Jeudi, j’ai été invité à commenter la décision de la BCE de baisser son taux directeur de 0,25 point, à 2,75% par l’économiste Alexandre Lohmann dans un espace de discussion. Une série d’échanges qui permet de dépasser les compte-rendus insipides et superficiels de certains, alors que la politique monétaire menée par la BCE devrait être questionnée de manière beaucoup plus insistante.
Caresse sur l’accélérateur et gros coup de frein