En cette
rentrée, les
candidats aux primaires de la droite ont tous développé leur programme
économique. Dans
une chorégraphie peu surprenante, ils cherchent tous à déborder la majorité
actuelle par la droite par des mesures souvent proches, mêlant fortes coupes dans
les dépenses publiques et baisse des impôts des entreprises d’abord, et parfois
des ménages. Une impasse économique.
Austérité
récessive et chèque en blanc aux multinationales
Bref, alors
que tout le monde constate les conséquences ravageuses de l’austérité, les
candidats de la primaire proposent tous de poursuivre dans l’impasse :
face au mur austéritaire, ils décident d’accélerer. Bien sûr, une grande partie
de ces économies doit servir à financer une baisse des cotisations sociales des
entreprises, dans
une quète dérisoire et maladive de compétitive face à des pays dont les
salaires sont 5 à 20 fois plus bas que les nôtres. Les candidats promettent
50 à 100 milliards de baisse de cotisations sociales, et un assouplissement
accéléré du droit du travail, dépassant la loi El Khomri. La plupart proposent la
suppression de l’ISF, une baisse de l’IS (25% pour NKM, 28% pour Sarkozy, 30%
pour Le Maire, de 24 à 30% pour Juppé) et souvent de la fiscalité sur le
capital.
Si NKM refuse
la fin de l’ISF, elle
va très loin dans ses propositions, inspirées de l’uberisation de nos sociétés.
En revanche, Nicolas
Sarkozy a décidé de se différencier en proposant une baisse de l’impôt sur le
revenu et le retour de la défiscalisation des heures supplémentaires, dès
son élection, s’attirant
les foudres de François Fillon, qui propose au contraire une hausse de la TVA
de 2 points, contre 1 à Juppé. Derrière les postures, se dessinent des
politiques qui ne font qu’amplifier la politique menée par François Hollande,
même s’il faut reconnaître qu’ils vont plus loin sur la coupe de la dépense
publique ou la baisse des impôts pour les entreprises. Ironiquement, les
propositions de la droite sont plus proches de la politique menée depuis 2012
que des politiques menées de 2002 à 2012…
Mais, ce
faisant, c’est le même logiciel qui est à l’œuvre, celui qui échoue depuis plus
de quatre ans. Et penser qu’accélérer plutôt que de changer de logiciel
résoudra nos problèmes est complètement illusoire. Au contraire, les
coupes prévues ne feraient que prolonger notre torpeur économique, tout en
dégradant la qualité de notre service public, alors même que l’exemple
britannique, sur lequel je vais bientôt revenir, nous démontre que ce n’est pas
la voie à suivre. Les milliards de baisses d’impôt sur les entreprises sont à
contre-temps d’une
époque où leurs bénéfices sont au plus haut, et ne feraient qu’enrichir des
actionnaires, qui n’en ont pas besoin, au détriment de l’ensemble de la
collectivité. De même, la suppression de l’ISF est à contre-temps d’une
époque où les inégalités explosent.
Bref, même
s’il est dans le vent de l’époque, les programmes des candidats aux primaires
dites de la droite et du centre sont quasiment aussi mauvais les uns que les
autres, démontrant qu’ils n’ont absolument pas réfléchi à ces sujets, se
contentant paradoxalement de copier ce qui a été fait ses dernières années,
tout en y ajoutant quelques postures destinées à se différencier. Pauvre
France.
La primaire est pour quelque chose dans cette surenchère droitière, les candidats doivent s'adresser en premier lieu aux électeurs marqués à droite avant de s'adresser à l'ensemble des Français.
RépondreSupprimerUn vrai changement de logiciel serait la suppression de l'IS( modèle irlandais ) et une hausse de 5% de la TVA( modèle danois ), puis redistribution sociale des excédents budgétaires probables par réduction des impôts sur le revenu des tranches basses et allocations.
RépondreSupprimerQuel que soit le programme, il est dicté sur les recommandation et directive de Bruxelles et n'a donc aucune validité et des déceptions s'en suivront faute d'avoir oublié que nous ne sommes plus souverain sur notre territoire!
RépondreSupprimerHé oui! C'est bien pour cela que l'on ne voit pas de différence entre "droite" et "gauche" et qu'ils ont les mains lier par Bruxelles sous peine de sanction s'ils ne s'y soumettent pas!
