Aujourd’hui est le jour de sortie de mon premier
livre, disponible
en version numérique sur le site de Librinova,
qui m’édite. Il devrait être disponible sur les autres librairies numériques
sous 48 heures. La version papier devrait sortir d’ici deux à trois semaines.
Vous pouvez donc l’acheter
pour un peu moins de 5 euros sur le site de Librinova
dès à présent. Vous avez gratuitement
accès à l’avant-propos et aux deux premières pages de la première partie.
Ayant fini par choisir l’auto-édition, je vous remercie chaleureusement de
toute aide pour accélérer sa diffusion, ce qui sera clé pour son référencement
futur. Je vous tiendrai au courant de la date de sortie de la version papier.
Après plus de 14 ans à tenir un blog, je suis
convaincu que le combat contre le système économique et politique actuel doit
être repensé, tant il semble impossible aujourd’hui d’en sortir. Ce que j’ai
cherché à faire c’est proposer une remise à plat de sa critique, sur le fond et
sur la forme. Trop négligée, la bataille des mots sera essentielle, tant le
lexique oligarchiste s’est imposé, faisant des parasites fiscaux des paradis…
Le terme néolibéralisme s’est imposé pour qualifier
le système économique et politique en place. Pourtant, cette pensée n’est ni
nouvelle, ni tellement libérale. Pire, ce terme biaise le débat public. Et s’il
n’était que l’habillage positif de la doctrine du ruissellement, promue par
Reagan, Thatcher, ou Macron ? Les quatre dernières décennies ont bien montré
que donner aux plus riches ne rapporte rien au reste de la société.
En fait, le néolibéralisme n’est qu’un oligarchisme,
un système qui fait des intérêts des multinationales et des 1% les plus riches
la seule boussole de l’action publique. Et politiquement, c’est une
déconstruction de la démocratie : une sortie de décisions politiques du champ
démocratique. Elles sont alors gravées dans le marbre de traités envahissants
ou confiées à des technocrates dits indépendants.