Bien sûr, le
sujet du démontage de la tour de Babel monétaire européenne semble ne plus
être à l’ordre du jour des débats publics. Pourtant, Joseph Stiglitz a carrément
consacré un livre pour disséquer ce monstre de Frankenstein. Et le FMI vient de souligne à
quel point une monnaie taille unique ne convient pas à des pays aussi
différents.
Enfin, Tokyo et Londres montrent l’intérêt d’avoir sa monnaie.
A chaque
pays, sa monnaie
D’ailleurs,
le FMI a récemment publié une étude sur la valeur que devrait avoir l’euro, en
concluant que cela varie, fortement, par pays. L’euro est sous-évalué de
15% pour l’Allemagne, et surévalué de 6% pour notre pays. Il faudrait
rééquilibrer la parité France-Allemagne de la bagatelle de 20% ! Rien d’illogique au
regard des balances commerciales, qui suggèrent cette conclusion. Mais, ce
faisant, on peut voir dans la cherté de l’euro pour notre pays une des raisons
qui pénalise notre économie. Une
seule parité monétaire ne convient pas à des pays aussi différents que ceux qui
forment la zone euro. En clair, la France devrait dévaluer, de même que la
Grèce, l’Espagne ou l’Italie, une façon de faire monétaire qui, après tout,
fonctionnait bien mieux que cette
monnaie taille unique aujourd’hui.
En outre, qui
dit monnaie nationale, dit possibilité de mener une politique monétaire
indépendante, dans le sens des intérêts du pays. La Grande-Bretagne en a donné
un exemple éclatant il y a deux mois, quand
la Banque d’Angleterre n’a pas hésité à venir au secours de l’économie
britannique, comme elle le fait depuis des années, apportant un petit stimulant
monétaire pour effacer les conséquences des craintes des marchés du fait du
Brexit. Malheureusement, ce que Londres peut faire, Athènes ne peut plus le
faire, après avoir lié son sort monétaire à celui de la zone euro. En fait,
avoir sa propre monnaie permet de réagir en temps réel, quand
on voit bien que cela est totalement impossible à l’échelle d’une zone euro
paralysée par ses différences et ses intérêts contradictoires, qui sont là pour
durer.
Le
Japon donne également un bon exemple de ce qu’un pays peut faire monétairement,
notamment depuis l’élection de Shinzo Abe, qui démontre l’intérêt de garder le
contrôle sur la banque centrale. Même si son bilan est souvent contesté,
par des jugements à courte vue (sur
une statistique trimestrielle, ou en oubliant qu’il faut mettre en rapport
l’évolution du PIB du pays à celle de sa population), en fait, même
The Economist reconnaît que son bilan
est bon. Et le Japon relativise le discours austéritaire prédominant en
Europe car le pays, malgré une dette publique à 250% du PIB et un déficit à 5%
du PIB, mène plan de relance sur plan de relance car sa banque centrale rachète
à rythme accéléré la dette publique, au
point d’un détenir pas moins d’un tiers aujourd’hui, chiffre qui devrait
atteindre 55% fin 2018 !
La
monnaie unique européenne, c’est non seulement une taille unique imposée à des
pays beaucoup trop différents pour cela. Mais c’est aussi une construction
baroque qui met les pays en conflit, freinant donc les décisions et ne
permettant pas aux pays européens d’utiliser pleinement l’arme monétaire, si ce
n’est trop tardivement et de manière trop mesurée. Voilà
pourquoi il faut la démonter.
" Une seule parité monétaire ne convient pas à des pays aussi différents que ceux qui forment la zone euro."
RépondreSupprimerLes régions de France, Creuse ou Ile de France, avaient la même monnaie malgré des différences économiques majeures. Ce n'est donc pas la monnaie unique le problème, mais les dispositifs de péréquation au sein de l'Euro et le non respect par l'Allemagne du plafond réglementaire des excédents commerciaux.