Supprimer"il est dicté sur les recommandation et directive de Bruxelles"
RépondreSupprimerPas du tout, les règles européennes permettent aux gouvernements une large marge de décision concernant les modalités fiscales, d'où de grosses différences entre pays de l'UE.
Marge de pacotille encadrée par des regles strictes
Supprimervoir le cas grec
Regles acceptees par des pouvoirs inféodés a la bourgeoisie mais dont ils usent comme paravent pour s'exonérer
Islande a su faire autrement
En 683 mots Pinsolle nous narrent les programmes économiques de la droite et donne à tous la note de zéro. Mais le corrigé du prof est absent.
RépondreSupprimerLa note de zéro est bien la seule chose que nous partageons mais soyons pédagogiques et voyons si, en pas plus de mots, nous pouvons faire un corriger. Ici commence ces 683 mots. Compteur à zéro. TOP départ.
Toutes les solutions qui sont proposée nous parlent de quantité d’euro qui s’additionne ou se soustrait. L’erreur est de ne pas suite la seule chose intéressante dite par Karl Marx : « La monnaie masque la réalité des rapports de production et de vitesse de circulation de l’une et de l’autre»
Quel rapport avec la production ?
Chaque euro circulant sont en rapport avec la production c’est adire que circule en parallèle une production soit dans son élaboration soit pour devenir une consommation.
Il devient irrationnel de parler de circulation d’euros : coupes dans les dépenses publiques ou baisse des impôts des entreprises ou baisse des impôts des ménages, sous toutes formes ou quantités, sans mettre en parallèle les effets induits sur la circulation des productions, et les réactions en chaine entrainées par cette modification de la circulation des production, plus exactement : ces choses agréables et utile à la vie.
Or la réalité ce sont ces choses agréables et utiles à la vie, la valeur de ces choses est imaginée et ne peut exister que si ces choses existent. Vouloir manipuler les valeurs sans tenir compte des choses agréables qui ont données naissance à ces valeurs c’est de l’irrationnel pur.
En réalité nous vivons un monde qui met la charrue devant les bœufs quand nous parlons des valeurs imaginées avant de parler de nos productions d’où nous tirons ces valeurs.
Nous mettons encore la charrue devant les bœufs quand nous parlons de la construction du prix des choses, ou se trouvent inclus les charges sociales, l’impôt des sociétés, les impôts sur le revenus ( une part des revenus), isf ( une partie des revenus), la TVA c’est-à-dire toutes ces imaginations de nos élues qui constituent le prix des choses que payent le seul consommateur.
Vous comprenez l’erreur qui est contraire à la réalité comme : quand vous rentrer chez vous vous vous foutez des techniques de construction de votre maison pour ne retenir que l’usage que vous en faites. En économie il en est de même la seule chose à retenir c’est l’usage qui est fait du prix des choses.
Un usage qui n’est rien d’autre qu’une circulation de la monnaie qui étant sécable va devenir le revenu d’un actif ou celui d’un qui n’est pas encore actif ou momentanément plus actif ou encore qui atteint d’infirmité ou par l’âge n’est plus actif mais encore aussi un revenus pour faire des consommations collectives ou des consommations mutualisés. Nous avons en tout et pour tout quatre usages de nos euros alors que la construction du prix des choses ne devrait compter que ces quatre usages :
aujourd’hui la construction du prix des choses en compte milles parce que l’idéologie de la lutte des classes nous cache la réalité de notre vie sociétale consistant à ce que l’ensembles des citoyens d’une nation, se partage 100% des consommations nationales de deux façons : une premières fois 100% entre actifs et inactifs et une seconde fois, ces mêmes100%, sont partagés par les actifs et les inactifs en trois usage : un usage mutuel, un usage collectifs et un usage familial.
RépondreSupprimerRésultat : la composition du prix des choses, pour être rationnelle, doit se composer de partie qui permet ces partages et qui ne mélanges pas ces deux partages des même 100% de consommation nationale mais uniquement celui entre actif et inactif et avec les revenus respectifs chacun participe aux revenus pour consommation à usage mutuel et en même temps ou séparément une participation pour consommation à usage collectifs.
Toutes triturations dans la circulation de la monnaie , proposée par toutes nos gouvernance passées, présentes, ou les prétendant à la future ne font que déplacer des consommations entre actifs et inactifs ou des consommations entre nos usages mutuels, collectifs ou familiaux des mêmes 100% de nos consommations qui de fait change de nature sans avoir anticipés la restructuration des outils de productions qui doivent prendre en compte ces modifications de productions que les changement de fiscalités imposent au préalable.
