Même les
néophytes notent que l’état
des pelouses de l’Euro est très problématique, les joueurs glissant un peu trop
facilement. Depuis quelques jours, on
sait que cela vient des changements de gazon de dernières minutes demandés par
l’UEFA pour mettre du gazon slovaque bon marché et inadapté.
Bureaucrates,
économies et globalisation
Quelle
formidable image de cette construction européenne ! Voici
des bureaucrates visiblement bien peu connaisseurs qui prennent une mauvaise
décision, refusant d’écouter les personnes qui s’y connaissent mieux qu’eux.
Et, naturellement, ils
ont recourt à un montage complexe traversant plusieurs frontières du continent
pour aller s’approvisionner auprès d’un pays à bas coûts, dans des conditions
de transport mal adaptées. Elle tente alors de camoufler
son échec par un maquillage outrancier, qui ne peut pas cacher l’échec
complet et sur grand écran, quand on voit les joueurs glisser d’une manière peu
commune sur la pelouse échaffaudée par les bureaucrates européens.
Et si ces
pelouses bricolées et glissantes étaient une belle image de cette Union
Européenne : un
produit bureaucratique, mal conçu et coupé de la réalité, qui loin de
soutenir les pays européens, les fait tomber alors qu’ils ne le devraient pas ?
L’UE, c’est la pelouse UEFA de Marseille et Lille.
Vous êtes vraiment malade de la tête en attribuant tout problème à l'union européenne. Ce genre de problème arrive partout, y compris dans les administrations françaises ou entreprises françaises. Faut vraiment aller vous faire soigner... Comme si l'incompétence que l'on retrouve partout était de la responsabilité de l'UE.
RépondreSupprimer@Anonyme22 juin 2016 à 08:29
SupprimerIl est pourtant évident que toutes nos difficultés sont le produit direct d'un mode de fonctionnement rappelant étrangement l'Union Soviétique. L'UE c'est à la fois la masse bureaucratique, la réglementation incompréhensible et le désordre permanent. Pour moi, il n'y a pas un problème administratif ou règlementaire au fin fond d'un village agricole de la creuse qui ne soit lié à l'UE. Tenez, la PAC par exemple, cette restriction de liberté incroyable pour nos paysans ; et ce sans parler des règlements sur les produits de traitement agricole. Mais pire encore, cette UE, c'est d'abord un certain état d'esprit, une idée, celle que toute vérité sort du Marché. Cette UE dispense la tristesse, et est à l'origine du sentiment de la perte de nos singularités, le tout dans dans un abominable mouvement d'uniformisation. L'UE c'est le malheur, ces grandes catastrophes mythologiques, lesquelles recouvrent toujours quelques vérités indépassables et fonctionnant comme un avertissement de grands dangers. Le problème c'est que l'UE n'est pas un mythe, elle est bien là, comme l'austérité, la misère et notre perte d'autonomie. L'UE est vraiment à l'origine de toutes les tristesses de tous les européens à mon avis. L'idée même de l'UE est foncièrement nocive et acte un amoindrissement de la vigueur de la démocratie. Il faut vraiment en sortir très vite pour se donner la possibilité d'un retour à la joie et au bonheur. L'UE est une erreur historique, une des grandes catastrophes européennes de ces 20 derniers siècles.
Numéro 622 juin 2016 à 09:32
RépondreSupprimerProcès à charge totalement incomplet qui montre que vous ne comprenez rien au fonctionnement de l'UE et de toute façon, les problèmes de pelouse de stades n'ont rien à voir avec l'UE. Bientôt Herblay accusera l'UE de provoquer Ebola, le réchauffement climatique, la rougeole, les inondations...
On peut critiquer certains aspects de l'UE, mais pas tout amalgamer.
@Anonyme22 juin 2016 à 11:37
SupprimerLa vraie question est de savoir s'il faut répondre sérieusement à des personnes qui utilisent des noms d'oiseaux ou font preuve d'un comportement discourtois. Lisez mon message précédent avec cela à l'esprit, comme une interrogation générale sur les règles devant être respectées dans un espace de débat.
Cordialement.
Numéro 622 juin 2016 à 12:08
RépondreSupprimerDans un espace de débat on ne traite pas l'autre en permanence de troll, de stipendié par l'UE et d'Eurobéat, de néolibéral... donc ne vous étonnez pas des réactions.
Mercredi 22 juin 2016, vers 19 heures 26 :
RépondreSupprimerA la veille du référendum, deux sondages donnent le Brexit en tête.
