Dans
les médias, trop souvent à très courte vue, la cause est entendue : un
« no deal » serait une folie pour Londres et provoquerait des pénuries, qui pourraient
presque être dignes de Caracas ou La Havane… Mais le parti-pris effarant des média cache
la position renforcée de Londres, qui, outre
le fait d’être prête au « no deal », dispose d’un atout
considérable : ses échanges commerciaux avec l’UE.
265
milliards d’exportations, 172 d’importations