Onze
années après leur large défaite au référendum sur le traité constitutionnel
européen, la plupart de nos médias ne semblent avoir absolument rien
appris. La couverture du Brexit est aussi outrancière, biaisée, à courte vue et
sentencieuse. En se débattant de la sorte dans les sables mouvants politiques, cela
annonce sans doute la fin prochaine du monstre institutionnel qu’est l’UE.
Analyse à
courte vue, insultes et totalitarisme
Ensuite, le
dumping fiscal du Royaume Uni, qui
a annoncé le passage de l’IS à 17%, devrait motiver toutes les
multinationales pour rester, d’autant plus qu’elles seront à la manœuvre pour
limiter le plus possible les conséquences de la sortie de l’UE pour leurs
montages logistiques, financiers et fiscaux. Bien sûr, on ne peut pas exclure
quelques remous, mais
la conjoncture comporte quelques puissants vents porteurs, entre des taux au
plus bas, des prix des matières premières plus bas également et une pression
austéritaire bien moins forte. Et avec la baisse de la livre, Londres aura
un bon dopant supplémentaire pour ses exportations, l’effet légèrement
inflationniste sur les importations ne posant guère de problèmes dans le
contexte actuel. Bref, on peut penser que la croissance tiendra outre-Manche.
Certaines
questions des médias font doucement rire. Les interrogations sur la difficulté
à venir, étudier ou même vivre en Grande-Bretagne sont ridicules. D’abord,
Londres ne faisait pas partie de Schengen et cela n’avait pas freiné la
circulation des personnes, malgré des procédures plus lourdes. Et les
visas, si jamais Londres en exigeait pour les citoyens des pays de l’UE, ne
sont pas un frein rédibitoire. Même Erasmus ne sera pas forcément touché
puisque le dispositif européen n’est pas restreint à l’UE, et couvre la
Turquie… Enfin, il est aussi possible pour les citoyens des pays européens de
s’installer en dehors de l’UE, même si cela nécessite des autorisations. On
peut penser que dans bien des domaines, les changements seront à peine notables
une fois que Londres aura quitté l’UE.
Malheureusement,
la façon de couvrir le Brexit est extraordinairement biaisée. Si
le Figaro donne la parole à
Jean-Louis Bourlanges, qui dénonce fantasmes et populisme, Jean-Pierre
Chevènement et Natacha Polony offrent une couverture équilibrée, comme en
1992. L’Immonde prétend organiser un
débat sur le sujet tout en publiant une seule tribune souverainiste (à
nouveau Jean-Pierre Chevènement) contre une dizaine de pensums eurobéats
(de BHL
à Barnier,
en passant par Fillon
ou Pervenche
Beres). Une forme d’autisme démocratique qui démontre que les commandants
du Titanic européen semblent croire qu’ils sont dans un bateau plus solide que
l’iceberg des peuples européens, qu’ils
pourraient dompter comme ils avaient réussi à faire après 2005. Mais la
donne a changé depuis le 23 juin.
Chose
amusante, ce traitement digne d’un régime totalitaire ne marche pas, comme
on le voit dans les pays européens depuis des années. Mais une partie des
élites persiste à refuser d’écouter, continuant
à afficher un mépris bien peu démocratique à l’égard de ces peuples qui
refusent d’aller plus loin dans cette direction qui échoue depuis si
longtemps. Le
point de rupture démocratique approche.
C'est assez fou en effet.Et cela va durer comme la GB ne va pas se presser d'envoyer sa lettre ( je doute meme qu'elle le fasse un jour, il n'y aura pas de brexit, juste une fin de l'UE).
RépondreSupprimerSi ils reprennent du poil de la bete avant les elections de May 2017, cela va donner des debats cocquasses ;-)
Incroyable en effet. Les perdants lancent une pétition pour un nouveau référendum, et les médias transforment cela en "les anglais ont des remords et changent d'avis" !
RépondreSupprimerLes chiffres de cette pétition ont été bidonnés.
SupprimerBaisse de 8% de la livre, pas de quoi booster les exportations et ca pouvait être obtenu sans Brexit puisque la GB n'est pas dans l'Euro. Baisse de l'IS, pas besoin de Brexit, l'Irlande dans l'Euro l'a fait depuis longtemps.
