Bien sûr, après 16 ans au pouvoir, Angela Merkel restera une figure de la vie politique allemande et même européenne. Mais alors que la plupart des média français dressent les louanges de la chancelière qui va partir à la retraite, en ne retenant souvent que ces choix qu’ils jugent positifs, les résultats électoraux ou plus généralement l’état du pays, poussent à fortement nuancer. Son parti n’est-il pas passé de près de 42% des voix en 2013, à 33% en 2017 et seulement 24% cette année ?
Une politique au service de l’oligarchie allemande