sans vous en rendre compte considérant la monnaie comme une richesse réelle ce qu’elle n’est pas puisque la seule et uniques richesse réelle c’est nos productions nationales qui en partie échangées, avec d’autres nations, deviennent nos consommations nationales.
Dans ce concept qui colle à la réalité de notre vie sociétale qui est un déni chez vous, vous ne pouvez pas comprendre que la monnaie n’est qu’une richesse ‘’ imaginaire’’ imaginée pour faire ‘’circuler ‘’ les biens et les services pour devenir consommation où là : la monnaie parce qu’elle est partageable permet de se partager les biens et les services entre nous.
Hum… Il faudrait aussi parler, pour les crises économiques, d’un certain nombre de choses dont on commence à avoir l’expérience aujourd’hui, par exemple des inconvénients et des avantages comparatifs des dévaluations interne et des dévaluation de la monnaie, de la souveraineté et de l’absence de souveraineté pour traiter les crises financières. le Premier ministre Islandais a déclaré en 2015, suite à l'énorme crise économique qu’a connu son pays dans les années 2000 : «nous n’aurions pu sortir de la crise si nous avions été membre de l’Union européenne» :
Supprimerhttp://lesobservateurs.ch/2016/02/14/islande-a-1-9-de-chomage-naurions-pu-sortir-de-crise-avions-ete-membre-de-lue/
À noter que les britanniques viennent de rendre leurs exportations plus compétitives par baisse du taux de change suite à une simple déclaration du Maire de Londres soutenant le« Brexit » que les marchés financiers n’aiment pas. Là pour le coup ils n’ont pas eu à augmenter la durée du travail à 60 heures par semaine (vous me direz peut-être qu’ils le font déjà) pour améliorer la compétitivité prix de leurs produits. Mais une baisse du taux de change se répercute en négatif sur le pouvoir d’achat. Cela dit une adaptation douloureuse par baisse du taux de change, l’expérience l’ démontré, a de fortes chances d’être beaucoup moins douloureuse qu’une adaptation par dévaluation Interne à l’intérieur de la zone euro dans son contexte actuel.
http://www.lesechos.fr/monde/europe/021716211651-lannonce-du-maire-de-londres-fait-plonger-la-livre-sterling-1202060.php
Saul
Notre seul problème actuel n’est ni l’inflation ni la déflation c’est l’équité des prix qui doit prévaloir.
RépondreSupprimerIl faut pour cela savoir différencier les prix des choses dans le circuit ‘’circulation ‘’ des biens et des services et leurs prix quand ces choses deviennent nos consommations où là : les biens et les services se ‘’partagent’’ entre tous : pour la bonne raison que nos productions nationales, moins nos exportations plus nos importations deviennent nos consommations nationales que nous nous partageons à 100% entre actifs et inactifs et ces actifs et inactifs partagent à 100% ces mêmes consommations en usages, familial, mutuel, ou collectif. Ce qui fait des partages en % que chaque nation souveraine décide, comme nous le faisons souverainement aujourd’hui. Faut-il aussi savoir que tout % est indépendant des valeurs. Ceci est une réalité de notre vie sociétale jusqu’à ce que VOUS me démontriez le contraire.
Notre erreur structurelle provient de la non différenciation raisonnable entre prix de ‘’circulation’’ et prix de partage : L’actuel prix HT et prix TTC est inique. Il faut en changer.
Prix de ‘’circulation’’ (HT), des biens et services, égale revenus des actifs (physiques, intellectuels, financiers), pour la circulation dans la chaîne de productions entre nations.
Prix de ‘’partage’’(TTC), des biens et services, égale revenus des actifs plus majoration du revenus des inactifs qui se partage entre les différentes catégories d’inactifs puis entre les ayant droits dans chaque catégories d’inactifs (ce que nous faisons actuellement sans le savoir) (déni). Ce partage de la monnaie (richesse ‘’imaginaire’’) préfigure le partage des biens et des services, c’est-à-dire notre richesse ‘’réelle’’, entre tous avant que chacun participe aux usages mutuels et usages collectifs.
Revenir à la réalité telle qu’elle est présenté ici est essentiel pour pouvoir résoudre nos problèmes.
Si chacun reste avec ses savoirs appris sans les remettre en questions, cela n’aboutiras qu’a plus de précarité.
La cause de la précarité n’est que l’ignorance de la réalité de notre vie sociétale provenant de notre vision imaginaire et idéologique à laquelle nous avons été formaté par notre éducation nationale : Etat providence, droit acquit, et entreprises payeuses trois marqueurs irréalistes.