RépondreSupprimerPour le moment, B Johnson a l'air aussi embarrassé avec son Brexit chéri qu'une poule devant un cure dent et pas trop pressé de le mettre en œuvre alors qu'il le présentait comme une urgence, une belle tartufferie...
La réaction des médias est normale et correspond à celle de leurs propriétaires. Peter Sutherland, PDG de la Goldman Sachs a dit carrément qu'il fallait, d'une façon ou d'une autre, anéantir ce référendum...
RépondreSupprimerReprenons cette citation attribuée à Brecht : "Puisque le peuple vote contre le Gouvernement, il faut dissoudre le peuple." C'est ce que font nos bien aimés dirigeants politiques.
RépondreSupprimerLe pire, dans le fond, est que nous sommes nombreux à avoir l'intuition, voire la conviction que cela marcherait mieux sans les gouvernants actuels. Ils ne font qu'aggraver la situation par des décisions irresponsables pour leurs concitoyens, incohérentes par absence de vision et même dangereuses pour notre sécurité (cf. guerres au Moyen-Orient).
DemOs
Référendum au Royaume-Uni : « D'une façon ou d'une autre, ce résultat doit être annulé. » (Peter Sutherland, patron de la banque Goldman Sachs)
RépondreSupprimerLundi 27 juin 2016 :
Le président de Goldman Sachs annonce qu’il va falloir annuler le Brexit « d’une façon ou d’une autre »
L’ancien Commissaire européen à la concurrence, ancien directeur général de l’OMC, actuel président de l’European Policy Center et actuel président de Goldman Sachs International a diffusé le tweet suivant suite à la victoire du Brexit au référendum britannique :
« La jeune génération au Royaume-Uni a été sacrifiée, tout ça à cause d’une déformation des faits et des conséquences. D’une façon ou d’une autre, ce résultat doit être annulé. »
https://twitter.com/PDSutherlandUN/status/746687362902728704
J'avais regardé le journal télévisé du soir de France 2 d'il y a quelques jours ou les journalistes faisaient mention des mensonges des partisans du Brexit à propos d'une directive sur les bananes. Or cette directive existe bel et bien. Alors, qui sont les menteurs ?.. Leurs procédés me dégoûtent, ils traitent leurs adversaires de menteurs alors qu'eux le sont. Un autre exemple ? L'UE verse de l'argent à la France pour l'agriculture, or c'est la France qui verse une somme à l'UE qui elle, la redonne et la redistribue... Marre des ces bobards !
RépondreSupprimer"L’effarante réaction des médias au Brexit"
RépondreSupprimerIl n'y a pas de Brexit pour le moment, la lettre anglaise concernant l'article 50 n'est toujours pas partie, et le processus peut durer plusieurs années avant d'aboutir au Brexit. Années pendant lesquelles l'UE peut accorder des concessions concernant la politique migratoire, principale demande des pro-brexit, en échange desquelles B Johnson pourrait accepter de rester dans l'UE.
"Like all good dramas, the Brexit story has been shocking, dramatic and upsetting. But its ending is not yet written."
http://www.ft.com/cms/s/0/8f2aca88-3c51-11e6-9f2c-36b487ebd80a.html?siteedition=uk
Le brexit serait annulé par toutes sortes d'astuce parce que ceux qui gouverne de droit -rationnel- sont les marchés.
RépondreSupprimerLa démocratie en danger plus que jamais et déjà mal en point.
sur le nombre de conneries, d'absurdités diverses sur l'âge âgé des votants négatifs, le peuple con, etc... on remarque que l'essentiel des commentaires s'est concentré sur la vie des marchés, les aspects techniques de l'article 50 et l'avenir de la city et des autres places financières du monde....