Il est grand temps de retrouver le bon sens paysans qui met la charrue devant les bœufs.
C’est fini :642 mots. Il en manque un pour égaler Pinsolle et son absence de pédagogie.
Unci TOÏ-YEN
vous aurez corrigé de vous même:
RépondreSupprimerle bon sens paysan qui met les boeufs devant la charrue.
Unci TOÏ YEN
En effet, la majorité des candidats de la primaire des républicains ne se différencient guère. Néanmoins, il y en a un qui se différencie des autres et qui a ma sympathie (même si je soutiendrai NDA pour la présidentielle), il s'agit de Jean-Frédéric Poisson. Lui, contrairement aux autres, n'est pas un tenant de la pensée unique européo-mondialiste.
RépondreSupprimer"Ils n'ont absoulemt pas réfléchi à ces sujets".
RépondreSupprimerBen on ne leur demande pas de réfléchir mais d'appliquer ce genre de programme.
S'ils ne faisaient pas ce genre de propositions, on ne les laisserait pas occuper le devant de la scène, tout simplement. Même chose au PS.
Quant on voit les bobines qu'on nous propose dans les deux camps, ah ça fait rêver, vraiment.
Et après, on tape sur les électeurs du FN...
***Jacko***
"Marge de pacotille encadrée par des regles strictes
RépondreSupprimervoir le cas grec"
Manifestement, vous ne connaissez rien au sujet.
La Grèce est sous perfusion des pays de l'UE quand la France emprunte sur les marchés à de très bas taux, donc aucunement soumise aux règles auxquelles l'est la Grèce.
Les shadoks du néolibéralisme tournent en rond et pompent de plus en plus vite. La croissance mondiale s'effondre, le commerce s'effondre, mais ils accélèrent leurs "réformes". Ils sont exactement comme les communistes des années 80 et n'admettent pas que la globalisation tout comme l'euro et l'UE sont des échecs. Ils iront au bout du délire et à la fin nous seront tous morts comme disait Keynes. Maynard doit bien rigoler en voyant le résultat des politiques inspiraient de ces clowns de Hayek et autres Friedman. Le plus drôle étant ce pauvre Macron réincarnation de Thatcher avec 40 ans de retard qui se pense incroyablement original et novateur en proposant les mêmes âneries qu'elle.
RépondreSupprimer@ Moi
RépondreSupprimerC’est juste
@ Anonymes
Le « modèle » Irlandais ne fonctionne que parce que les autres ne font pas la même chose. Si tout le monde suit, comme aujourd’hui, tout le monde sera perdant.
Sur la fiscalité, en effet, les pays sont autonomes, jusqu’à une certaine limite, comme on le voit en Grèce néanmoins
@ Un citoyen
Il y a près de 2000 papiers sur le blog, dont un certain nombre qui détaillent les politiques que je pense souhaitables.
@ Jacko
Pas faux
@ Yann
C’est juste
"Le « modèle » Irlandais ne fonctionne que parce que les autres ne font pas la même chose. Si tout le monde suit, comme aujourd’hui, tout le monde sera perdant."
RépondreSupprimerC'est très probablement faux, l'impôt sur les sociétés est un impôt stupide, désincitatif et improductif.
il manque une dimension induite à tous ces programmes qui se reproduisent depuis des années c'est le bazar de plus en plus net des réformes successives qui s'accumulent dans le plus grand bordel : RGPP, loi NOTRe, remaniement en coin de table des régions et le secteur non marchand, ex créateur et pourvoyeur d'emplois
RépondreSupprimerallez vite fait :
1° les régions : un rapport très récent démontre que loin d'obtenir les économies d'échelle souhaitées, l'organisation des régions coûtent plus cher (sans parler des réunions de coordination, fusion et autre suffixe en "ion" du même acabit...
2° loi NOTRe ; la réorganisation des communautés de communes et autres agglomérations est parfois mignonnette, entre absurdité, impasses juridiques futures, limites de départements, distribution des compétences,.....