N’avons-nous pas pour marqueur de notre vie sociétale nationale :
1° nos actifs (producteurs) solidaires des inactifs qui, ensembles, consomment leurs productions, moins les exportations, plus les importations, c'est-à-dire nos consommations nationales.
2°la volonté démocratique d’utiliser une partie de nos consommations nationales en usages mutuels et une autre en usages collectifs.
3°La volonté de mettre en place une solidarité où les familles favorisées, par leurs situations et leurs environnements, ont un devoir envers les familles handicapées dans leurs capacités et leurs situations.
Unci TOÏ-YEN
"Si chacun reste avec ses savoirs appris sans les remettre en questions, cela n’aboutiras qu’a plus de précarité."
RépondreSupprimerEffectivement l'application des principes des chicago boys amène de plus en plus de précarité.
La cause de la précarité n’est que l’ignorance de "la réalité de notre vie sociétale provenant de notre vision imaginaire et idéologique à laquelle nous avons été formaté par notre éducation nationale : Etat providence, droit acquit, et entreprises payeuses trois marqueurs irréalistes."
Toujours marrant de voir les gens embrigadés dans une idéologie traiter les autres d'idéologues.
Et tout cela derrière un emballage pseudo-scientifique pour donner le change.
@Saul
RépondreSupprimer@André
Il est certain que dans chaque désaccord chacun reproche à l’autre son idéologie mais ce reproche n’est pas constructif. Ce qui est essentiel c’est de chercher laquelle des idéologies a davantage d’espoir d’avenir.
Par exemple aujourd’hui la théorie de la cordelette ondulatoire étant plus holistique que celle d’Einstein ont utilise cette nouvelle théorie.
En économie le sujet est de savoir si notre vie sociétale doit conserver les trois marqueurs suivant : l’Etat providence, les droits acquits et des entreprises payeuses. Dont vous voudrez bien admettre qu’ils ne sont pas rationnel mais issus de l’imaginaire et devenu à son niveau d’incompétence à régler nos problèmes. Hélas ils sont devenus vos savoirs appris.
Vous ne devez pas nier que d’autres visions sont possible, par exemple : la vision où vos trois marqueurs sont remplacés par les trois marqueurs suivant :
1° nos actifs (producteurs) solidaires des inactifs qui, ensembles, consomment leurs productions, moins les exportations, plus les importations, c'est-à-dire nos consommations nationales.
2°la volonté démocratique d’utiliser une partie de nos consommations nationales en usages mutuels et une autre en usages collectifs.
3°La volonté de mettre en place une solidarité où les familles favorisées, par leurs situations et leurs environnements, ont un devoir envers les familles handicapées dans leurs capacités et leurs situations.
Vous devriez, il me semble, comprendre que cette ‘’idéologie’’ est plus réaliste à expliquer notre vie sociétale que votre idéologie issue de l’imaginaire. Votre faculté à raisonner devrait, il me semble encore, vous inciter à porter votre choix sur le réalisme plus tôt que sur l’irrationnel de l’imaginaire.
Ce n’est pas ce que vous faîte et dans l’incapacité de démontrer que l’irréalisme de mon réalisme et le réalisme de votre irréalisme, vous vous obstiner à vouloir démontrer indémontrable. Pour cela vous oublier que l’économie se doit être holistique.
Alors vous isole un élément d’un tout pour le faire coller à votre savoir appris et ainsi vous rassurer et prétendre que les autres ne touche pas terre alors que c’est vous qui naviguer dans l’imaginaire et qui vous nous dites :
‘’ Toujours marrant de voir les gens embrigadés dans une idéologie traiter les autres d'idéologues.’’ Il ne sert a rien de dire cela. L’essentiel est d’argumenter l’une ou l’autre.
Vous ajouter ‘’ Et tout cela derrière un emballage pseudo-scientifique pour donner le change.’’ Je comprends votre dire pour vous qui êtes dans l’imaginaire irrationnel, le rationnel devient un emballage pseudo scientifique pour donner le change à votre absence d’argumentation à démontre l’irrationnel de mon rationnel.
Pour donner le change vous chercher non pas dans le pseudo scientifique, mais dans le passé, des arguments sortis de l’holisme que doit être l’économie.
Et là vous trouvez dans vos savoir appris l’élément qui à l’apparence d’un argument. Que vous mettez en avant pour rendre crédible vos critiques. Exemple: ‘’ l'application des principes des Chicago boys amène de plus en plus de précarité.’’