RépondreSupprimerc'est clair ...
les états dans l'UE sont devenus des sous traitants des groupes privés seigneuriaux financiers et non, les états gèrent la rotation et les aléas d'emploi subis par les citoyens/actifs/consommateurs/épargnants/retraités, s'occupent de régler les dégâts provoqués par des taux de change des monnaies, de la concurrence fiscale et sociale dans la zone et veillent à bien payer leurs dimes en charges sociales pour le mirage de création d'emplois puisqu'il est impossible de tracer l'utilisation des sommes versées (j'ai le rapport du CICE 2015 où c'est écrit en toutes lettres )... (en france ça s'appelle CICE et pacte..
la réalité est que l'homme coûte dès la naissance pour ces dégénérés, psychopathes et sociopathes qu'on ne voit jamais et qui ne sont élus que par leurs actionnaires...
ceux que nous voyons, ce sont les secrétaires téléphonistes locaux appelés ministres ou "gouvernement" obéissent et vont "au pied" vers ceux qui vont leur proposer ensuite un plan de carrière ou des conférences à 100 000 balles pièce en retour de services amplement rendus...
ils sont largués, n'en n'ont rien à foutre de nos gueules, seulement préoccupés par les échéances de 2017 et 2022, le reste ne consistant qu'à faire des déclarations à la con, du truandage de statistiques, à mentir pour attirer le chaland et le gogo sur deux journées d'élection, et là, il n'y a ni jeunes ni vieux cons. que des gens bien jsqu'au 2 eme soir...
c'est tout ce que j'avais à dire aujourd'hui sur tout ce bordel.....
Stan
ah si,!! le problème voyez vous, c'est qu'il y a grosso modo, une moitié des citoyens qui aime être traitée ainsi et l'autre moitié qui n'aime pas forcément, pour des raisons diverses qui les dispersent...
RépondreSupprimeralors les voyous en col blanc vont profiter encore longtemps de cet écart entre le mur et l'affiche
Stan
@ Stan
SupprimerJe partage ta colère et je me pose toujours la question de savoir pourquoi les hommes sont si résignés, si soumis face aux abus du pouvoir.
Dans le cas du Brexit, nous allons à nouveau voir les citoyens se faire déposséder de leurs votes. Il y a fort à parier que les jeux ne sont pas faits, comme le démontre la déclaration inacceptable du Président de Goldman Sachs : " La jeune génération au Royaume-Uni a été sacrifiée, tout ça à cause d’une déformation des faits et des conséquences. D’une façon ou d’une autre, ce résultat doit être annulé."
Je suis prêt à prendre les paris sur le résultat des discussions qui se déroulent en ce moment dans le secret des cabinets ministériels et autres bureaux de PDG des multinationales. La preuve : Hollande vient de changer de posture en s'alignant sur celle de Merkel.
DemOs
DEMOS
Supprimerles réponses à la résignation ou la soumission sont multiples, entre ignorance, désinformation, croyance, et situation économique individuelle
combien de gens s'intéressent à des sujets d'actualité vraiment importants et notent le danger de totalitarisme auquel nous sommes confrontés progressivement ?
il y a des niveaux à tout ça, et ça commence par des riens..
Prenons un cas simple : un élu condamné qui se présente à une élection :
non seulement ça ne choque pas grand monde, mais en plus il arrive de le voir élu.. j'ai des noms
je me souviens de manifs où les participants citent "l'avenir de nos gosses" ; tu parles, l'avenir de nos gosses il est là devant nous, entre lois travail, concurrence sociale et fiscale, technos non élus qui décident que les peuples sont de trop, ....énervements généralisés et désignation d'ennemis....
il est là l'avenir de nos gosses,
toutes ces ordures ont mis la main sur les organes de propagande pour nous inciter à nous dresser les uns contre les autres : vieux/jeunes - actifs/inactifs fonction publique/privé - religion - modérés / extrêmes - syndicats/créateurs de richesse etc...
pendant que nous nous fritons allègrement entre nous, sous l'effet répété de la propagande médiatique, tous ces gus nous regardent et trouvent petit à petit le droit de nous mépriser
personnellement, bien que j'en sois fortement désolé et surtout parce que je suis un atome dans la masse, je me demande quand même si nous ne sommes pas responsables des pervers et autres psychotiques que nous mettons en place pour nous manipuler ...jusqu'où ?