3° les recompositions de service d'état, de département liées aux contraintes de resserrement de budget et à la montée des dépenses sociales sont d'une joyeuseté sans nom...réponses garanties à des questions parfois essentielles pour le non marchand
Stan
suite et fin
RépondreSupprimeret enfin, j'insisterai sur les programmes des nouvelles baisses de dépenses publiques et de son pendant : les privatisations.
il est remarquable de constater que le programme politique inspiré d'une UE sociopathe, produit des effets assez remarquables lorsqu'ils sont reproduits béatement au niveau local..
la baisse des dépenses publiques impacte directement le secteur non marchand pourvoyeur d'emplois peu chers et donc l'objet social, si je puis dire est de ne pas faire de bénéfices, ou de les redistribuer, ou de les remettre au pot. Les fameuses restrictions budgétaires détruisent doucement,sans les projecteurs, des milliers d'emploi...
dans le même temps, toujours au titre des baisses de dépenses publiques, l'état benne des dizaines de milliards d'euros dans le secteur privé à travers le CICE et pacte, sans qu'aucun effet sur l'emploi ne soit réel. Il suffit de lire le rapport 2016 sur le CICE pour s'en rendre compte, même si quelques journaux bien intentionnés arrivent à trouver des emplois préservés pou crées (comme j'ai lu entièrement le rapport, je suis prêt à en discuter)...
en résumé :
1° l'état qui compte les dépenses publiques veut déléguer la création d'emploi à 200 000 € pièce, - ( c'est pour faire plaisir à ceux qui croient que les sommes du CICE sont traçables en consolidation comptable) par des groupes privés dont le but est d'optimiser les bénéfices
tout en supprimant les ressources des secteurs non marchand qui ne font aucun bénéfice et dont le coût moyen de l'emploi est de 30 à 40 000 € environ..
il me semble que quel que soit l' aquacéphale, condamné ou pas, qui prendra le fauteuil de repos de l'élysée, sera donc en mesure d'achever le pays sous les applaudissements des citoyens qui vont donner deux balles pour participer au cirque et signer une charte qui va cautionner leur mise à poil future..
magnifique......
Stan
heureusement lé télé offre la cellule psychologique et une thérapie gratuite sur le canapé du docteur Lemarchand..
RépondreSupprimerStan
@ Anonyme
SupprimerVos arguments sont très convaincants...
@ Stan
Merci pour ces rappels
@ PINS
RépondreSupprimer@ STAN
Dans ce que vous dites : le vrai et le faux s’entremêlent.
Les démêler est un casse tête s’il faut lire 2000 interventions. Il faut, à un certain moment, synthétiser.
Peut-être ne vous vous-êtes pas rendus compte qu’avec deux citations celle de KARL Marx : « La monnaie masque la réalité des rapports de production et de vitesse de circulation de l’une et de l’autre». Monnaie et production qui circulent, en sens inverses, à la même vitesse.
Puis celle de Adam SMIT : « Le Travail annuel d’une nation est le fond primitif qui fournit à sa consommation annuelle toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ; et ces choses sont toujours ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées aux autres nations avec ce produit »
Tous les problèmes que vous aborder ont leurs solutions dans le contenu de ces deux citations ;
Pour peu que vous connaissiez le principe et uniquement le principe, des nombres complexes en mathématiques, sachiez différencier le social du sociétal, et sachiez avoir un raisonnement du type spatial comme celui de la pédagogie des pays nordiques classé en tête du classement PISA alors que notre pédagogie Franco-Française est 25° sur 65 et certainement plus mal noté quand avant la fin de l’année paraîtra le classement triennal.
Cette pédagogie, spatiale, à pour avantage d’être holistique considérer le tout qui ne fait qu’un, à l’inverse de la pédagogie linéaire, une succession de savoirs, qui est elle réductionniste chacun des savoirs n’est pas considérer comme faisant parti d’un tout. C’est un défilement de savoir, linéaire. D’où pédagogie linéaire à opposer à pédagogie spatiale qui occupe tout l’espace ( 3D).
Formaté par notre éducation nationale, que ce soit les candidats aux primaires, vous PINS ou vous STAN, vous excellez dans le réductionnisme.
Dans la mesure où vous devenez holistiques vous pouvez appliquer la citation de Karl Max à propos des candidats des primaires où de vos solutions personnelles.
