Curieux
spectacle pour cette rentrée politique que de voir
le président traverser l’Europe et s’agiter pour dénoncer cette
« trahison de l’esprit européen »
que représente la fameuse directive sur les travailleurs détachés et réclamer
sa réforme. Après le
refus, temporaire, du rachat de STX par Fincantieri, on pourrait croire à
une évolution souverainiste. Sauf qu’il ne s’agit que de communication.
Postures
et compromis dérisoires