Stan
DEMOS
Supprimerprécis d'économie libérale financière expliquée ..........aux autres
1° les gens que nous mettons au pouvoir ou aux commandes, et leur entourage du pays ne savent pas ce qu'est l'échec, quel que soit le résultat de leur action, ils sont récompensés ou punis par une récompense...
ça n'aide pas à comprendre le destin du commun des mortels
2° nombre d'entre eux sont tenus par la gueule, ils gèrent des dossiers publics et sont recrutés sur des sinécures par des grands groupes qui les paient chers..
ça n'aide pas à comprendre le destin du commun des mortels
3° nombre d'experts, journalistes en cours et autres intellos de natures diverses des médias principaux ont fait des carrières longues ; c'est pour ça qu'ils parlent si bien de l'intérêt de la flexibilisation de l'économie.....pour les autres
4° que penser de ces types que nous désignons par référendum aux postes les plus élevés et qui n'ont de cesse que de suivre les directives de technos non élus d'une unité supra nationale qui représente les groupes internationaux privés
¨5° le monde compte presque 200 états indépendants et souverains (comme pour le droit de vote, il y a eu des morts pour nombre d'indépendances)
Nous sommes 19 à être liés par une monnaie commune unique et des traités taillés soi disant dans le marbre depuis à peine 20 ans qu'on nous fait passés pour être ceux des dix commandements modernes d'un dieu "veau d'or"....datant de la naissance du monde
et il y a des intelligences supérieures , qui nous expliquent et croient peut être vraiment, que quitter ces traités serait une fin du monde...
et il y a effectivement un paquet de citoyens qui croient que nous sommes perdus sans cette officine qu'est l'UE.
comme si le fric avait une patrie.....ce n'est pas l'économie qu'il faut apprendre pour comprendre, c'est l'histoire du monde terrestre.. nous n'apprenons rien
Stan
Ne vous en faites pas, pas de panique, sur le fond rien ne va changer. Danny Cohn Bendit peut continuer à dormir sur ses 2 oreilles.
RépondreSupprimer"Le brexit serait annulé par toutes sortes d'astuce"
RépondreSupprimerLe Brexit est inexistant pour l'instant donc personne ne peut annuler quelque chose qui n'existe pas. Le Brexit existera quand le gouvernement anglais l'aura ratifié et on est très loin, il faudra des années, il peut très bien ne jamais le ratifier pour toutes sortes de raisons.
Le plus effrayant, ce sont les interviews de citoyens britannique par la presse française.
RépondreSupprimer80% des interviewés sont des "remain", 20% des "leave" qui regrettent leur vote.
Hallucinant.
Les citoyens ayant votés "remain" de manière réfléchie, et heureux de la victoire, n’existent pas.
D'ailleurs 100% des interviews sont à Londres, ville monde, aujourd'hui déconnecté de l’Angleterre.
Les Habitants de Liverpool, Manchester,Leeds, Sheffield...(je pourrais citer la quasi totalité des villes anglaise) n'existent pas.
Je sais qu'il n'y a pas pire aveugle que les personnes qui refusent de voir, mais quand même il y a des limites !
Un tel déni de réalité me fait froid dans le dos.
Jusqu’où peuvent ils aller pour sauver leur utopie européenne ?
Laurent MICHEL
"Un tel déni de réalité me fait froid dans le dos."
RépondreSupprimerLe déni de réalité, c'est de considérer qu'il n'y pas 50% de Bremain et que B Johnson accepterait de voir l'Ecosse et l'Irlande du Nord faire sécession, l'UE ne veut non plus aucune sécession de ces parties de la GB, car trop bordélique à gérer.
Merkel fera tout pour garder la GB dans l'UE quitte à faire des concessions à Johnson.
Hollande a dit qu'il fallait vite régler le Brexit, Merkel lui a répondu qu'il n'y avait pas le feu au lac, le message est clair. Merkel concédera tout ce qu'il faudra à Johnson pour enfoncer Hollande la tête sous l'eau, c'est de la politique et du business as usual.