Pour cela il faut inclure dans votre raisonnement que toute circulation de monnaie, dans l’économie, n’existe que parce que : existe une circulation de ces choses agréables et utiles à la vie ( Adam SMIT) . le réel, c’est ces choses agréables et utiles à la vie, et c’est aussi l’essentiel et la monnaie (imaginée, imaginaire) que l’accessoire utile à la circulation de l’essentiel : réel et imaginaire sont les deux parties qui composent les nombres complexes en mathématique c’est le principe à retenir. Toujours savoir si nous discutons dans la partie réelle ou dans la partie imaginaire qui n’existe pas sans la partie réelle et qui ne peuvent se mêler. Actuellement cette séparation réel et imaginaire, le rationnel, n’existe pas dans les discours, débats, résolutions : le réel et l’imaginaire se mêlent et notre économie devient irrationnelle, et d’autant plus si le réel est exclus pour ne raisonner que ce qui relève de l’imaginaire.
Quand à vous, STAN, il faut chercher votre réponse dans la citation de SMIT : ‘’Ces choses agréables et utile à la vie’’ vous avez là : la raison de votre raison de ne pas opposer emploi public et emploi privé: puisque les uns et les autres sont les producteurs de ces choses agréables et utiles à la vie.
Si nous laissons de coté la nature de la production plus ou moins agréables ou utile à notre vie,
Vous comprenez, qu’on ne supprime pas un emploie mais une production qui si elle est utile et agréable à la vie c’est une perte, non de pouvoir d’achat (partie imaginaire), mais d’une consommation (partie réelle) par les autres, car vous n’êtes pas savoir que nous satisfaisons nos besoins en toutes ces choses agréables et utile à la vie (ce qui exclut les choses désagréables ou inutiles) parce que elles sont produites par les autres.
Voila les productions et les consommations sont notre réalité ( réel) et la monnaie imaginé (imaginaire) un ustensile.
Si nous revenons à la distinction entre privé et public c’est une distinction sociale (relation entre les individus qui eux forme la société avec leur vie sociétale : le sociétal est procréateur de la société c’est le réel et la société a imaginée le social (imaginaire) qui ne peut exister qu’avec une vie sociétale qui est le réel l’essentiel et le social (imaginé) l’ustensile utile au sociétal. Mais quelque fois, en pesant sur les individus, hostile et non utile à notre vie sociétale.
RépondreSupprimerIl ne faut pas laisser le social, imaginé, nous cacher la réalité de notre vie sociétale où privé et public s’associent pour produire l’ensemble des besoins de tous actifs ou inactifs lesquels partagent ces consommations en fonctions d’usage, familial, mutuel, collectifs.
Voila la seule réalité de notre vie sociétale. Où il suffit de mettre en avant la réalité (le réel) : la production et la consommation dans une vie sociétale holistique qui se résume à deux citations, alors que l’imaginaire de la valeur des consommations : la vie sociale qu’a induit la vie sociétale, favorise le réductionnisme qui induit des milliers de considérations inutiles à promouvoir notre vie sociétale mais à masquer la réalité et polluer cette vie sociétale, pour se faire s’opposer des individus
Entre autre : secteur privé et secteur public alors que seule compte la capacité de leur production a être agréable et utile à la vie et veillez à ne pas, par des règles de vie sociale (la relation entre les individus) créer des iniquités entre les actifs et les inactifs puisque nous sommes tantôt l’un, tantôt l’autre dans notre vie sociétale où chacun de nous, par notre comportement (vie sociétale) et non par nos règles sociales, faisons de notre société ce qu’elle est.
Une dernière précision et vous serez prêts à vous investir vers le progrès sociétal qui doit réduire considérablement le besoin de règles sociales.
La vie sociétale est celle où la société descend vers l’individu.
Dans la vie sociale les individus s’assemblent pour créer, au dessus, une société.
Seul l’individu étant le réel il y a préséances de la vie sociétale sur la vie sociale c’est-à-dire la création sur induction. Toute modification de l’induit ne peu être causé par la création qui induit. On comprend alors qu’il est vain de vouloir agir sur le seul induit c’est ce que nous faisons malheureusement dans notre économie. Alors il devient évident que nous ne changerons jamais l’induction en voulant le changer et non changer les causes ; sauf à faire un détournement qui n’est plus alors le naturel avec un risque que ce détournement devienne un emballement.