"une façon de faire monétaire qui, après tout, fonctionnait bien mieux que cette monnaie taille unique aujourd’hui."
Non, ca fonctionnait très mal, des discussions sans fin entre pays et des poussées inflationnistes, révisez votre histoire de cette période. La jungle de la guerre des monnaies est aussi une forme de libéralisme nationaliste de lutte des pays les uns contre les autres qui se résume à un jeu à somme négative.
Troquer l'Euro pour d'autres monnaies éparpillées façon puzzle ne résout aucun problème, ca ne fera que surajouter des procès juridiques interminables pour savoir dans quelles monnaies seront remboursées les dettes privées et publiques.
Contrairement à ce que prétend Sapir, cette question juridique est un problème majeur loin d'être résolu, à ajouter au problème des risques de variation de change pour les entreprises exportant dans la zone Euro.
"Les régions de France, Creuse ou Ile de France, avaient la même monnaie malgré des différences économiques majeures."
RépondreSupprimerCertes, mais ceci est tres bien expliqué par Mundell dans sa théorie de la ZMO (Zne Monétaire Optimale) Ces zones doivent avoir la même fiscalité et les entités qui en font partie doivent avoir les mêmes règles en matière de travail. De plus, elles doivent être complémentaires et non concurrentes, ce qui n'est en aucun cas celui de la zone euro. De plus, l'autorité politique doit assurer la redistribution des plus riches vers les plus pauvres pour garder une certaine cohésion sociale et éviter des migrations importantes d'une partie de la zone vers une autre...
Les fédéralistes sont partisan d'aider les indépendantistes a prendre leur liberté pour se fédérer aux autres. Sachant que pour être indépendant, on recherche la "divergence" alors qu'une fédération demande une "convergence" donc une perte d'identité! Tout cela ressemble a une manipulation!
RépondreSupprimer"Rien d’illogique au regard des balances commerciales, qui suggèrent cette conclusion."
RépondreSupprimerEncore non :
" plusieurs travaux ont permis de balayer cette assertion (citons G. Gaulier, V. Vicard et S. Piton). Entre 2001 et 2008, les exportations espagnoles, grecques ou portugaises ont augmenté à un rythme identique ou supérieur à celui des autres pays de la zone Euro. Le déficit extérieur de ces pays s’explique par un excès d’importations lié à un « choc de demande » associé à la diminution des taux d’intérêts qui résultent de l’appartenance à la zone euro.
Dès lors, l’ajustement des balances courantes intra-zone euro aurait exigé non pas une variation du taux de change ou de l’ensemble des salaires, mais l’application d’une politique budgétaire expansive au Nord et restrictive au Sud."
https://ecointerview.wordpress.com/2016/03/16/cinq-foutaises-sur-leuro/
"éviter des migrations importantes d'une partie de la zone vers une autre..."
RépondreSupprimerChanger de monnaie de changera rien, les entreprises allemandes exportatrices amortiront largement une hausse du mark retrouvé, car leurs produits comportent beaucoup de composants importés fabriqués dans des pays à monnaie plus faible.
Elles pourront donc s'approvisionner pour beaucoup moins cher que maintenant, elles bloqueront voire baisseront certains salaires allemands, donc leurs coûts de production ne changeront pas et elles peuvent même se permettre de baisser leurs prix de vente dans les pays dont la monnaie est dévaluée.
De plus, certains produits allemands n'ont pas ou peu d'équivalents concurrents et ont par conséquent une faible élasticité prix.
La fin de l'Euro se soldera par les mêmes écarts entre la France et l'Allemagne, avec en plus un fort risque inflationniste en France, une fuite des investisseurs étrangers, des procédures juridiques interminables et des spéculations permanentes sur le franc très complexes à gérer, tout ca sans rien gagner sur la compétitivité de ses produits qui sont trop positionnés sur le moyen bas de gamme.