à suivre
Vous ramener ce courant économique à ce qui est utile à préserver votre avoir appris, alors que dans la réalité ce qui est à dire sur ce courant c’est ce qui suit.
RépondreSupprimer‘’le modèle proposé dans le Programme de développement économique tint toutes ses promesses et fit du Chili le premier pays d’Amérique du Sud à intégrer l’OCDE, le 7e le plus libre économiquement au monde en 2013, le propulsant en tête des nations latino-américaines, en offrant aux Chiliens les meilleurs indices de développement humain et le plus haut PIB par habitant de toute l’Amérique latine, ainsi que les taux de pauvreté les plus bas de toute leur histoire. Un bien beau résultat pour une aventure qui commença, il y a près de 60 ans, par un accord de coopération entre deux universités.’’
En économie, vous n’êtes pas autorisé d’isoler la précarité du travail d’autres considérations comme par exemple la pauvreté et le chômage. Car vous pouvez très bien comprendre que la précarité du travail s’analyse différemment en période de plein emploie que de récession.
Reste à savoir si par des mesures d’anti précarité vous n’allez pas modifier les prix des choses pour qu’il ne soit plus compétitifs et se traduisent par davantage de chômage et de pauvreté. Si le chili c’était tourné vers davantage de sécurité d’emploi pourrait-il être le pays avec le plus haut PIB par habitant de toute l’Amérique latine, ainsi que les taux de pauvreté les plus bas de toute leur histoire ?
Le manque aptitude à renier son savoir se traduit par des prises de positions sectorielles sur de l’insignifiant au point de devenir sectaire.
C’est le cas de Saul à propos des dévaluations et de taux de change à travers les cas de l’Islande et de l’Angleterre pour démontrer son sectarisme envers l’Europe et l’Euro alors que les deux cas de figure sont différents.
Nous reviendront sur l’Islande dans un autre commentaire. Pour l’Angleterre Saul omet, ou cache la vérité, sur la modification du taux de change forcé à faire pour l’angleterre, du fait qu’il ne sont pas dans la zone EURO qui vient de profiter de sa baisse, par rapport aux autres monnaies, ces dernières année et, de ce fait, rendait l’Angleterre moins compétitive. Laquelle pour retrouver cette compétitivité a modifié son taux de change
Bien entendu elle peu le faire parce qu’elle n’est pas dans la zone Euro mais elle n’aurait pas eu à le faire si elle avait été dans la zone Euro.
Vos arguments vis-à-vis de l’Euroexit deviennent alors fallacieux. Les problèmes de besoin de dévaluer ou changer les taux de parité entre monnaies, sont avant tout de ne pas maitriser le prix des choses en fonction de leurs ‘’circulation’’ ou de leurs ‘’partage’’. Voir mon commentaire à l’origine des vôtre qui vous parle avec réalisme de notre vie sociétale et qui démontre l’irréalisme de votre imaginaire société de l’Etat providence, des droits acquis et des entreprises payeuses.
Unci TOÏ-YEN
@ Saul
RépondreSupprimerVous prenez l’exemple de l’Islande pour argumenter vote anti Europe, anti euro et la perte de souveraineté.
Si on peut comprendre vos arguments il est à craindre qu’en sortir ne changeras pas grand chose vu notre situation présente en France qui n’a jamais été celle de l’Islande ou de l’Angleterre.
L’Islande est un bon exemple pour comprendre la réalité de l’économie dans la vie sociétale d’une nation.
Notre vie sociétale qui est marqué par les trois facteurs suivant :
1° nos actifs (producteurs) solidaires des inactifs qui, ensembles, consomment leurs productions, moins les exportations, plus les importations, c'est-à-dire nos consommations nationales.
2°la volonté démocratique d’utiliser une partie de nos consommations nationales en usages mutuels et une autre en usages collectifs.
3°La volonté de mettre en place une solidarité où les familles favorisées, par leurs situations et leurs environnements, ont un devoir envers les familles handicapées dans leurs capacités et leurs situations.
Cette réalité permet de mettre en évidence le modèle économique du futur qui remplacera prochainement l’économie inique de l’Etat providence, des droits acquis et des entreprises payeuses.
L’économie du futur se caractérise par le besoin de comprendre l’usage des valeurs et de la monnaie qui les matérialise suivant qu’il s’agit de ‘’circulation’’ ou de ‘’partage’’ tel qu’évoqué ci avant dans d’autres commentaires. Après cela savoir que l’économie se dissocie en trois parties distinctes et indépendantes, nécessitant à chaque fois de préciser dans laquelle on se trouve pour éviter des amalgames.