Nous venons, avec cet exemple, de prendre un chemin sans fin ( emballement) ou nous allons nous opposer et non nous rassembler, uniquement parce que nous somme aller contre nature, c’est à dire partir de la société pour aller à l’individu alors que le naturel est que l’individu, naturellement, nous fait aller à la société. De A nous allons à B c’est le naturel et nous nous raisonnons comme si nous allions de B vers A : c’est une erreur aux conséquences dramatique pour notre vie sociétale.
rectification:
SupprimerLa vie sociale est celle où la société descend vers l’individu.
Dans la vie sociétale les individus s’assemblent pour créer, au dessus, une société.
Unci TOÏ-YEN
C’est l’erreur que nous faisons avec le prix de ces choses agréables et utile à la vie. Nous avons d’une part la technique de construction du prix des choses et l’usage que nous avons du prix de ces choses.
RépondreSupprimerSi nous prenons le chemin de la vie sociale le prix est composé de milles composantes. Donc autant de considération et règles sociale mais encore, que des règles imaginées (imaginaire).
Si nous prenons notre vie sociétale, avec sa préséance sur la vie sociale, le prix des choses se fait à partir de l’usage que ce prix qui doit être le reflet de qu’il permet dans la vie réelle : le partage entre les actifs et les inactifs (moyen) pour qu’ils se partagent (objectif) nos 100% de consommation nationale. Alors le prix n’est composé que de deux termes ‘’la valeur ajoutée’’ (revenu des actifs) et la ‘’valeur de solidarité’’ (revenu des inactif). Une solidarité des actif envers les inactifs qui est réciproque : chacun étant tantôt l’un tantôt l’autre.
Par la suite, non pas dans le social, mais dans le sociétal : les individus décident de mettre en commun des consommations nationales, soit mutuellement, soit collectivement et utilisent leurs revenus respectifs pour participer à ces usages mutuels ou collectifs et en profiter.
Dans notre vie sociétale nous n’avons plus besoins des milles composantes tout autant imaginaires qu’idéologiques pour la construction du prix des choses.
En mettant les bœuf (A) devant la charrue (B) et non inverse : B devant A
En préférant notre’’ richesse réelle’’ nos biens et nos services à la ‘’richesse imaginaire’’ la valeur de ces biens et ces services.
En préfèrent le sociétal au social.
Il vous reste d’utile, du savoir économique du passé, que ces deux citations cités ci-dessus et pour peu que vous soyez initié à la pédagogie spatiale des pays nordique: Alors, il vous faut une heure environ pour tout comprendre de l’économie qui colle à notre vie sociétale.
Vous avez peut être remarqué que pour parler de notre vie sociétale, contrairement au discours sur la vie sociale nous n’avons pas utilisé beaucoup de terme et n’avons besoin d’aucun chiffre puisque en finalité : un individu a pour objectif de satisfaire ses besoins et il rempli une part de cet objectif par la consommation d’un % de toutes les consommations nationales. De ce fait nous ne gardez en mémoire, pour la suite, que nous avons un PIB mais hélas aussi, chez nous, un déficit du budget de l’état de x% du PIB et un déficit de la balance commerciale de y% du PIB, et : cinq autres pourcentages qui seront dévoilée le moment venu.
Le reste c’est réinventer ensemble moins de quinze principes de notre vie sociétale et tout expliquer en cinq chapitre d’une page ce qui est alors possible de se faire très rapidement dès lors que vous manipuler les principes des nombres complexes, vous savez différencier le social du sociétal, et maitriser le principe de raisonnement spatial qui s’apprend tout le long de cette heure là, par son utilisation permanente.
Tout au long de cette heure là : seront démontrées les inutilités de nos savoirs présents, les causes des déficits et des crises, du manque de compétitivité, du besoin de délocalisation, du besoin de défiscalisations et les causes du chômage. Toutes ces anomalies économiques trouvent leurs causes dans des mesures structurelles et non conjoncturelles ou bien sont des causes comportementales parce que notre vie sociétale nationale n’est que la somme des comportements de chacun de ceux qui la compose.
Après cela vous êtes fin prêt pour faire comprendre aux autres ce que vous avez compris.
D'après les 1ers résultats de la primaire de droite l’issue serait une véritable catastrophe.En effet, un deuxième tour de la présidentielle opposant Fillon à Le Pen ne donnerait pas nécessairement Fillon gagnant.Le programme de Fillon peut être comparé à une purge.Jamais la droite ("classique" disent certains) n’a défendu un programme aussi anti-social, aussi violemment dirigé contre la fonction publique.Dès lors pour Mme Le Pen tout devient possible.
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