Oui
SupprimerLa tranche d'âge qui a plébiscité le Brexit le plus massivement est aussi la plus âgée, comme par hasard celle qui se souvient de la GB avant son adhésion à l'UE et qui peut comparer en connaissance de cause.
RépondreSupprimerEh bien, devinez quoi ? On lui reproche d'avoir égoïstement sacrifié la jeunesse qui devra vivre plus longtemps avec les conséquences du Brexit !
http://www.slate.fr/story/120065/brexit-jeunes-futur
Ils n'ont vraiment peur de rien.
Ivan
@Ivan
SupprimerLe cirque médiatique actuel, absolument effarant, est un signal indiquant que les médias peuvent être point de déstabilisation ou de contestation d'une démocratie ou de la démocratie. C'est un pouvoir, à ce titre il n'est pas exempt d'abus.
Malheureusement contre ce pouvoir il n'y a pas de garantie dans notre constitution comme pour les autres pouvoirs.
Par ailleurs, les médias institutionnels, par nature à mon sens, sont toujours un relais du pouvoir en place. De nos jours l'ambiguïté vient de ce qu'ils donnent le change quant à une indépendance supposés en "asticotant" les politiques qui, eux, n'ont plus le pouvoir. L'ORTF, c'est la norme !
Jamais vous n'aurez dans ces médias dominant une critique constante et argumentée de l'idéologie libérale et de l'UE. Nous savons désormais que les médias, mais ce depuis déjà quelque temps, défendent un camp, dès lors une politique et les intérêts qui vont avec.
La démocratie a donc un problème de taille avec ceux qui maîtrisent les canaux du débat public et en font ce qu'ils veulent. Il y a d'un côté les milieux économiques et financiers, dont certains détiennent ces "entreprises de presse", de l'autre le peuple avec d'autres intérêts.
Notre démocratie est malade de ses médias institutionnels - parfois même non institutionnels. Il ne faut pas même y voire de grand complot, mais juste le principe de dégradation des systèmes politique sur le modèle de "l'anacyclosis" platonicienne.
Au quotidien, chacun va dans le sens qui le porte un peu plus loin, l'idéologie n'est qu'un véhicule bien souvent pour des ambitions individuelles - ce également au sein des rédactions ; ceux qui sont recrutée savent qu'ils devront porter à minima les codes de l'idéologie en place - du lieu de "pouvoir" qu'ils visent - pour l'être, et ceux qui recrutent sente vite qui va reconduire le discours qui leur permet d'être là où ils sont.
Le marché et son idéologie s'accommodent mal de la démocratie, c'est un point désormais acquis pour moi. Il y a quelque chose du nous contre eux dans cette affaire, peut-être un nouveau rapport de classe.
http://classiques.uqac.ca/classiques/weil_simone/enracinement/enracinement.html
(Livre I, chapitre intitulé "La vérité" page 33 du document en pdf)
"celle qui se souvient de la GB avant son adhésion à l'UE et qui peut comparer en connaissance de cause."
RépondreSupprimerLors de l'adhésion à l'UE, la GB était au 36 ème sous sol, à tel point qu'elle a dû faire appel au FMI. Les années 70 correspondent à une quasi faillite de la GB, donc rien d'un paradis terrestre.
Ni Thatcher ni l'UE n'ont arrangé quoi que ce soit.
RépondreSupprimerLa GB a gagné un sursis grâce au pétrole de la mer du Nord, mais cette parenthèse se referme maintenant. Bientôt elle s'apercevra qu'elle n'a pas avancé depuis l'époque d'avant Thatcher, l'UE et le pétrole de la mer du Nord.
Contrairement à la Norvège.
Ivan
RépondreSupprimer@ Lowcarber
La suite du référendum est assez folle. J’espère que la démocratie britannique tiendra.
@ Anonyme 10h39 (probablement l’eurotroll)
La science économique que vous affichez n’est pas très convaincante
@ Démos
Merci
@ L’indépendant
En effet
@ Stan
C’est la direction que nous prenons en effet, avec les tribunaux d’arbitrage par exemple. Merci pour les autres commentaires
@ Laurent Michel
C’est juste
@ Anonyme 9h51
Merci pour la citation
@ Ivan
Bien vu.