Bien mieux est peut-être un peu optimiste, disons moins mal. La France retardait toujours trop le moment où elle acceptait de dévaluer, tandis que l'Allemagne retardait, elle, le moment où elle réévaluait.
RépondreSupprimerCe qu'on sait moins c'est que quand par hasard il fallait que l'Allemagne dévalue elle ne traînait pas et réglait le problème tout de suite. L'Allemagne n'a jamais fait de sa devise une question d'honneur ou d'amour propre.
Le déséquilibre des taux de change était intermittent et provisoire alors que maintenant il est permanent.
Ivan
" quand la Banque d’Angleterre n’a pas hésité à venir au secours de l’économie britannique, comme elle le fait depuis des années, apportant un petit stimulant monétaire pour effacer les conséquences des craintes des marchés du fait du Brexit."
RépondreSupprimerVous plaisantez j'espère, tous les indicateurs sont au rouge pour la GB et les patrons GB flippent :
http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/hard-brexit-les-patrons-britanniques-tres-inquiets-606024.html
"La France retardait toujours trop le moment où elle acceptait de dévaluer"
RépondreSupprimerLa France a depuis 50 ans joué en peinant sur les taux de change avec l'Allemagne, ca n'a rien résolu de ses problèmes de compétitivité structurels liés à bien d'autres paramètres comme : syndicats, éducation, management archaïque des entreprises, épargne drainée vers l'immobilier au lieu de la production, fiscalité alambiquée et imprévisible, système judiciaire sous dimensionné, immobilier qui freine la mobilité géographique des propriétaires, faiblesse des investissements de modernisation de la production.
La sortie de l'Euro ne résoudra rien de ces problèmes irrésolus depuis 50 ans, bien au contraire, elle ajoutera d'autres problèmes comme la délicate question des contrôles de capitaux et du carry trading qui ne sont pas une mince affaire.
La Malaisie n'a rien fait de mieux avec son contrôle des capitaux que ses voisins dans la même situation et n'ayant pas pratiqué le contrôle des capitaux.
@ Anonyme
RépondreSupprimerIl est ridicule de faire un parallèle entre la zone euro et les régions Françaises. Il y a bien plus de différences dans la première qu’en France, où, dans toutes les régions, il y a le même SMIC, la même langue, la même culture, le même budget commun, les mêmes charges sociales, les mêmes filières économiques (même distributeurs). En revanche, dans la zone euro, le SMIC varie de 1 à 10, le taux de chômage varie du simple au quintuple… Les dispositifs que vous évoquez (non prévus par les partisans de la monnaie unique, qui sont responsables de cela), ne serait qu’un pansement sur une béquille, largement insuffisant pour corriger toutes ces différences. Des décennies de vie commun n’ont pas fait de la Tchécoslovaquie une zone monétaire optimale.
Comparez les taux de croissance de 79 à 92 (avant la funeste décision de faire la monnaie unique) de la zone euro avec ceux d’après 1992, et vous verrez que cela allait beaucoup mieux : croissance, emploi… Les ajustements monétaires de cette époque, c’était aussi le choix des Etats et avoir une monnaie dont la valeur est adaptée à son pays, c’est beaucoup mieux.
Et les questions juridiques ont été réglées dans bien des cas avant (ex-URSS, Tchécoslovaquie…)
@ Edgell
Les importations de ces pays ont augmenté trop vite car leur monnaie était trop chère pour leur économie, diminuant le prix des importations et les taux trop bas, favorisant une bulle de crédit. Avoir leur propore monnaie aurait permis à ces pays d’avoir une monnaie moins chère, et donc de moins importer (les importations auraient été plus chères) et de limiter la bulle de crédit.
@ Anonyme 12h30
La situation était meilleure avant 1992.
@ Anonyme 15h33
C’est vous qui plaisantez : la situation en Grande-Bretagne est bien mauvaise qu’anticipé au troisième trimestre.