Alors que les Britanniques sont appelés à voter pour ou contre la sortie de l'Union européenne, deux sondages donnent le camp du non à l'UE en tête.
Deux nouveaux sondages donnaient mercredi le camp d'une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne légèrement en tête des intentions de vote, à la veille du référendum historique sur cette question.
Selon Opinium, qui a interrogé 3.011 Britanniques sur internet, 45% étaient pour une sortie, 44% pour un maintien dans l'UE, mais 9% étaient toujours indécis et 2% préféraient ne pas se prononcer.
Selon TNS, qui a sondé 2.320 personnes, 43% étaient pour une sortie de l'UE, 41% étaient pour rester, et 16% étaient encore indécis.
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/a-la-veille-du-referendum-deux-sondages-donnent-le-brexit-en-tete_1805175.html
Laurent, globalement j'apprécie votre blog et la qualité de vos argumentaires. Au point d'adhérer à votre cause.
RépondreSupprimerMais là, vous poussez le bouchon un peu trop loin. Ca tourne un peu a l'obsession. En prenant du recul on se demande si vous ne flirtez pas avec les mecanismes mis en place sous l'inquisition : quand les villageois etaient convaincus que la vieille femme vivant seule dans la foret etait une sorciere, le moindre evenement sans aucun rapport comme un chat noir qui passe devant sa fenetre apparaissait comme une preuve de plus.
Les pelouses sont degueulasses, les inspecteurs s'en rendent compte, la confiance avec les reponsables locaux est rompue, un irlandais essaie de rattraper le coup, et il se plante. Pas la peine de surtheoriser tout ça ...
L'irlandais qui a voulu rattraper le coup ne s'est pas planté, il a marqué le but de la victoire.
SupprimerZut on va tomber sur les irlandais...mais la pelouse ne sera pas la même.
Ivan
J'ai trouvé ! L'irlandais qui a exigé le déroulage de la pelouse morte était de mèche avec son équipe nationale qui s'entraînait secrètement sur un champs de patates.
SupprimerIvan
@ Eurotroll anonyme
RépondreSupprimerMerci de montrer tous les jours la nullité de votre argumentation, entre invectives (et après, vous vous plaignez quand certains répliquent), caricatures et généralités
Pour information, je parle d’image deux fois sans jamais dire que cela est la responsabilité de l’UE
@ Numéro 6
Merci
@ BA
Merci pour l’information
@ Anonyme 20h27
Encore une fois, je ne dis pas que c’est la responsabilité de l’UE. Je parle deux fois d’ « image »
"Pour information, je parle d’image deux fois sans jamais dire que cela est la responsabilité de l’UE"
RépondreSupprimerBen voyons, mais vous faites toujours pareil, et en plus vous me traitez d'eurotroll, pauvre hypocrite, votre tactique minable est cousue de fil blanc.
Même d'autres commentateurs commencent à s'apercevoir que vous n'êtes qu'un simple d'esprit qui ne comprend rien à rien.
Vos images sont des gribouillages insidieux de débile mental se prenant pour un démagogue.
Vous êtes à l'image de ce crétin de NDA, votre gourou maboule.
Encore un cretin d'eurobeat en panique ?
Supprimervisiblement certains ne savent pas lire ou ne veulent pas comprendre le parallele.
#Brexit
#Frexit
Plus que des images alors : http://www.rtl.fr/actu/politique/vente-d-avions-a-l-iran-l-europe-c-est-l-impuissance-institutionnalisee-deplore-eric-zemmour-7783808729
RépondreSupprimer""C’est une grosse affaire. Une affaire de gros contrats, une affaire de gros sous et de gros avions", lance d'entrée Éric Zemmour. "Des avions oui, mais des Airbus ou des Boeing ? Telle est la question existentielle que se posent les Iraniens depuis que la levée des sanctions internationales (...) leur permet de revenir sur le marché mondial", interroge le journaliste. Il note que cette fois "les banques européennes se planquent et regardent leurs chaussures". Sans doute ont-elle en mémoire l’amende faramineuse que la justice américaine a infligée à la BNP pour avoir financé des accords commerciaux avec l’Iran. Ce qui fait dire à Éric Zemmour : "Banquier échaudé craint l’eau glacée".
Que fait l'Europe ? "Rien, car c'est l'impuissance institutionnalisée". Car "depuis l’après-guerre, les États-Unis ont toujours favorisé l’émergence et le développement de l’Union Européenne. Mais tant que celle-ci restait à sa place, c’est-à-dire la seconde", décrypte le journaliste."