• 1°L’économie ‘’active’’ qui se charge des productions ‘’des choses agréables et utiles à la vie’’ pour tous puis leurs partages entre tous pour cesser d’être une production en devenant consommations.
• 2°L’économie ‘’Patrimoniale’’ qui concernent toutes les productions de l’économie active qui après l’acquisition par un consommateur, reste un certain temps utile et agréable à la vie.
Ces choses étant immobilières ou mobilières y compris l’immobilier ou mobilier divisés en parts (parts sociales), mais encore les dettes et les créances qui s’annulent quand il s’agit de valeur hors de l’épargne. Ce patrimoine pouvant être autant privé que collectif.
• 3° L’épargne interface entre l’économie ‘’active’’ et l’économie ‘’patrimoniale’’ c’est à dire le porte monnaie des citoyens (derrière toute société se trouvent des citoyens) utile à faire circuler de mains en mains : les productions dans l’économie ‘’active’’ et les patrimoines dans l’économie ‘’patrimoniale’’, avec de la monnaie qui change de mains.
A suivre.
Il devient alors facile de comprendre que les valeurs boursières (des part sociales) dans l’économie ‘’patrimoniale’’ peuvent monter et descendre (buller) comme bon leurs semblent (statique) et quand il y a changement de main (dynamique) : c’est un déplacement dans l’épargne entre le portemonnaie de l’épargnant vendeur et le portemonnaie de l’acheteur. Il n’y a donc aucune incidence dans ‘’l’épargne’’ (la masse de valeur monnaie reste identique) si ce n’est qu’un changement de main entre boursicoteurs. Il n’y a pas ici cause de Krach d’origine financière.
RépondreSupprimerIl devient aussi facile à comprendre que, dans l’économie ‘’active’’, à chaque changement de main d’une production en cours d’élaboration (fonction circulation de la monnaie) : il y a, dans l’épargne, un changement de main de la valeur monétaire sans que sa masse ne change. Il en est de même si nous ne considérons pas la circulation dans la production mais quand la production devient, chez le consommateur, une consommation. Nous avons une circulation de la monnaie (changement de main) dans l’interface ‘’Epargne’’ sans changement de masse monétaire.
Une des particularités dans l’Interface ‘’Epargne’’ est de faire des prêts et des dettes. Un épargnant, un Etat, prête à l’autre ; L’un est créancier avec une dette envers l’autre et sa dette est inscrite dans l’ économie ‘’patrimoniale’’ en même temps que le préteur détient une créance dans cette économie ‘’Patrimoniale’’ mais : qui, au fur et à mesure, des échanges (remboursement) de monnaie de l’emprunteur vers le preneur dans ‘’l’épargne’’ va en finalité faire disparaitre la créance et la dette dans l’économie ‘’patrimoniale’’. Il n’y a pas là une cause de krach.
Néanmoins il peut y avoir des incivilités pour ceux qui ne remboursent pas la dette contracté pour acquérir plus cher une action: nous avons, dans ce cas, un statuquo et toujours une masse monétaire constante dans l’épargne et pas de krach.
Pourtant nous avons bien des crises ?
C’est exact. Mais observer bien : Si nous prenons la crise des ‘’subprimes’’ ou la crise Grecque : Il y a une seule constante : c’est qu’individuellement dans l’une ou nationalement dans l’autre inlassablement l’une et l’autre, années après années, sans interruptions, ont emprunté pour leur permettre, grâce à l’emprunt, de consommer plus que ne leurs permettaient leurs revenus respectifs. Le jour ou le préteur dit stop : non seulement ils ne peuvent plus consommer plus que leurs revenus respectifs, mais en plus et cela est l’essentiel à cogiter : cela supprime du travail à ceux qui produisaient le surplus de leurs consommations et l’effet induit est le chômage.
Les crises ont des causes et ont des effets.
Quand, faute d’emprunt, la source de revenu se réduit: l’effet induit c’est du chômage.
En Grèce c’est le refus de nouveau prêt qui ne permet plus de financer le déficit de commercial qu’il permettait.
En Islande c’est la suppression des recettes dues aux ‘’services’’ proposé aux finances mondiales qui ne permettent plus de financer le déficit qui était permis existant que permettaient ces recettes.
En France c’est la psychose d’être impacté parla crise des subprimes qui à bloqué la circulation de la monnaie dans l’épargne.
Unci TOÏ-YEN