@ Anonyme 16h49
La Malaisie a fait bien que ses voisins grâce à son contrôle des changes, comme les prix Nobel Stiglitz ou Krugman l’ont montré dans des livres…
Le taux de chômage en France est en moyenne de 8% depuis 40 ans avec des hausses fréquentes à 10%, alors arrêtez de raconter n'importe quoi en l'attribuant à l'Euro et prétendant que c'était mieux avant, c'est un problème structurel.
RépondreSupprimerNon, ce n'était pas mieux avant, il y avait beaucoup de chômage et des pics inflationnistes monumentaux plongeant les plus démunis dans la misère.
Vous racontez n'importe quoi !
Deux articles du 7 octobre 2016 sur la situation du Portugal :
RépondreSupprimerLe Portugal inquiète à nouveau la zone euro :
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/10/07/20002-20161007ARTFIG00318-le-portugal-inquiete-a-nouveau-la-zone-euro.php
La Banque du Portugal abaisse sa prévision de croissance pour 2016 à 1,1% :
http://www.romandie.com/news/La-Banque-du-Portugal-abaisse-sa-prevision-de-croissance-pour-2016-a_ROM/742838.rom
La situation du Portugal est caractéristique des problèmes que rencontrent les pays en difficulté zone euro à sortir la tête de l’eau quand ils sont arrivés en difficulté économique, quoi qu’ils fassent et même s'ils s'efforcent de "bien faire". À noter que si le taux d’emprunt à 10 ans de l’Allemagne est à 0 ou même légèrement en dessous de 0, il se situe, en revanche actuellement aux alentours de 3,6% pour le Portugal qui a déjà un endettement public élevé en pourcentage du PIB, et ce dans un contexte où il bénéficie du Quantitative Easing de la BCE sur les obligations d’Etat et dans le cadre également exceptionnel de taux négatifs de la BCE. Sans ce contexte particulier très expansionniste de la BCE le taux d’emprunt à 10 ans du Portugal serait nettement plus élevé, la croissance de ce pays encore plus bancale et donc il serait en situation de crise de dettes souveraines. Deux articles de Patrick Artus, également du 7 octobre 2016 résument bien la situation bancale de la zone euro :
Il faut réellement se demander si l’euro peut survivre :
https://www.research.natixis.com/GlobalResearchWeb/main/globalresearch/ViewDocument/t6bfwvxqHqtrbbKEU4K4Ug==
Qu’attend-on d’une monnaie unique ?
https://www.research.natixis.com/GlobalResearchWeb/main/globalresearch/ViewDocument/7LD3nA_3ZcDsV20M9P0Ezw==
Saul
Un bon billet de Laurent Herblay. Merci à lui de reparler de la question-clé de l'euro. Dommage qu'une fois de plus un troll enlise le débat. En fait, la cause est entendue: il faut arrêter l'euro de toute urgence. Le malheur, c'est qu'il n'y a en France aucun rassemblement politique en vue pour le faire.
RépondreSupprimer@ Tous
RépondreSupprimerBien sûr, il fallait lire « la situation en GB est bien MOINS mauvaise qu’anticipé au 3ème trimestre.
Le contraste entre les commentaires de Saul et du troll eurolibéral en dit sans doute long sur où se trouvent la raison et le respect du débat démocratique
@ Troll
Il y a quarante ans, il y avait 800 000 chômeurs en France… Je n’ai jamais dit que l’euro était le seul responsable : je pointe bien d’autres responsabilités dans mes papiers, notamment l’anarchie commerciale, la fiscalité ubuesque, le manque de régulation
Et oui, avant l’euro, cela allait mieux. Le pic inflationniste a eu lieu partout, dans les années 70, du fait du choc pétrolier, comme il semble vous avoir échappé. La France ne s’est pas spécialement distinguée en matière d’inflation à ce moment et pas sûr que la pauvreté se soit tellement envolée à ce moment, du fait de mécanismes protecteurs.
@ Saul et Jacques
Merci
Mr Herblay
Supprimerpour répondre convenablement à l'européiste béat, il faudrait y ajouter tous les éléments entrant dans la démonstration de la dissolution lente du tissu économique français, dispersé par ceux là même que nous plaçons pour nous protéger.
- les éléments de démographie
- l'impact de la concurrence sociale et fiscale dans un environnement de "concurrence libre et non faussée" (rien que celle là, passerait pour une bonne blague si un comique comme Coluche s'en était saisi).
- l'impact des niches fiscales pour des groupes "européens" en comptabilité de consolidation..
Bref, celui que vous appelez "le troll" a la même vision de la France, que la plupart de nos "élites" qui proclame que la France est fichue. Elle l'est tellement à leurs yeux, qu'ils font d'ailleurs tout, pour que leur prophétie soit auto réalisatrice.... voir sa vision résumée dans le paragraphe..
"Anonyme9 octobre 2016 à 16:49"...
c'est du genre, "si la France était peuplée de béni oui oui qui accepte 4 € de l'heure charges sociales comprises elle gagnerait haut la main (encore que si c'était le cas, la bulgarie n'aurait pas assez de monde pour accueillir toutes les usines du monde..)
tant qu'à faire grossier comme un européiste....
Ce qui est d'ailleurs étonnant, pour ne pas dire le fin du fin, c'est que le gouvernement et les députés, viennent de repousser par deux fois, une loi qui prônait le reporting pays par pays, dispositif qui aurait donné de l'air aux recettes publiques.
Dans le même temps, ceux qui vendent la France par morceaux à tout ce qui a du fric, crient régulièrement "achetons français", dès lors que la logique en vigueur de démantèlement est trop criante...je laisse à chacun le plaisir d'illustrer..
Je le dis régulièrement, pour que la France de l'Europe fonctionne, il faudrait que les français fassent comme les espagnols, les portugais, les irlandais...partir en grand nombre vers d'autres pays ; puisque chacun sait que la politique économique en vigueur est :
libre circulation des marchandises, des capitaux et des hommes
J'avais fait le calcul de proportion par rapport à l'Irlande et au Portugal, il faudrait que 5 millions de français s'expatrient.
Imaginez notre taux de chômage si les français faisaient comme les irlandais ou les Portugais....(Irlande qui essaie aujourd'hui de réattirer les jeunes diplômés )
d'ailleurs il ne faut pas s'y tromper, nos européistes comme juppé, sarko, hollande et toute leurs cliques, l'aiment bien la France et ses avantages sociaux dont ils profitent bien plus goulûment que la moyenne..
Stan
cette dernière phrase pour dire que le monsieur qui défend les avantages cumulés de l'UE et de l'euro pour la France fait peut être partie de ces gens qui en profitent le plus ; aujourd'hui et dans l'avenir proche.
Supprimerdans ce cas il est tout à fait légitime qu'il en fasse sa promotion
Stan
MArianne dénonce la manipulation publique actuelle qui est anti-constitutionnelle, sur des emprunts de guerre et de civilisation terribles qui ne tiennent pas qu'au massacre des Européens et des autres. Ce téléguidage contraire à nos droits, nos vies prélevées sans cesse, nos droits bafoués, nos souverainetés en danger, nos économies défaites, le monde qui tremble devant un Occident incompétent en matière de politique européenne et mondiale, dont on suppute que des infractions lourdes aux droits ont été faites pour que l'Europe se retrouve encore à la veille d'un massacre et de se pencher sur la carte pour trouver le lieu du prochain massacre à faire dans des pays pauvres, mis sous la coupelle des pays riches. Marianne en appelle à l'exemplarité en matière de justice, à pourchasser l'errement politique, afin que cessent les menaces en matière de survie globale, et de droit, puisqu'on a peur que l'esclavage redouble dans le monde, d'une ouverture de phénomènes concentrationnaires à nouveau, même en Europe.
RépondreSupprimerPetite entraide de crédit solidaire prouvé et témoigné. Avez vous des
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